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Sécurité
@rib News, 05/03/2014 – Source Xinhua Au Burundi, l'état sécuritaire est globalement satisfaisant depuis décembre 2013, estiment les responsables des corps de défense et de sécurité, de la justice et des provinces participant à une réunion mercredi à Giheta (centre) présidée par le Chef de l'Etat burundais Pierre Nkurunziza (photo, à gauche). « Fort du travail en synergie de tous ces corps, le gouvernement peut dire que les résultats positifs ont été atteints à savoir le démantèlement de plus de 51 bandes de bandits armés, la saisie de 46 armes, de 685 grenades et de 1 485 cartouches en plus des armes remises volontairement dans le cadre de la récente campagne de désarmement à savoir 77 armes, 556 grenades et plus ou moins 9 000 cartouches », a déclaré le porte-parole du président, Léonidas Hatungimana, cité par la Radio Télévision Nationale Burundaise (RTNB). |
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@rib News, 04/03/2014 - Source Xinhua Le ministre burundais de la Défense nationale et des anciens combattants, le Général-major Pontien Gaciyubwenge (photo), a appelé mardi les militaires à éviter les "manipulations militaires" et à défendre les intérêts du pays. "Evitez les manipulations politiciennes en cette période pré-électorale. Montrez aux politiciens qui feront des tentatives de vous approcher que vous constituez un rempart redoutable. Vous devez rester unis, défendre les intérêts du pays, ceux des burundais et des étrangers vivant au Burundi sans discrimination aucune, sans tenir compte de quoi que ce soit sauf le règlement militaire", a-t-il souligné. |
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La Croix, 3/3/14 Au Burundi, nouvelle attaque contre l’armée L’armée burundaise a été la cible d’une violente attaque, dimanche 2 mars. Selon les auteurs de cette attaque, des anciens des Forces nationales de libération, 7 soldats burundais auraient été tués. Début février, le même groupe avait revendiqué cinq morts dans une précédente attaque. Une aile dissidente des Forces nationales de libération (FNL), une ex-rébellion Hutu devenue le principal parti d’opposition du Burundi, a revendiqué l’attaque, dimanche 2 mars, d’une position de l’armée burundaise à la frontière de la République démocratique du Congo (RDC). |
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@rib News, 03/03/2014 – Source AFP Des rebelles burundais ont revendiqué lundi l'attaque la veille d'une position de l'armée burundaise, affirmant avoir tué sept soldats dans une zone marécageuse frontalière avec la République démocratique du Congo. L'armée a nié avoir subi des pertes mais a confirmé l'attaque revendiquée par le groupe armé, aile dissidente des Forces nationales de libération (FNL), une ex-rébellion devenue le principal parti d'opposition du Burundi. |
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@rib News, 03/03/2014 – Source Xinhua Une bande d'hommes armés en provenance de l'est de la République démocratique du Congo (RDC) a attaqué à l'aube de ce lundi une position militaire située dans la réserve naturelle de la Rukoko (est du Burundi), a annoncé lundi le porte-parole de l'armée burundaise, le colonel Gaspard Baratuza. Au cours de l'attaque, trois assaillants ont été tués et deux militaires burundais ont été blessés, a-t-il précisé, ajoutant que ces assaillant se sont repliés vers la RDC. Parmi les tués figurerait un certain Innocent Ngendakuriyo (photo) connu sous le sobriquet de Nzarabu, considéré comme le cerveau du carnage de Gatumba qui a emporté plus de 40 personnes en septembre 2011.
