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Analyses
@rib News, 21/10/2014 BURUNDI : ELECTIONS 2015 QUI DEFENDRA LES INTERETS DU PETIT PEUPLE ? Par Joseph Ntamahungiro En Hommage au Président Melchior Ndadaye A moment où la fièvre préélectorale inonde (j’allais dire empoisonne) nos médias et nos bouches, qu’en est-il des préoccupations de nos politiciens par rapport à la défense des intérêts de leurs électeurs composés presque à 100% du petit peuple, « Ba nyarucari » ? Posée crûment, la question est celle-ci: Que retireront la très grande majorité des Hutu, des Tutsi et des Twa du fait que ces élections auront reconduit au pouvoir les dirigeants actuels avec le CNDD-FDD en tête ou des hommes et femmes issus des différents partis de l’opposition ? Le débat ne passe-t-il pas à côté de l’essentiel au vu de la situation actuelle décrite dans les quatre «tableaux » suivants qui plantent le décor de la misère dans laquelle vivent la majorité des Burundais ? Car manifestement, la situation dramatique évoquée ci-après ne constitue pas la préoccupation de ceux et celles qui se battent pour nous diriger demain. Lire l’intégralité de l’Analyse |
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@rib News, 08/10/2014 La Commission électorale nationale indépendante (CENI) du Burundi et la loi : les candidats poursuivis en justice sont-ils éligibles ? Par Stef Vandeginste - octobre 2014 1. Introduction A travers des déclarations de son président, M. Pierre-Claver Ndayicariye, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a insisté, à plusieurs reprises, sur le fait qu’elle doit respecter la loi dans la mise en oeuvre des missions que lui a attribuées le législateur burundais.1 Elle a tout à fait raison. Des recherches académiques concernant le fonctionnement des mécanismes de gestion des élections dans d’autres pays post-conflit confirment que, pour pouvoir fonctionner au-dessus de la mêlée politique et pour sauvegarder sa légitimité, une commission électorale doit respecter la loi et assurer que les élections aient lieu dans le strict respect de la loi.2 |
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@rib News, 30/08/2014 2015 : Le Burundi à la croisée des chemins  Par Isaac Nizigama, Ph.D. Le Burundi se prépare, en 2015, à un troisième rendez-vous électoral post-Arusha, dans le contexte d’un projet de démocratisation du pays. 2005 et 2010 en furent les premières expériences où le CNDD-FDD démontra sa grande assise populaire par des victoires électorales successives et décisives, nonobstant les contestations de l’opposition politique, particulièrement en 2010. En 2015, le rendez-vous électoral a ceci de particulier qu’il constitue, pour le parti qui aura dirigé le Burundi pendant 10 ans, un test tant sur le plan de la quête démocratique que sur celui du patriotisme en tant que tel. Ce test constitue, en même temps, un test de crédibilité. On pourrait même avancer qu’il s’agit d’un test de légitimité démocratique du pouvoir CNDD-FDD. Lire la suite  |
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@rib News, 28/08/2014 – Source Le Soir Kigali : des arrestations frappent le “premier cercle” Le carnet de Colette Braeckman - 26 août 2014 Qui sera le suivant ? Malgré la discrétion de rigueur et le contrôle des communications, une certaine inquiétude se manifeste au Rwanda dans les cercles les plus proches du pouvoir, après l’arrestation de trois hauts responsables militaires : l’ancien chef de la garde présidentielle le colonel Tom Byabagamba a été arrêté, accusé de crimes contre la sécurité de l’Etat. Cet officier d’active avait exercé de hautes fonctions au sein de l’état major de la mission de l’ONU au Sud Soudan. Dans le même temps, deux officiers à la retraite, le général Frank Rusagara et le capitaine David Kabuye ont également été arrêtés. |
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@rib News, 02/08/2014 LA LIMITATION CONSTITUTIONNELLE DU NOMBRE DE MANDATS PRESIDENTIELS EST PRECISE ET SON APPLICATION RELEVE DU DEVOIR CONSTITUTIONNEL DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE.  Par Me Pacelli Ndikumana Introduction La publication d’une analyse juridique concernant la limitation constitutionnelle du nombre de mandats présidentiels et la conclusion que son auteur, le chargé de cours Stef Vandeginste tire de celle-ci selon laquelle la constitution burundaise serait une coquille vide, nous a poussés à produire une différente analyse et à relever les lacunes juridiques que présente son étude. Lire l’intégralité de l’analyse  |
