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Analyses
International Crisis Group, 17 avril 2015 Les élections au Burundi : l’épreuve de vérité ou l’épreuve de force? Rapport Afrique N°224 - 17 avr. 2015 SYNTHESE ET RECOMMANDATIONS Les élections qui doivent avoir lieu de fin mai à août 2015 vont être décisives pour l’avenir du Burundi. Sont en jeu non seulement le devenir de l’équipe au pouvoir (le président Pierre Nkurunziza envisage de briguer un troisième mandat) mais aussi et surtout le maintien de l’accord d’Arusha comme fondation de la paix au Burundi. Les mobilisations populaires et le précédent de la chute du président au Burkina Faso laissent augurer une confrontation dans la rue en cas de passage en force de Nkurunziza. Le retour de la violence ne mettrait pas seulement fin à la paix civile progressivement rétablie après l’accord d’Arusha en 2000 mais aurait des implications régionales déstabilisatrices et marquerait un nouvel échec des politiques de consolidation de la paix. Pour éviter un tel scénario, les partenaires du Burundi, qui ont déjà exprimé leur inquiétude, doivent renforcer leur implication dans le processus électoral et prévoir une réponse graduée en fonction de son inclusivité politique. |
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@rib News, 28/03/2015 Position de l’Observatoire de l’Action Gouvernementale, OAG, sur une éventuelle saisine de la Cour Constitutionnelle par le Chef de l’Etat, Pierre Nkurunziza, en vue de légitimer sa candidature au troisième mandat. Du contexte Au lieu de se dissiper, la controverse qui entoure une éventuelle candidature au troisième mandat de Président de la République pour l’actuel Chef de l’Etat, Pierre Nkurunziza, s’amplifie au fur et à mesure que les échéances électorales approchent. La communauté internationale, l’opposition politique, la société civile et même beaucoup de membres éminents de son propre parti, CNDD-FDD, ont beau attirer son attention sur l’illégalité d’un tel mandat supplémentaire et surtout le risque qu’il ferait encourir à tout le pays en tentant de le briguer en toute illégalité, rien ne semble venir au bout de la détermination du Chef de l’Etat à s’accrocher au pouvoir. Que ce soit le Président de la République, lui-même, ou alors ses partisans qui tiennent, mordicus, à sa reconduction, l’ultime recours devrait être, pour eux, la Cour Constitutionnelle. C’est cette option possible qui appelle notre commentaire. Lire l’intégralité de la Déclaration |
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IRIN, 10 mars 2015 Ce que représente l’évasion d’un dissident dans un climat tendu au Burundi BUJUMBURA - Plus d’une semaine après son évasion d’une prison de Bujumbura, Hussein Radjabu a fait une déclaration. Cet ancien commandant rebelle et homme politique puissant qui jouit d’un large soutien populaire purgeait depuis huit ans une condamnation à 13 ans de prison. « Je compte travailler avec tous les Burundais [pour élaborer] une meilleure politique qui rassemble tout le monde, afin que nous ayons un pays meilleur », a-t-il déclaré au service Swahili de la Voix de l’Amérique, mettant fin aux rumeurs qui disaient qu’il avait peut-être été assassiné. Le lieu où il se trouve n’a pas été révélé. |
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IRIN, 21 janvier 2015 Violences, arrestations et méfiance à l'approche des élections au Burundi Bujumbura - Deux semaines après les combats qui ont secoué le nord-ouest du Burundi pendant cinq jours, très peu d'informations ont filtré sur l'identité du groupe armé qui est entré dans le pays avant d'être défait par l'armée. Les combats et le manque d'information suscitent l'inquiétude, alors que les élections de mai et juin s'organisent sur fond de méfiance entre le gouvernement et l'opposition. Quelque 300 000 personnes ont perdu la vie pendant la guerre civile (1993 à 2005) qui a suivi l'organisation des premières élections démocratiques dans le pays. |
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@rib News, 15/01/2015 Assassinat du Premier ministre du Burundi, Pierre Ngendandumwe Cinquante ans après Contribution à la Commission Vérité-Réconciliation et au Mécanisme de Justice Transitionnelle Par Perpétue Nshimirimana, le 15 janvier 2015 L’année 2015 est une année particulière dans l’Histoire du Burundi. Elle marque, en effet, le cinquantième anniversaire du déclenchement des premiers assassinats en masse des citoyens et des intellectuels burundais ayant en commun le fait d’appartenir à l’ethnie Hutu. Cet anniversaire invite tous les Barundi épris de justice et de paix à marquer un temps d’arrêt pour une pensée envers toutes les victimes innocentes du pays. Aujourd’hui, le public attend, précisément, de la part des dirigeants du Burundi officiel, de vrais gestes symboliques et concrets dans le but d’honorer leur mémoire et de lutter contre l’oubli suivi d’une impunité invraisemblable. Lire l'intégralité de l'Analyse |
