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Justice
@rib News, 15/01/2016 - Source AFP La Cour suprême du Burundi a condamné vendredi quatre généraux à la prison à vie pour avoir organisé la tentative de coup d'Etat des 13 et 14 mai 2015, neuf officiers à 30 ans de prison pour y avoir pris part, huit hommes de troupe à 5 ans, et acquitté sept personnes, selon une source présente à l'audience. Sont condamnés à la perpétuité les généraux Cyrille Ndayirukiye, ancien ministre de la Défense et numéro 2 du putsch, Herménégilde Nimenya, Zénon Ndabaneze et Juvénal Niyungeko, qualifiés par la Cour de planificateurs de la tentative de coup d'Etat. |
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La Libre Belgique, 06 janvier 2016 Burundi Perpétuité requise contre les putschistes : notre "motivation était légale" Le procureur de la Cour suprême du Burundi a requis mercredi la perpétuité contre les 28 accusés du procès dit "des putschistes des 13 et 14 mai" derniers. Depuis le 14 décembre, 28 militaires et policiers burundais sont jugés par cette Cour à Gitega (à une centaine de km de la capitale, Bujumbura). Les 13 et 14 mai derniers, l’armée et la police avaient profité du départ à l’étranger du président Pierre Nkurunziza pour le destituer.[Photo : Le Général Cyrille Ndayirukiye arrive à la Cour suprême de Gitega] |
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@rib News, 06/01/2016 - Source AFP Le ministère public a requis mercredi devant la Cour suprême la prison à perpétuité pour les 28 militaires et policiers poursuivis pour la tentative de coup d'Etat militaire des 13 et 14 mai 2015 au Burundi, selon des sources judiciaires et des témoins. Dans un court réquisitoire, Adolphe Manirakiza, premier substitut du procureur général burundais, a requis "une peine de servitude pénale à perpétuité (prison à perpétuité) pour tous les accusés" et "une peine complémentaire d'interdiction d'exercer une fonction publique pendant 20 ans" parce qu'ils ont commis de "graves crimes et méritent donc la plus lourde sanction prévue par les lois du Burundi". |
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RFI, 05-01-2016 Burundi : le numéro 2 des putschistes «plaide coupable» Au Burundi, poursuite du procès devant la Cour suprême, qui s'est déportée à Gitega (centre du pays), où sont détenus des soldats et policiers accusés d'avoir participé à la tentative de coup d'Etat en mai 2015 au Burundi, alors que la répression des manifestations contre les opposants au 3e mandat du président Pierre Nkurunziza battait son plein. A la barre le général Cyrille Ndayirukiye « plaide coupable ». [Photo, de gauche à droite) : L'ex-ministre de la défense Cyrille Ndayirukiye, les généraux Juvenal Niyungeko et Richard Hagabimana, le commandant Eric Ntahomvukiye, le commissaire de police Zénon Ndabaneze et le capitaine Barnabé Barimbereyimna, arrivent à la Cour suprême de Gitega le 18 décembre 2015.] |
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@rib News, 05/01/2016 - Source AFP Le n°2 de la tentative de coup d'Etat militaire des 13 et 14 mai au Burundi, le général Cyrille Ndayirukiye (photo), a plaidé coupable lundi devant la Cour suprême qui juge 28 policiers et militaires impliqués, ont indiqué mardi des sources judiciaires et des témoins. "Je ne pouvais pas rester les bras croisés alors que la police était en train de tuer la population, pendant que le président Pierre Nkurunziza jouait au football et que les soldats (...) semblaient indifférents", a déclaré le général Ndayirukiye, entendu pour la première fois sur le fond, selon des propos rapportés par ces sources. |
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@rib News, 28/12/2015 - Source AFP L'enquête sur le meurtre en 2007 au Burundi d'Agnès Dury, une jeune volontaire française d'Action contre la faim (ACF), est "au point mort", a dénoncé lundi l'organisation non gouvernementale, qui craint "un enlisement du dossier". Cette psychologue de 31 ans avait été tuée le 31 décembre 2007 dans une voiture d'ACF qui avait été la cible de tirs à Ruyigi, dans l'est du pays. |