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Le Soir, 20 juillet 2014 Chaises musicales en Afrique centrale : qui bougera le premier ?  Le carnet de Colette Braeckman Confrontés aux mêmes échéances, ils se surveillent du coin de l’œil et ne pipent mot sur leurs intentions réelles… Les trois chefs d’Etat des pays de l’Afrique des Grands Lacs, République démocratique du Congo, Rwanda et Burundi, bien installés au pouvoir, se trouvent tous dans une période étrange : leur mandat se termine, la Constitution de leur pays leur interdit de se représenter et…le silence absolu règne autant sur leurs intentions réelles que sur l’identité de leurs éventuels successeurs. Cette ambiguïté fait monter la tension politique, autorise toutes les spéculations et porte en germe un fort potentiel de violence. En outre, au Congo et au Burundi, les pressions internationales se multiplient, car ces deux pays sont considérés comme relativement fragiles. |
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@rib News, 20/06/2014 La limitation constitutionnelle du nombre de mandats présidentiels : une coquille vide ? Une analyse du cas du Burundi. Par Stef Vandeginste - Chargé de cours à l’Université d'Anvers Résumé Dans le débat concernant l’éventuelle candidature à un mandat présidentiel supplémentaire des présidents en exercice au Burundi, en République démocratique du Congo et au Rwanda, on observe une tendance de la part d’acteurs politiques et diplomatiques à appeler au respect de la Constitution. Appliquée au cas du Burundi, l’analyse juridique présentée dans ce papier montre que d’importants défis peuvent se poser en ce qui concerne la mise en application de la norme constitutionnelle consacrant le principe de la limitation du nombre de mandats que peut exercer un président de la République. |
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@rib News, 13/06/2014 – Source Le Soir La peur gagne du terrain au Burundi Le carnet de Colette Braeckman - 10 juin 2014 Restrictions à la liberté de la presse, arrestation du plus connu des défenseurs des droits de l’homme, Pierre Claver Mbonimpa, accusé d’atteinte à la sûreté de l’Etat, mandats d’arrêt contre des opposants politiques, rumeurs d’exécutions extrajudiciaires… Le climat politique au Burundi s’alourdit dangereusement et la fuite d’un document confidentiel émanant de la BINUB (Mission des Nations unies au Burundi) a rappelé de mauvais souvenirs, vingt ans après le génocide au Rwanda : reprenant plusieurs sources convergentes, ce rapport accusait le parti au pouvoir, CNDD-FDD, (Conseil national pour la défense de la démocratie) d’avoir distribué des armes aux « Imbonerakure », des groupes de jeunes « sportifs » organisés en milices et de les avoir entraînés dans des camps situés en territoire congolais. Selon de nombreux témoignages, les « Imbonerakure » règnent en maîtres sur les collines et ils inspirent une peur telle que bien des citoyens n’osent plus circuler dès la tombée de la nuit. |
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@rib News, 15/05/2014 Projet de culture de Stavia au Burundi : réaction et conseils Par Ir Ntibikunda Antoine Il y a une semaine, le Conseil des Ministres du Burundi a tenu sa réunion hebdomadaire et dans laquelle a été abordé entre autres la question relative à l’introduction et à la multiplication de la culture de Stévia au Burundi dans un but de gagner des devises [@rib News, 09/05/2014 - Burundi : Projet de la culture de la stévia comme sources de devises ]. Dans cette séance, le Gouvernement du Burundi s’est convenu de trouver d’abord le marché avant la mise en place de cette culture. Voici ce que pense le Spécialiste en cette matière, Monsieur l’Ingénieur Agronome Ntibikunda Antoine. |
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@rib News, 05/05/2014 « Où EN EST-ON AVEC LA RECONCILIATION AU BURUNDI ? »
Communication faite le 3 mai 2014 à l’Hôtel Park Inn/Bruxelles dans le cadre d’une conférence organisée par le Parti Populaire Rwandais-Imena sur le thème de la Réconciliation Par Joseph Ntamahungiro Parler de réconciliation au Burundi renvoie directement à la reconnaissance du conflit Hutu-Tutsi (on devrait dire les conflits) et à l’«Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation » signé le 20 août 2000. En effet, pour beaucoup d’observateurs et d’analystes burundais et étrangers, cet Accord a scellé la réconciliation des Burundais. Ce n’est pas mon avis et je dirai pourquoi plus loin. Mon propos comprend quatre parties d’inégale grandeur : 1) Comment comprendre le «conflit burundais » 2) Que retenir de l’Accord d’Arusha 3) Nouveaux conflits 4) Brève conclusion. Lire l’intégralité de l’Analyse