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Le Pays, 19 décembre 2014 ALTERNANCE AU BURUNDI : Nkurunziza persiste et signe Au fur et à mesure qu’approchent les élections législatives et présidentielle de mai et juin 2015, le mercure monte au Burundi. En effet, la polémique enfle autour de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), chargée de l’organisation de ces élections, qui est accusée par l’opposition, d’orchestrer des fraudes massives dans l’enregistrement des électeurs, au profit du parti au pouvoir. Pour cette raison, l’opposition exige la démission hic et nunc de cette institution. |
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@rib News, 04/12/2014 Cher collègues d’Arib, Je me permets de réagir à la lettre du 2 décembre 2014 qu’aurait adressée M. Pasteur Habimana au Substitut Général à Bujumbura et qui a été publiée sur votre site web. Sans vouloir me prononcer sur l’éventuelle dimension politique de sa démarche et/ou des enquêtes récemment ouvertes concernant le massacre de Gatumba de 2004, je crois utile attirer l’attention de vos lecteurs à une analyse juridique que j’ai publiée, in tempore non suspecto (avril 2008) dans l’Afrique des Grands Lacs. Annuaire 2007-2008 et que vous trouvez en annexe (“Immunité provisoire et blocage des négociations entre le Gouvernement du Burundi et le Palipehutu-FNL : une analyse juridique” ). |
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@rib News, 24/11/2014 « Tous les Burundais devraient se poser cette question "quelle est l’école burundaise du 21ème siècle" en tenant compte des défis de développement et de reconstruction du Burundi, du tissu social déchiré par la guerre, de la perte des valeurs éthiques de nos aïeux : culte de la vérité, le sens élevé de responsabilité, l’intégrité morale et l’honnêteté, la tolérance, l’amour de la Patrie, le travail et le travail bien fait, le respect de la vie humaine ainsi que les idéaux de paix, d’entraide et de solidarité, de démocratie et de justice sociale ? », écrit le Professeur Libérat Ntibashirakandi dans une analyse intitulée "Quid d’une école burundaise du 21ème siècle ou La prégnance de l’Excellence !", en guise de contributions aux Etats généraux de l’Education, prévus du 2 au 5 décembre prochain au Burundi. Lire l’intégralité du Document |
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@rib News, 21/10/2014 BURUNDI : ELECTIONS 2015 QUI DEFENDRA LES INTERETS DU PETIT PEUPLE ? Par Joseph Ntamahungiro En Hommage au Président Melchior Ndadaye A moment où la fièvre préélectorale inonde (j’allais dire empoisonne) nos médias et nos bouches, qu’en est-il des préoccupations de nos politiciens par rapport à la défense des intérêts de leurs électeurs composés presque à 100% du petit peuple, « Ba nyarucari » ? Posée crûment, la question est celle-ci: Que retireront la très grande majorité des Hutu, des Tutsi et des Twa du fait que ces élections auront reconduit au pouvoir les dirigeants actuels avec le CNDD-FDD en tête ou des hommes et femmes issus des différents partis de l’opposition ? Le débat ne passe-t-il pas à côté de l’essentiel au vu de la situation actuelle décrite dans les quatre «tableaux » suivants qui plantent le décor de la misère dans laquelle vivent la majorité des Burundais ? Car manifestement, la situation dramatique évoquée ci-après ne constitue pas la préoccupation de ceux et celles qui se battent pour nous diriger demain. Lire l’intégralité de l’Analyse |
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@rib News, 08/10/2014 La Commission électorale nationale indépendante (CENI) du Burundi et la loi : les candidats poursuivis en justice sont-ils éligibles ? Par Stef Vandeginste - octobre 2014 1. Introduction A travers des déclarations de son président, M. Pierre-Claver Ndayicariye, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a insisté, à plusieurs reprises, sur le fait qu’elle doit respecter la loi dans la mise en oeuvre des missions que lui a attribuées le législateur burundais.1 Elle a tout à fait raison. Des recherches académiques concernant le fonctionnement des mécanismes de gestion des élections dans d’autres pays post-conflit confirment que, pour pouvoir fonctionner au-dessus de la mêlée politique et pour sauvegarder sa légitimité, une commission électorale doit respecter la loi et assurer que les élections aient lieu dans le strict respect de la loi.2 |