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@rib News, 18/12/2015 - Source Xinhua Une semaine après les attaques contre trois camps militaires au Burundi, les autorités ont annoncé vendredi la mise en place d'une équipe chargée de faire la lumière sur les allégations d'exécutions extrajudiciaires qui auraient été commises après ces attaques. L'équipe de trois magistrats est chargée de faire la lumière sur les allégations d'"exécutions extrajudiciaires" lors des combats qui ont suivi les attaques ourdies par un groupe non identifié contre trois camps militaires sis en mairie de Bujumbura et du camp Mujejuru dans la province de Bujumbura en date du 11 décembre 2015, a affirmé le procureur général de la République, Valentin Bagorikunda (photo), dans un communiqué. |
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Jeune Afrique, 16 décembre 2015 Son procès s'est ouvert lundi 14 décembre à Gitega. Mais le général Cyrille Ndayirukiye, incarcéré depuis sept mois pour avoir été l'un des principaux instigateurs du putsch avorté du 13 mai, n'a déjà plus d'avocats. Ses trois défenseurs – deux Burundais et un Belge – ont en effet été récusés par le Parquet. Bernard Maingain, l'avocat belge, a répondu aux questions de Jeune Afrique. |
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@rib News, 15/12/2015 - Source AFP L'avocat belge Bernard Maingain, qui défend un général putschiste accusé d'avoir participé à une tentative de coup d'Etat au Burundi, est lui-même poursuivi par la justice burundaise dans cette affaire, a appris mardi l'AFP de sources concordantes. Le procès de 28 militaires et policiers burundais accusés d'avoir participé à la tentative de coup d'Etat des 13 et 14 mai 2015 au Burundi, dont le général Cyrille Ndayirukiye, ancien ministre de la Défense et n°2 du putsch, s'est ouvert lundi à Gitega, à une centaine de kilomètres à l'est de Bujumbura. |
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La Libre Belgique, 15 décembre 2015 Burundi : Venu défendre des clients, l'avocat belge Bernard Maingain se retrouve accusé Alors que la capitale burundaise, Bujumbura, est en proie à des massacres, un procès important s'est ouvert ce lundi devant la Cour suprême, à Gitega. Vingt-huit militaires et soldats putschistes sont accusés d'avoir participé à la tentative de coup d'Etat des 13 et 14 mai. Le Belge Bernard Maingain est l'avocat de quatre de ces militaires. Contre toute attente, il est également poursuivi par la justice burundaise. |
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@rib News, 14/12/2015 – Source AFP Le procès de 28 militaires et policiers burundais accusés d'avoir participé à la tentative de coup d'Etat des 13 et 14 mai au Burundi, dont le général Cyrille Ndayirukiye (photo), ancien ministre de la Défense et n°2 du putsch, s'est ouvert lundi, selon des sources judiciaires et des témoins. Le procès a débuté en milieu de matinée devant la Cour suprême - compétente pour juger les officiers supérieurs - siégeant pour l'occasion à Gitega, où sont détenus les 28 accusés, à une centaine de kilomètres à l'est de Bujumbura. |
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BBC Afrique, 14 décembre 2015 Burundi : 28 "putschistes" jugés Au Burundi, vingt-huit personnes accusées d'avoir orchestré un coup d’Etat le 13 mai dernier vont être jugées lundi à Bujumbura. Parmi les accusés figurent de nombreux généraux de l'Armée et un ancien ministre de la Défense. Une tentative de coup d'État a été perpétrée au Burundi le 13 mai 2015, dirigée par le général Godefroid Niyombare. L'ex-chef des renseignements du Burundi avait recommandé au président de ne pas se présenter pour un troisième mandat. [Photo : Le Général Niyombare, auteur du coup d'Etat manqué est toujours introuvable.] |