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PANA, 27 février 2014 Bujumbura, Burundi - Quelque 48 ressortissants étrangers en situation irrégulière au Burundi ont été raflés ces derniers jours à Bujumbura, la capitale et d’autres parties du pays, a annoncé jeudi le porte-parole adjoint de la Police nationale du Burundi, Pierre Nkurikiye. Il a indiqué que parmi eux figurent 38 ressortissants du Rwanda voisin qui séjournaient tous à Bujumbura. |
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@rib News, 17/02/2014 – Source Reuters L'armée du Burundi a assuré lundi qu'elle n'interviendrait pas dans la crise politique en cours dans le pays, la pire depuis la fin de la guerre civile en 2005. "Il y a des rumeurs selon lesquelles l'armée va intervenir dans la crise actuelle, nous voulons rassurer sur le fait que l'armée est unie de la base au sommet", a dit le ministre de la Défense, le Général Pontien Gaciyubwenge (photo), lors d'une conférence de presse. |
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@rib News, 17/02/2014 – Source Reuters Des policiers anti-émeute ont tenté dimanche d'empêcher une réunion d'un petit parti de la coalition au pouvoir au Burundi, tirant des gaz lacrymogènes et se heurtant à des militants, ont rapporté des responsables et des témoins. Les agents ont encerclé le siège du parti UPRONA, dominé par les Tutsis, qui est une petite composante du Gouvernement mis en place en vertu d'accords de partage du pouvoir destinés à désamorcer les tensions ethniques après la fin de 12 ans de guerre civile en 2005. |
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@rib News, 16/02/2014 – Source AFP Trois membres du « principal parti tutsi du Burundi » ont été arrêtés dimanche à Bujumbura lors de la dispersion par la Police d’un rassemblement dans un contexte de tension politique croissante, a-t-on constaté sur place. Trois militants du parti, l’UPRONA, qui a récemment quitté le Gouvernement, et deux policiers ont également été blessés lors des incidents. |
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PANA, 11 février 2014 Bujumbura, Burundi - Les inondations provoquées par les pluies diluviennes qui se sont abattues sur Bujumbura dans la nuit de dimanche à lundi ont fait plus de soixante morts et 10.000 sans abris dans plusieurs quartiers populaires du Nord de la capitale burundaise, selon la Croix-rouge. L'accès des zones inondées restait difficile mardi et les recherches se poursuivaient sous les décombres des maisons et la boue pour retrouver d'éventuels corps de disparus, a indiqué le porte-parole de la Croix-Rouge du Burundi, Alexis Manirakiza. |
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RFI, 10-02-2014 Des trombes d’eau se sont abattues sur la capitale du Burundi dans la nuit de dimanche à lundi 10 février. Plus de 60 personnes sont mortes dans les quartiers périphériques inondés de Bujumbura. Le bilan de cette nuit tragique est encore partiel car les recherches continuent dans les décombres. D'après la police, jamais la capitale n'avait enregistré autant de morts dans des intempéries. [Photo : Une route s'est affaissée après les pluies diluviennes dans la nuit de dimanche à lundi 10 février 2014 à Bujumbura, capitale du Burundi.] |
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@rib News, 10/02/2014 - Source AFP Au moins 60 personnes sont mortes à la suite de pluies diluviennes dans la nuit de dimanche à lundi à Bujumbura, de mémoire le plus lourd bilan lié à des intempéries jamais enregistré dans la capitale burundaise. "Nous avons enregistré jusqu’ici 60 personnes tuées par ces intempéries," dans la capitale et sa périphérie immédiate, a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Croix-rouge burundaise, Alexis Manirakiza. "Ce sont surtout les enfants qui sont victimes", a-t-il ajouté, sans pouvoir dire combien d'entre eux avaient péri. |
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PANA, 10 février 2014 Bujumbura, Burundi - Une pluie torrentielle tombée dans la nuit de dimanche à lundi a occasionné des inondations qui ont fait au moins 51morts dans la banlieue nord de Bujumbura, la capitale du Burundi, indique le bilan provisoire du ministère de la Sécurité publique Certains quartiers et rues offraient le triste spectacle des lendemains d’un véritable ouragan, avec des pans entiers de toitures et de murs de maisons d’habitation à même le sol, ainsi que des rues impraticables à cause de la boue et des flaques géantes d’eau. |
