@rib News, 10/02/2015 - Source Xinhua

Le Burundi se prépare au renforcement de la sécurité routière grâce au paiement d'amendes des contrevenants par téléphone mobile, a affirmé mardi M. Alfred Innocent Museremu, commandant de l'Unité de police burundaise de roulage et de sécurité routière.

M. Museremu, qui s'exprimait lors d'une séance de restitution sur la problématique de la collecte des amendes routières au Burundi, a précisé que le Burundi a instauré le système de paiement des amendes par téléphone mobile, pour réduire le phénomène de corruption de la police burundaise en matière d'infraction routière.

RFI, 16-01-2015

Burundi : révélations chocs 4 mois après la mort de religieuses italiennes

Le 7 septembre 2014, dans la nuit à Kamenge au nord de la capitale burundaise, trois sœurs italiennes très âgées avaient été assassinées sauvagement au Burundi alors qu’elles étaient dans leur couvent. Ce crime avait suscité l’horreur dans tout le pays.

Très vite, la police avait arrêté et écroué un homme présenté comme leur assassin. Mais depuis trois jours, c’est le choc après les révélations de la Radio publique africaine.

@rib News, 11/01/2015 – Source AFP

Au moins trois personnes sont mortes dimanche matin dans le naufrage de leur bateau dans les eaux tanzaniennes du lac Tanganyika, a-t-on appris de source policière. Le bateau était parti de Tanzanie et faisait route vers le Burundi.

"Trois corps sans vie ont été repêchés jusqu'à présent", a affirmé Jafarye Mohamed, le chef de la police dans la région tanzanienne de Kigoma, au bord du lac.

PANA, 10 janvier 2015

Bujumbura, Burundi - Une bande de faussaires a été arrêtée, vendredi, dans une agence de la Banque commerciale du Burundi (BANCOBU) à Kayanza, une province du nord du pays, au moment où elle tentait de tromper la vigilance du personnel pour verser et blanchir de faux billets d’un montant global de 200.000 dollars américain, rapporte samedi le correspondant local de la Radio nationale.

La bande était constituée par quatre citoyens burundais et d'un ressortissant congolais, selon la même source qui indique qu’une substance chimique non encore clairement identifiée a été retrouvée à bord de leur véhicule.

@rib News, 09/01/2015 – Source AFP

L'apparition la semaine dernière d'un mystérieux groupe armé au Burundi est un signal à prendre au sérieux à quatre mois d'élections-clés, même si le pouvoir du président Pierre Nkurunziza, en l'écrasant, a montré qu'il avait l'appareil sécuritaire en main.

L'armée burundaise, qui a arrêté quelques rebelles et saisi des documents, affirme connaître la stratégie et les objectifs du groupe en provenance de République démocratique du Congo (RDC) et écrasé dans le sang. En cinq jours d'affrontements, une centaine de rebelles ont été tués.

@rib News, 07/01/2015 - Source Xinhua

Un groupe de 10 bandits armés a tendu lundi une embuscade à un bus de transport en commun dans l'Ouest du Burundi et a dépouillé tous les passagers de tous leurs biens, a rapporté la radio nationale burundaise.

Cette embuscade a eu lieu vers 18h00 (16h00 GMT) lorsque le bus de l'Office des Transports en Commun (OTRACO) se rendait à Kayongozi de la commune Butezi en province de Ruyigi à l'ouest du pays en provenance de la province de Gitega. Au bord de ce véhicule se trouvaient des commerçants de vaches.

DW-World, 07.01.2015

Entre une attaque contre des militants du parti au pouvoir et les représailles de l'armée, la situation est tendue au Burundi. Dans quelques mois des élections générales ont lieu dans le pays.

La semaine dernière, une attaque menée par des inconnus a coûté la vie à trois militants du parti au pouvoir. En représailles, l'armée burundaise a tué une centaine d’homme appartenant à un groupe armée non identifié.

@rib News, 07/01/2015 - Source Xinhua

Au moment où la MONUSCO a commencé lundi à mettre en exécution son ultimatum de chasser les forces négatives opérant sur le sol de la République Démocratique du Congo (RDC), le porte-parole de l'armée burundaise, le colonel Gaspard Baratuza, a annoncé mardi que son institution est prête à réserver le sort aux combattants burundais du Front National de Libération (FNL) encore en RDC selon leur comportement au retour dans le pays.

@rib News, 06/01/2015 - Source AFP

A Rwesero, village en nid d'aigle de l'ouest burundais où soldats et mystérieux rebelles ont échangé les premiers coups de feu il y a une semaine, la vie reprend son cours mais la population, lasse d'être au coeur des conflits qui endeuillent le pays, refuse désormais la guerre.

"Nous sommes fatigués", confie Saïdi Bukuru, enseignant à l'école primaire de la localité et bientôt trentenaire. "Si je regarde tout le mal qui nous est arrivé ici sur cette colline, je n?en peux plus". Autour de lui, des dizaines de personnes lâchent cris et murmures d'approbation.