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@rib News, 08/12/2015 – Source Xinhua Le gouvernement du Burundi a décidé mardi de libérer 97 prisonniers accusés d'avoir manifesté contre le troisième mandat du président Pierre Nkurunziza, depuis le mois d'avril de l'année en cours. Avant de sortir de la prison centrale de Mpimba, ces prisonniers ont subi une séance de formation patriotique (photo) d'une journée et Déo Ruberintwari, secrétaire permanent au ministère de la Justice, explique ici qu'on avait planifié pour deux semaines de formation patriotique, mais que par manque de moyens financiers, l'on s'est contenté de cette seule journée. |
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@rib News, 07/12/2015 – Source Reuters Un chef d'entreprise français a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir corrompu le ministre de l'Energie du Burundi, annonce lundi le parquet national financier. Pierre Achach (photo) a été condamné jeudi dernier à 30 mois de prison avec sursis pour corruption, fraude fiscale et blanchiment de fraude fiscale, ainsi qu'à une amende de 1,5 million d'euros, précise-t-il dans un communiqué. |
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@rib News, 07/12/2015 – Source AFP Un homme d'affaires français a écopé d'une lourde amende et de prison avec sursis pour avoir payé en 2011 un billet d'avion à un ministre du Burundi, Moïse Bucumi (photo), dans l'espoir de faire renouveler un permis pétrolier, tout en dissimulant plusieurs millions d'euros au fisc, a annoncé lundi le parquet national financier (PNF). Pierre Achach, 53 ans, numéro deux de la société britannique d'exploration pétrolière Surestream Petroleum, a été condamné à 30 mois de prison avec sursis et à 1,5 million d'euros d'amende pour fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale et corruption, le 3 décembre, devant le tribunal correctionnel de Paris, a précisé le PNF. |
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APA, 07-11-2015 Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le Procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Fatou Bensouda, a exprimé, vendredi, sa préoccupation face à la "situation sécuritaire alarmante", au Burundi. Le Procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Fatou Bensouda, a exprimé, vendredi, sa préoccupation face à la « situation sécuritaire alarmante », au Burundi. |
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@rib News, 07/11/2015 - Source AFP La procureure de la Cour pénale internationale (CPI) a mis en garde vendredi contre un risque de violences massives au Burundi, se disant prête à poursuivre tout auteur de crimes de guerre, crimes contre l'humanité ou actes de génocide. Mme Fatou Bensouda a dit dans un communiqué avoir informé les autorités de Bujumbura de sa volonté "si certains agissements - que ce soit des forces de sécurité, des milices ou de tout groupe armé - devaient constituer des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité ou des actes de génocide". |
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Deutsche Welle, 21.10.2015 Bujumbura accuse les opposants d'être à l'origine de cette situation d'insécurité et de son aggravation. C'est pourquoi, le procureur général de la République a demandé l'extradition de douze opposants en exil. Cette liste de 12 noms a été transmise le 12 octobre dernier par Valentin Bagorikunda, à la Garde des Sceaux et Ministre de la Justice, Aimée Laurentine Kanyana. C'est elle qui devrait transmettre cette demande d'extradition aux autorités belges. |
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@rib News, 20/10/2015 COMMUNIQUE DE PRESSE : - ASSASSINAT DE CHARLOTTE UMUGWANEZA - SIX CADAVRES RETROUVES DANS LA PROVINCE DE KAYANZA Samedi 17 octobre, nous avons été informés que le corps sans vie de Charlotte Umugwaneza a été retrouvé sur la route RN1 vers Bugarama. Cette dame était d’origine rwandaise, sa famille étant arrivée au Burundi dans les années cinquante. Elle était membre du comité exécutif de l’OLUCOME, office de lutte contre la corruption, dont le directeur général Ernest Manirumva avait été assassiné il y a quelques années. L’affaire Manirumva avait agité le Burundi car les enquêtes menées à l’époque avaient identifié les commanditaires de l’assassinat dans l’appareil d’état burundais. Lire l’intégralité du Communiqué |