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@rib News, 30/08/2014 2015 : Le Burundi à la croisée des chemins Par Isaac Nizigama, Ph.D. Le Burundi se prépare, en 2015, à un troisième rendez-vous électoral post-Arusha, dans le contexte d’un projet de démocratisation du pays. 2005 et 2010 en furent les premières expériences où le CNDD-FDD démontra sa grande assise populaire par des victoires électorales successives et décisives, nonobstant les contestations de l’opposition politique, particulièrement en 2010. En 2015, le rendez-vous électoral a ceci de particulier qu’il constitue, pour le parti qui aura dirigé le Burundi pendant 10 ans, un test tant sur le plan de la quête démocratique que sur celui du patriotisme en tant que tel. Ce test constitue, en même temps, un test de crédibilité. On pourrait même avancer qu’il s’agit d’un test de légitimité démocratique du pouvoir CNDD-FDD. Lire la suite |
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@rib News, 28/08/2014 – Source Le Soir Kigali : des arrestations frappent le “premier cercle” Le carnet de Colette Braeckman - 26 août 2014 Qui sera le suivant ? Malgré la discrétion de rigueur et le contrôle des communications, une certaine inquiétude se manifeste au Rwanda dans les cercles les plus proches du pouvoir, après l’arrestation de trois hauts responsables militaires : l’ancien chef de la garde présidentielle le colonel Tom Byabagamba a été arrêté, accusé de crimes contre la sécurité de l’Etat. Cet officier d’active avait exercé de hautes fonctions au sein de l’état major de la mission de l’ONU au Sud Soudan. Dans le même temps, deux officiers à la retraite, le général Frank Rusagara et le capitaine David Kabuye ont également été arrêtés. |
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@rib News, 02/08/2014 LA LIMITATION CONSTITUTIONNELLE DU NOMBRE DE MANDATS PRESIDENTIELS EST PRECISE ET SON APPLICATION RELEVE DU DEVOIR CONSTITUTIONNEL DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE. Par Me Pacelli Ndikumana Introduction La publication d’une analyse juridique concernant la limitation constitutionnelle du nombre de mandats présidentiels et la conclusion que son auteur, le chargé de cours Stef Vandeginste tire de celle-ci selon laquelle la constitution burundaise serait une coquille vide, nous a poussés à produire une différente analyse et à relever les lacunes juridiques que présente son étude. Lire l’intégralité de l’analyse |
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Le Soir, 20 juillet 2014 Chaises musicales en Afrique centrale : qui bougera le premier ? Le carnet de Colette Braeckman Confrontés aux mêmes échéances, ils se surveillent du coin de l’œil et ne pipent mot sur leurs intentions réelles… Les trois chefs d’Etat des pays de l’Afrique des Grands Lacs, République démocratique du Congo, Rwanda et Burundi, bien installés au pouvoir, se trouvent tous dans une période étrange : leur mandat se termine, la Constitution de leur pays leur interdit de se représenter et…le silence absolu règne autant sur leurs intentions réelles que sur l’identité de leurs éventuels successeurs. Cette ambiguïté fait monter la tension politique, autorise toutes les spéculations et porte en germe un fort potentiel de violence. En outre, au Congo et au Burundi, les pressions internationales se multiplient, car ces deux pays sont considérés comme relativement fragiles. |
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@rib News, 20/06/2014 La limitation constitutionnelle du nombre de mandats présidentiels : une coquille vide ? Une analyse du cas du Burundi. Par Stef Vandeginste - Chargé de cours à l’Université d'Anvers Résumé Dans le débat concernant l’éventuelle candidature à un mandat présidentiel supplémentaire des présidents en exercice au Burundi, en République démocratique du Congo et au Rwanda, on observe une tendance de la part d’acteurs politiques et diplomatiques à appeler au respect de la Constitution. Appliquée au cas du Burundi, l’analyse juridique présentée dans ce papier montre que d’importants défis peuvent se poser en ce qui concerne la mise en application de la norme constitutionnelle consacrant le principe de la limitation du nombre de mandats que peut exercer un président de la République. |