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@rib News, 10/02/2014 « Le CNDD appelle le gouvernement burundais à plus veiller à prévenir ce genre de catastrophe en adoptant une stratégie et une politique de nature à prévenir les conséquences des catastrophes naturelles. Point n’est besoin d’affirmer que les conséquences des pluies diluviennes ont été aggravées en partie par un manque de vision de la part du pouvoir dans la gestion des calamités naturelles et des infrastructures publiques. », peut-on lire dans une déclaration du CNDD (opposition) suite à la tragédie des pluies diluviennes qui vient de frapper la ville Bujumbura et les provinces environnantes. Lire la Déclaration
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@rib News, 10/02/2014 - Source Xinhua Une pluie torrentielle qui s'est abattue sur Bujumbura, la capitale burundaise, dans la nuit de dimanche à lundi a emporté plus de 50 vies humaines dont la majorité est constituée d'enfants et plusieurs centaines de blessés, à côté des dégâts matériels, a annoncé lundi le ministère de la Sécurité publique. Cette pluie est tombée à partir de 22H00 locales (20H00 GMT) et la plupart des dégâts ont eu lieu au Nord-Ouest de la capitale et ce sont les eaux en provenance des collines surplombant la capitale qui ont causé tous ces dégâts, parfois même emportant avec elles des cadavres à partir de ces collines. |
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APA, 10-02-2014 Bujumbura (Burundi) - Des pluies torrentielles qui se sont abattues dans la nuit de dimanche à lundi ont fait une cinquantaine de morts et plusieurs blessés ainsi que des milliers de maisons effondrées dans les communes du Burundi de Bujumbura rural ainsi que dans les communes urbaines du Nord de Bujumbura, la capitale (Kamenge, Kinama et Buterere). La route nationale N°1, Bujumbura -Bugarama –Rwanda, était bloquée lundi matin du fait des glissements de terrain. En commune urbaine de Kamenge, le marché de Kamenge ainsi que l'école primaire de Nyabagere n'ont pas ouvert leurs portes. |
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@rib News, 10/02/2014 - Source AFP Au moins 51 personnes sont mortes à la suite de pluies diluviennes dans la nuit de dimanche à lundi à Bujumbura, de mémoire le plus lourd bilan lié à des intempéries jamais enregistré dans la capitale burundaise. « La pluie qui s'est abattue cette nuit sur la capitale et ses environs a causé une véritable catastrophe naturelle », a déclaré à la presse le ministre de la Sécurité publique, le général Gabriel Nizigama. « On a déjà retrouvé 51 cadavres de personnes tuées par l'effondrement de leur maison ou emportées » par des crues. |
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@rib News, 10/02/2014 - Source AFP Au moins 51 personnes sont mortes dans la capitale burundaise Bujumbura à la suite de pluies torrentielles survenues dans la nuit de dimanche à lundi, a annoncé le ministre de la Sécurité publique. Les autorités craignent que le bilan ne s'alourdisse encore, mais selon la police locale, il s'agit d'ores et déjà, de mémoire, du pire bilan lié à des intempéries dans la capitale. La police a aussi dénombré une centaine de blessés et des centaines de maisons effondrées. |
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@rib News, 03/02/2014 – Source AFP Cinq soldats ont été tués dans la nuit de dimanche à lundi dans les marais de la Rukoko, au nord de la capitale burundaise Bujumbura, lors d'une attaque revendiquée par une aile dissidente du principal parti d'opposition FNL (Forces nationales de libération), a-t-on appris de sources concordantes. "Hier soir, nos combattants ont attaqué une position de l'armée burundaise dans la Rukoko, à la hauteur de Gihanga (20 km au nord de Bujumbura) (...), ils ont tué cinq soldats, récupéré deux armes lourdes, trois kalashnikovs, des grenades et des munitions, avant de se replier après avoir incendié la position", a affirmé Eraste Dondogori, porte-parole de l'aile dissidente des FNL, ex-rébellion burundaise devenue ces dernières années un parti légal. |