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RFI, 08-10-2015 Burundi : un avocat dénonce la détention à l’isolement des putschistes Après deux jours de quasi-mutinerie à la prison de Gitega, la police est parvenue à isoler les vingt-huit présumés putschistes qui avaient tous été rassemblés dans cette prison. Une source locale affirme que ces derniers auraient été enfermés dans sept cellules - soit quatre prisonniers par cellule - et qu'un mur aurait été construit pour les maintenir à l'écart du reste de la population de la prison de Gitega. |
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APA, 29-09-2015 Bujumbura (Burundi) - Vingt-huit (28) militaires et officiers présumés putschistes sont tous incarcérés depuis vendredi dernier dans la prison de Gitega (Centre du Burundi) suite au regroupement des détenus de la prison de Rumonge avec ceux qui étaient emprisonnés à Gitega où des cellules pour leur isolement individuel ont été érigées, a-t-on appris mardi auprès de leurs avocats. Un d’entre eux, Me Lambert Nsabimana (photo), a laissé entendre que les membres de leurs familles ne peuvent plus les voir et des militaires et policiers lourdement armés viennent régulièrement les intimider. |
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RFI, 19-09-2015 Mandats d'arrêt contre des opposants : fortes inquiétudes au Burundi Au Burundi, le procureur général de la République a annoncé hier l'émission de mandats d'arrêt internationaux contre les responsables de la campagne «halte au troisième mandat», de partis politiques et des médias. Tous sont accusés d'avoir organisé un mouvement insurrectionnel dans le pays et d'être complices de la tentative de coup d'Etat contre Pierre Nkurunziza, le 13 mai dernier. Le procureur général de la République n'a pas cité de noms, mais il a fait référence à un rapport d'une commission d'enquête judiciaire dont RFI avait obtenu copie. |
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RFI, 18-09-2015 Au Burundi, le procureur général de la République a annoncé l'émission de mandats d'arrêt internationaux contre les opposants au troisième mandat de Pierre Nkurunziza. Valentin Bagorikunda a affirmé ce jeudi au cours d'une conférence de presse que les membres de la société civile à l'origine de la campagne halte au troisième mandat, certains partis d'opposition et médias étaient responsables de l'organisation d'un mouvement d'insurrection au Burundi et complices de la tentative de putsch du 13 mai. Lors de cette conférence de presse organisée à Bujumbura, M. Bagorikunda a repris à son compte les conclusions d'une commission judiciaire d'enquête qu'il avait nommée en mai. |
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APA, 17-09-2015 Bujumbura (Burundi) - Les manifestations contre le troisième mandat du président Nkurunziza qui ont débuté avec le 26 avril ont causé des pertes évaluées à plus de 51 milliards FBU (31.971.300 dollars), selon le procureur général de la République, Valentin Bagorikunda. Au cours d’une conférence de presse tenue donnée jeudi à Bujumbura, M. Bagorikunda a souligné que des policiers et des personnes proches du parti dont le nombre n’a pas été précisé ont été tués par les manifestants. |
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@rib News, 11/09/2015 – Source AFP La contestation contre un 3e mandat du président Pierre Nkurunziza au Burundi est un « mouvement insurrectionnel », initié par les principaux dirigeants de l’opposition et de la société civile, estime une commission d’enquête qui les accuse d’être liés aux meneurs de la tentative de putsch de mai. Les « manifestations enclenchées le 26 avril 2015 n’ont respecté aucune règle établie » en matière de manifestations publiques (notamment une demande d’autorisation préalable) et sont « par conséquent un mouvement insurrectionnel » punissable devant la justice, indique dans son rapport « la Commission d’enquête chargée de faire la lumière sur le mouvement insurrectionnel déclenché le 26 avril ». |
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