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@rib News, 13/06/2014 – Source Le Soir La peur gagne du terrain au Burundi Le carnet de Colette Braeckman - 10 juin 2014 Restrictions à la liberté de la presse, arrestation du plus connu des défenseurs des droits de l’homme, Pierre Claver Mbonimpa, accusé d’atteinte à la sûreté de l’Etat, mandats d’arrêt contre des opposants politiques, rumeurs d’exécutions extrajudiciaires… Le climat politique au Burundi s’alourdit dangereusement et la fuite d’un document confidentiel émanant de la BINUB (Mission des Nations unies au Burundi) a rappelé de mauvais souvenirs, vingt ans après le génocide au Rwanda : reprenant plusieurs sources convergentes, ce rapport accusait le parti au pouvoir, CNDD-FDD, (Conseil national pour la défense de la démocratie) d’avoir distribué des armes aux « Imbonerakure », des groupes de jeunes « sportifs » organisés en milices et de les avoir entraînés dans des camps situés en territoire congolais. Selon de nombreux témoignages, les « Imbonerakure » règnent en maîtres sur les collines et ils inspirent une peur telle que bien des citoyens n’osent plus circuler dès la tombée de la nuit. |
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@rib News, 15/05/2014 Projet de culture de Stavia au Burundi : réaction et conseils Par Ir Ntibikunda Antoine Il y a une semaine, le Conseil des Ministres du Burundi a tenu sa réunion hebdomadaire et dans laquelle a été abordé entre autres la question relative à l’introduction et à la multiplication de la culture de Stévia au Burundi dans un but de gagner des devises [@rib News, 09/05/2014 - Burundi : Projet de la culture de la stévia comme sources de devises ]. Dans cette séance, le Gouvernement du Burundi s’est convenu de trouver d’abord le marché avant la mise en place de cette culture. Voici ce que pense le Spécialiste en cette matière, Monsieur l’Ingénieur Agronome Ntibikunda Antoine. |
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@rib News, 05/05/2014 « Où EN EST-ON AVEC LA RECONCILIATION AU BURUNDI ? » Communication faite le 3 mai 2014 à l’Hôtel Park Inn/Bruxelles dans le cadre d’une conférence organisée par le Parti Populaire Rwandais-Imena sur le thème de la Réconciliation Par Joseph Ntamahungiro Parler de réconciliation au Burundi renvoie directement à la reconnaissance du conflit Hutu-Tutsi (on devrait dire les conflits) et à l’«Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation » signé le 20 août 2000. En effet, pour beaucoup d’observateurs et d’analystes burundais et étrangers, cet Accord a scellé la réconciliation des Burundais. Ce n’est pas mon avis et je dirai pourquoi plus loin. Mon propos comprend quatre parties d’inégale grandeur : 1) Comment comprendre le «conflit burundais » 2) Que retenir de l’Accord d’Arusha 3) Nouveaux conflits 4) Brève conclusion. Lire l’intégralité de l’Analyse
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IRIN, 21 avril 2014 Le Burundi en proie à l’instabilité à l’approche des élections BUJUMBURA - Si le haut degré de mobilisation des partis non dirigeants est un indicateur du risque d’instabilité politique, le Burundi est un pays à surveiller de près à l’approche des élections présidentielles prévues l’année prochaine. Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a rencontré le président Pierre Nkurunziza. Les États-Unis ont également dépêché un envoyé spécial sur place pour s’entretenir personnellement avec le président. Le Conseil de sécurité des Nations Unies a publiquement exprimé son inquiétude. Et il ne s’agit là que des principaux protagonistes d’un concert de protestations qui s’élève pour exprimer une inquiétude grandissante. |
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@rib News, 03/04/2014 Burundi : Jusqu'où ira Pierre Nkurunziza pour un 3e mandat ? Afrique Éducation, Numéro 388-389 du 1er au 30 avril 2014 Moussa Konaté et Aristide Koné Le rouleau compresseur va être déployé contre Pierre Nkurunziza, s’il s’entête à se représenter, pour un troisième mandat auquel il n’a pas droit. Accusé de piétiner la constitution et les Accords d’Arusha, il risque d’entraîner, inexorablement, le Burundi, vers le clash, en cherchant à contourner le refus des députés de l’Assemblée nationale de valider sa réforme constitutionnelle. Nullement découragé par ce camouflet retentissant, il compterait sur l’arbitrage de la Cour constitutionnelle, pour se maintenir au pouvoir. Un véritable suicide politique. |