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@rib News, 31/01/2014 - Source Xinhua L'Interpol Kenyan a réussi à récupérer 60 enfants burundais en 2013 qui étaient acheminés dans les pays étrangers pour exploitation sexuelle, a indiqué vendredi la ligue Iteka du Burundi, une organisation pour la protection des droits de l'homme. En mai 2013, deux voitures transportant des bassines remplies de bébés ont été prises en fragrant délit au Burundi, selon M. Joseph Ndayizeye, président de la ligue Iteka du Burundi. En outre, une jeune fille de 16 ans, embraquée dans le trafic sexuel, est retournée d'Oman en octobre 2013. |
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RTBF, 27 janvier 2014 Un trafiquant de restes humains se fait pincer à l'aéroport international de Bujumbura. Il expédiait des crânes, probablement originaires de la République démocratique du Congo en Asie. Enquête sur un nouveau type de trafic dans The Daily Beast. Le scanner des douanes burundaises a permis de découvrir les crânes envoyés par un marchand d'art italien en Thaïlande. Il stockait en outre une quarantaine de crânes dans son bureau. Il aurait demandé 300 dollars par crâne. Il a été arrêté. Le dossier est toujours à l'enquête. |
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@rib News, 25/01/2014 - Source Xinhua Le ministre des Relations Extérieures et de la Coopération Internationale, Laurent Kavakure (photo, à droite), et l'ambassadeur des Etats–Unis au Burundi, Mme Dawn Liberi (photo, à gauche), ont signé vendredi un Accord sur le Statut des Forces (Status of Forces Agreement - SOFA), une première dans les relations bilatérales américano-burundaises. "La mise en place d'un SOFA est une étape importante dans les relations bilatérales entre les États-Unis et l'un de ses partenaires. Le fait que le Burundi ait été désigné à la fois par le Département d' Etat et le Département de la Défense comme pays prioritaire pour la mise en place d'un SOFA n'est pas un produit du hasard. C'est parce que le Burundi a manifesté une volonté extraordinaire et une capacité croissante à venir en aide aux voisins en détresse", a expliqué l'ambassadeur Dawn Liberi. |
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@rib News, 23/01/2014 Exclusivité ARIB.INFO Un projet d’Accord sans précédent entre le Burundi et les Etats Unis d’Amérique concernant « Le Statut du personnel des Etats Unis en République du Burundi » serait sur le point d’être conclu entre les deux pays, selon un document reçu par La Rédaction d’ARIB.INFO et que nous publions en intégralité. Ledit projet risque de faire l’effet d’une bombe dans l’opinion, tant nationale qu’internationale, car la mise en application de ses dispositions remettrait en cause des pans entiers de l’Indépendance, la Souveraineté nationale, la Sécurité intérieure et l’Economie de la République du Burundi. Voici en quelques lignes la synthèse des 17 articles de ce projet d’Accord négocié à l’insu du Peuple burundais et de ses Représentants au Parlement. Selon le projet d’Accord : |
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@rib News, 09/01/2014 – Source Xinhua La commune de Mabanda de la province de Makamba, dans le sud du Burundi, a accueilli jeudi 35 Burundais refoulés de la Tanzanie où ils vivaient irrégulièrement, a rapporté vendredi la radio nationale burundaise. Ces personnes, composées de 18 hommes, de 16 enfants et d'une femme, ont été remises par la police tanzanienne de Kigoma à la Police burundaise de l'Air, des Frontières et des Etrangers (PAFE) sur la frontière entre les deux pays à Mabanda. |
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APA, 06-01-2014 Bujumbura (Burundi) - Le trafic humain est devenu monnaie courante au Burundi, d’ après le quotidien gouvernemental "Le Renouveau" qui, dans son édition du lundi, cite une association locale "Justice et Equité" selon laquelle il existe trois formes de trafic humain : le trafic sexuel, le trafic du travail et le trafic d’organes. Le journal privé "Iwacu" sorti lundi quant à lui ajoute une quatrième forme de trafic humain lié au fétichisme. Il cite un père de famille de la localité de Rumonge (sud du pays ) qui a été attrapé par la police en flagrant délit dans un cimetière où il s’ était donné rendez-vous avec un féticheur qui devait lui acheter ses deux enfants , une fille et un garçon de 4 ans. |
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Les Grands Hommes
Mirerekano/Ngendandumwe
Les Monuments
Place de l'Indépendance Monument de l'Unité
Mausolée de Rwagasore
Présidence Assemblée nationale
Sénat
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