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IRIN, 21 avril 2014 Le Burundi en proie à l’instabilité à l’approche des élections BUJUMBURA - Si le haut degré de mobilisation des partis non dirigeants est un indicateur du risque d’instabilité politique, le Burundi est un pays à surveiller de près à l’approche des élections présidentielles prévues l’année prochaine. Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a rencontré le président Pierre Nkurunziza. Les États-Unis ont également dépêché un envoyé spécial sur place pour s’entretenir personnellement avec le président. Le Conseil de sécurité des Nations Unies a publiquement exprimé son inquiétude. Et il ne s’agit là que des principaux protagonistes d’un concert de protestations qui s’élève pour exprimer une inquiétude grandissante. |
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@rib News, 03/04/2014 Burundi : Jusqu'où ira Pierre Nkurunziza pour un 3e mandat ? Afrique Éducation, Numéro 388-389 du 1er au 30 avril 2014 Moussa Konaté et Aristide Koné Le rouleau compresseur va être déployé contre Pierre Nkurunziza, s’il s’entête à se représenter, pour un troisième mandat auquel il n’a pas droit. Accusé de piétiner la constitution et les Accords d’Arusha, il risque d’entraîner, inexorablement, le Burundi, vers le clash, en cherchant à contourner le refus des députés de l’Assemblée nationale de valider sa réforme constitutionnelle. Nullement découragé par ce camouflet retentissant, il compterait sur l’arbitrage de la Cour constitutionnelle, pour se maintenir au pouvoir. Un véritable suicide politique. |
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@rib News, 02/04/2014 Les enfants des pauvres ont eux-aussi droit d’accès à l’enseignement universitaire ! 31 mars 2014, Libérat Ntibashirakandi Préambule N’eut-été la bourse accordée aux étudiants burundais, la majorité des responsables tant politiques qu’académiques qui ont pris la mesure injuste de supprimer progressivement la bourse des étudiants ne seraient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. Eh oui, la politique d’après moi, le déluge ! Et cette mesure est injuste dans la mesure où elle frappe les enfants des plus démunis, seul Dieu sait combien ils sont nombreux au Burundi ! Et pourtant, ce sont ces étudiants qui sont l’espoir pour leurs familles comme l’ont été les autorités du Ministère et des Institutions concernées. Lire l’intégralité de l’Analyse  |
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@rib News, 01/04/2014 Burundi : les nouvelles mesures d’octroi de la bourse aux étudiants violent la norme de l’égalité et de la non-discrimination. Par Me Emmanuel NKENGURUTSE. La question en rapport avec les nouvelles modalités d’octroi de la bourse aux étudiants est à poser dans les termes appropriés. La bourse doit être gérée en respectant des règles précises de droit garantissant à chaque étudiant un exercice égal et non discriminatoire de son droit à l’enseignement supérieur. C’est moins une question de ressources qu’une question de respect du droit à l’égalité et à la non-discrimination. Dans une société démocratique, la question de ressources ne peut pas prévaloir sur la norme de l’égalité et non-discrimination. 1. Rappel du contenu de la norme. |
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International Crisis Group, 20 février 2014 Danger de rechute au Burundi : question foncière et consolidation de la paix Thierry Vircoulon, Afrique Décryptages Le Burundi est l’un des pays les plus pauvres (le taux de pauvreté atteint 67%) et les plus petits d’Afrique (27 834 kilomètres carrés) avec l’une des plus grandes densités humaines du continent (près de 400 habitants par kilomètre carré). C’est du reste un pays profondément rural où seulement 11% de la population réside en ville. Alors que l’accès à la terre et à la propriété est un véritable enjeu socio-économique, le Burundi fait face à de sérieux problèmes agricoles. La superficie moyenne d’une exploitation agricole est aujourd’hui estimée à moins d’un demi-hectare, renforçant la surexploitation, l’érosion et l’acidification des sols. Les difficultés du secteur agricole se traduisent par un sérieux problème de sécurité alimentaire : le taux de malnutrition approche les 75%. |
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ICG, 17 févr. 2014 Les terres de la discorde (II) : restitution et réconciliation au Burundi Rapport Afrique N°214 - 17 févr. 2014 Pour éviter une résurgence des tensions entre Hutus et Tutsis, le Burundi doit trouver le juste équilibre entre restitution des terres et réconciliation nationale.