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@rib News, 02/04/2014 Les enfants des pauvres ont eux-aussi droit d’accès à l’enseignement universitaire ! 31 mars 2014, Libérat Ntibashirakandi Préambule N’eut-été la bourse accordée aux étudiants burundais, la majorité des responsables tant politiques qu’académiques qui ont pris la mesure injuste de supprimer progressivement la bourse des étudiants ne seraient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. Eh oui, la politique d’après moi, le déluge ! Et cette mesure est injuste dans la mesure où elle frappe les enfants des plus démunis, seul Dieu sait combien ils sont nombreux au Burundi ! Et pourtant, ce sont ces étudiants qui sont l’espoir pour leurs familles comme l’ont été les autorités du Ministère et des Institutions concernées. Lire l’intégralité de l’Analyse |
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@rib News, 01/04/2014 Burundi : les nouvelles mesures d’octroi de la bourse aux étudiants violent la norme de l’égalité et de la non-discrimination. Par Me Emmanuel NKENGURUTSE. La question en rapport avec les nouvelles modalités d’octroi de la bourse aux étudiants est à poser dans les termes appropriés. La bourse doit être gérée en respectant des règles précises de droit garantissant à chaque étudiant un exercice égal et non discriminatoire de son droit à l’enseignement supérieur. C’est moins une question de ressources qu’une question de respect du droit à l’égalité et à la non-discrimination. Dans une société démocratique, la question de ressources ne peut pas prévaloir sur la norme de l’égalité et non-discrimination. 1. Rappel du contenu de la norme. |
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International Crisis Group, 20 février 2014 Danger de rechute au Burundi : question foncière et consolidation de la paix Thierry Vircoulon, Afrique Décryptages Le Burundi est l’un des pays les plus pauvres (le taux de pauvreté atteint 67%) et les plus petits d’Afrique (27 834 kilomètres carrés) avec l’une des plus grandes densités humaines du continent (près de 400 habitants par kilomètre carré). C’est du reste un pays profondément rural où seulement 11% de la population réside en ville. Alors que l’accès à la terre et à la propriété est un véritable enjeu socio-économique, le Burundi fait face à de sérieux problèmes agricoles. La superficie moyenne d’une exploitation agricole est aujourd’hui estimée à moins d’un demi-hectare, renforçant la surexploitation, l’érosion et l’acidification des sols. Les difficultés du secteur agricole se traduisent par un sérieux problème de sécurité alimentaire : le taux de malnutrition approche les 75%. |
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ICG, 17 févr. 2014 Les terres de la discorde (II) : restitution et réconciliation au Burundi Rapport Afrique N°214 - 17 févr. 2014 Pour éviter une résurgence des tensions entre Hutus et Tutsis, le Burundi doit trouver le juste équilibre entre restitution des terres et réconciliation nationale. Nairobi/Bruxelles | Dans son dernier rapport, Les terres de la discorde (II) : restitution et réconciliation au Burundi, l’International Crisis Group analyse, d’une part, le processus de restitution des terres engagé depuis le retour de centaines de milliers de réfugiés et de déplacés et, d’autre part, les défis que cela engendre pour la réconciliation nationale. Suite à l’accord de paix d’Arusha en 2000, une politique de restitution a été mise en œuvre mais la compensation foncière promise à ceux qui ne peuvent pas récupérer leurs biens spoliés lors de la guerre civile fait toujours défaut. |
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ICG, 12 févr. 2014 Les terres de la discorde (I) : la réforme foncière au Burundi Rapport Afrique N°213 - 12 févr. 2014 Tant que le gouvernement n’aura pas réformé la gouvernance foncière, les efforts pour consolider une paix durable demeureront insuffisants. Nairobi/Bruxelles | Dans son dernier rapport, Les terres de la discorde (I) : la réforme foncière au Burundi, le premier d’une série de deux rapports, l’International Crisis Group explore les raisons de l’échec de la réforme foncière depuis la signature de l’accord d’Arusha en 2000. Dans ce pays rural et surpeuplé, la mauvaise gouvernance foncière a contribué à la guerre civile et sa réforme faisait partie intégrante de l’accord d’Arusha. Quatorze ans plus tard, alors que 90 pour cent de la population dépend de l’agriculture, beaucoup souffrent de malnutrition et les conflits fonciers demeurent le principal facteur de violence dans les zones rurales. Résoudre le problème foncier est donc fondamental pour la stabilité politique et la croissance économique à long terme du Burundi. Les conclusions et recommandations principales du rapport sont : |
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