@rib News, 06/01/2015 - Source AFP

Trois militants du parti au pouvoir abattus dans l'est du Burundi, sanglants affrontements entre forces de l'ordre et rebelles dans l'ouest: le Burundi, récemment marqué par une longue guerre civile, craint une spirale de la violence à cinq mois de ses élections générales.

Dans la nuit de dimanche à lundi, cinq hommes munis d'armes automatiques ont fait irruption dans un bar de Gisuru, commune de la province de Ruyigi située à quelque 250 km à l'est de la capitale Bujumbura. [Photo : Des soldats burundais présentent aux médias des armes saisies à la suite de cinq jours de combats contre des rebelles dans le nord-ouest du pays, à Cibitoke, le 6 janvier.]

RFI, 06-01-2015

Burundi : la population de Cibitoke marquée par les dernières violences

Après avoir vaincu un important groupe armé qui s’est introduit au Burundi depuis la RDC voisine il y a une semaine, l’armée burundaise s’est enfin exprimée, ce lundi. Elle a annoncé que ce groupe visait à déstabiliser le pays à la veille des élections générales de mai 2015, sans en dire plus sur l’identité des rebelles.

Dans la province de Cibitoke, située à 70 kilomètres, au nord de Bujumbura, où tout a commencé il y a une semaine, la population se dit fatiguée de toujours vivre le même cycle de violence. Reportage.

France 24, 06/01/2015

L'est de la RD Congo a été lundi le théâtre d'une vaste opération menée par les casques bleus de la Mission de l'ONU au Congo (Monusco) et l'armée congolaise contre des rebelles burundais des Forces nationales de libération.

BBC Afrique, 6 janvier 2015

Burundi : trois militants tués

Au Burundi, le parti au pouvoir CNDD-FDD annonce l'assassinat de 3 de ses militants dans la ville de Gisuru, dans l'est du pays. Selon la police, ils ont été tués dimanche par des hommes en tenue militaire équipés d'armes automatiques qui ont ensuite incendié un local de la formation politique.

Un porte-parole du parti a déclaré que les responsables appartenaient probablement à ce qu'il décrit comme la frange extrémiste de l'opposition qui voulait saboter les élections.

Jeune Afrique, 06/01/2015

Burundi : climat sécuritaire tendu à six mois de la présidentielle

Alors que les zones d'ombre persistent autour de la récente attaque de Cibitoke, qui a fait plus de 100 morts parmi des rebelles non identifiés dans le nord-ouest du Burundi, trois militants du parti au pouvoir ont été assassinés à l'Est. Les autorités soupçonnent des membres l'opposition…

À six mois de la présidentielle prévue le 26 juin au Burundi, le climat sécuritaire se dégrade dans le pays. Les cinq jours d'affrontements de Cibitoke, dans le nord-ouest du pays, n'ont pas aidé à calmer les esprits. Au contraire. Opposition et pouvoir se regardent désormais en chiens de faïence, se soupçonnant mutuellement de préparer des coups bas.

@rib News, 06/01/2015 – Source AFP

Bujumbura (Burundi) - Trois militants du parti au pouvoir au Burundi ont été tués dans l'Est du pays par des hommes en tenue militaire et équipés d'armes automatiques qui ont ensuite incendié un local de la formation politique, a-t-on appris mardi auprès de la police et de responsables locaux.

Le porte-parole du parti (CNDD-FDD), Onésime Nduwimana, a immédiatement parlé d'un crime très grave (...) à caractère politique à l'approche d'échéances électorales majeures prévues à la mi-2015.

RFI, 06-01-2015

Massacre au Burundi : l’armée parle, mais ne s’explique pas

Au Burundi la conférence de presse de l'armée burundaise était très attendue. En effet, après l'attaque la semaine passée d'un groupe rebelle en provenance de la République démocratique du Congo, dans la province de Cibitoke, dans le nord-ouest du Burundi, il y a beaucoup de spéculations autour de ce groupe rebelle.

Une semaine après l’entrée de ce groupe armé au Burundi, on n’en sait guère plus sur ces chefs aujourd’hui qu’au premier jour de l’attaque. Le colonel Gaspard Baratuza, le porte-parole de l’armée burundaise a été formel, ce groupe qu’il qualifie à volonté de « groupe criminel armé » ou encore de « groupe de terroristes » avait pour objectif de déstabiliser le Burundi, a-t-il dit.

@rib News, 06/01/2015 – Source Xinhua

Un groupe de cinq personnes toutes armées de fusils Kalachnikov et en tenues militaires a perpétrée dimanche soir une attaque sur la colline Kagumwe, dans la province de Ruyigi (est du Burundi), au cours de laquelle trois personnes ont été tuées et une permanence du parti CNDD FDD (au pouvoir) brûlée, rapporte lundi la radio nationale burundaise.

Les victimes ont été d'abord ligotées avant d'être fusillées. Parmi ces victimes figure le directeur d'une école primaire. La police était encore à leur poursuite lundi matin et a demandé à la population de rester vigilante.

Voice of America, 05.01.2015

L’armée dit avoir abattu 95 rebelles et en avoir capturé 9 la semaine dernière en provenance de la RDC, où ils seraient basés pour échapper à la vigilance des autorités burundaises.

Le porte-parole de l’armée, le Colonel Gaspard Baratuza, a dit à la VOA que les prisonniers sont de nationalité burundaise selon les documents qui étaient en leur possession, et qu’ils ont été transférés à la police pour des investigations car ils refusent de parler.

@rib News, 05/01/2015 – Source Xinhua

La Force de défense nationale (FDN) du Burundi ignore toujours l'identité du groupe armé qui a mené depuis le 30 décembre dernier une attaque armée en province de Cibitoke (nord-ouest), limitrophe de la RDC, a déclaré lundi le porte-parole de la FDN, le colonel Gaspard Baratuza, au camp militaire de Cibitoke.

"Même les combattants capturés sur le champ de bataille restent muets durant les interrogatoires sur l'identité de cette bande armée ayant attaqué deux communes (Murwi et Bukinanyana) de cette province burundaise, en provenance de Mutarure, une localité de l'Est de la République Démocratique du Congo(RDC)", a précisé le colonel Baratuza lors d'une conférence de presse.

PANA, 05 janvier 2015

Bujumbura, Burundi - La Force de défense nationale et des anciens combattants a revendiqué, lundi, un lourd bilan de 95 assaillants qui ont été tués et 9 autres capturés vivants au cours de ces cinq derniers jours d’une offensive militaire contre un groupe armé non encore clairement identifié en provenance de la République démocratique du Congo (RDC), qui voulait prendre Cibitoke, une province du Nord-Ouest du Burundi.

Dans les rangs de l’armée gouvernementale, les dégâts humains s’élèvent à deux militaires tués, tandis que du côté des civils, deux personnes ont perdu la vie dans les combats, selon le premier bilan qui a été fourni par le porte-parole de la Force de défense nationale et des anciens combattants, le colonel Gaspard Baratuza, depuis l’éclatement des affrontements, à la veille du Nouvel an 2015 et durant les trois jours qui ont suivi.

@rib News, 05/01/2015 – AFP

Les Casques bleus et l'armée congolaise ont indiqué avoir lancé lundi matin une offensive contre les rebelles burundais des Forces nationales de libération (FNL) dans l'Est de la République démocratique du Congo.

L'opération a permis de prendre plusieurs bases de ces rebelles hutu près de la frontière avec le Burundi, dans la province congolaise du Sud-Kivu, a affirmé le lieutenant-colonel Félix-Prosper Basse, porte-parole militaire de la Mission de l'ONU au Congo (Monusco).

Jeune Afrique, 05/01/2015

Burundi : l'armée ne dévoile pas l'identité du groupe rebelle impliqué dans une attaque dans le Nord

L'armée burundaise a organisé lundi une conférence de presse, une semaine après l'attaque dans le nord-ouest du Burundi d'un groupe rebelle en provenance de la RDC. Mais elle n'a pas levé le voile sur le mystère qui entoure ce dernier.

Ceux qui espéraient que la conférence de presse de l'armée burundaise leur permettrait d'en savoir plus sur l'attaque de la semaine passée d'un groupe rebelle dans le nord-ouest du Burundi vont être déçus.

@rib News, 05/01/2015 – Source Xinhua

Au moins 95 rebelles ont été tués depuis le 30 décembre dernier dans les affrontements survenus dans des communes de la province de Cibitoke, dans l'ouest du Burundi, qui ont opposé les forces de l'ordre et de sécurité burundaises à un groupe d'hommes armés venant de la RDC, a déclaré lundi .

Les combats ont aussi coûté la vie à deux militaires burundais et deux civils, a affirmé le porte-parole de l'armée burundaise, le colonel Gaspard Baratuza, lors d'une conférence de presse tenue dans le camp militaire de Cibitoke. C'est le premier bilan officiel dressé par l'armée burundaise.

@rib News, 05/01/2015 – Source AFP

Les rebelles qui se sont infiltrés la semaine dernière au Burundi avant d'y être décimés par l'armée entendaient lancer des attaques à travers tout le pays à l'approche des élections prévues en mai et juin, a affirmé l'armée lundi.

Les rebelles, en provenance de République démocratique du Congo (RDC) voisine et interceptés par les forces de l'ordre à une cinquantaine de km au nord de la capitale Bujumbura, comptaient atteindre la forêt de Kibira et s'y installer, a affirmé à la presse le porte-parole de l'armée, le colonel Gaspard Baratuza (photo).