Nairobi/Bruxelles | Dans son dernier rapport, Les terres de la discorde (II) : restitution et réconciliation au Burundi, l’International Crisis Group analyse, d’une part, le processus de restitution des terres engagé depuis le retour de centaines de milliers de réfugiés et de déplacés et, d’autre part, les défis que cela engendre pour la réconciliation nationale. Suite à l’accord de paix d’Arusha en 2000, une politique de restitution a été mise en œuvre mais la compensation foncière promise à ceux qui ne peuvent pas récupérer leurs biens spoliés lors de la guerre civile fait toujours défaut. |
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ICG, 12 févr. 2014 Les terres de la discorde (I) : la réforme foncière au Burundi Rapport Afrique N°213 - 12 févr. 2014 Tant que le gouvernement n’aura pas réformé la gouvernance foncière, les efforts pour consolider une paix durable demeureront insuffisants.
Nairobi/Bruxelles | Dans son dernier rapport, Les terres de la discorde (I) : la réforme foncière au Burundi, le premier d’une série de deux rapports, l’International Crisis Group explore les raisons de l’échec de la réforme foncière depuis la signature de l’accord d’Arusha en 2000. Dans ce pays rural et surpeuplé, la mauvaise gouvernance foncière a contribué à la guerre civile et sa réforme faisait partie intégrante de l’accord d’Arusha. Quatorze ans plus tard, alors que 90 pour cent de la population dépend de l’agriculture, beaucoup souffrent de malnutrition et les conflits fonciers demeurent le principal facteur de violence dans les zones rurales. Résoudre le problème foncier est donc fondamental pour la stabilité politique et la croissance économique à long terme du Burundi. Les conclusions et recommandations principales du rapport sont : |
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@rib News, 17/01/2014 L’Université du Burundi : 50 ans après, quel bilan ? Par Libérat Ntibashirakandi
[…] Si le 50ème anniversaire de l’Université du Burundi a été un non-événement, c’est un message fort que chaque citoyen burundais peut interpréter de sa façon. Un tel événement se prépare longtemps à l’avance et c’est une occasion ratée pour promouvoir l’image de cette prestigieuse institution. Cela prouve un manquement notoire au niveau du management. Si l’Université du Burundi manque des moyens financiers, il aurait fallu associer tous les anciens de cette université et organiser au moins des activités scientifiques, des journées portes-ouvertes, etc. L’on nous dira certainement que ce n’est pas trop tard et que la commission est à l’œuvre. La date du 10 janvier 1964 reste importante dans l’histoire de l’Université du Burundi. Peut-être que la priorité est ailleurs. […] Lire l’intégralité de l’Analyse
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IRIN, 22 décembre 2013 Le projet de modification de la constitution du Burundi soulève des inquiétudes BUJUMBURA - Le projet du gouvernement burundais de réviser la constitution agite le monde politique, dans un pays qui s’efforce de surmonter les conséquences d’une guerre civile qui a fait rage de 1993 à 2005. Les partis de l’opposition accusent le gouvernement de faire unilatéralement pression en faveur de modifications qui renforceraient l’exécutif et menaceraient l’équilibre des pouvoirs – entre la majorité hutu et la minorité tutsi du pays. Cet équilibre a été consacré par l’Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation au Burundi signé en 2000. (Le dernier groupe rebelle du pays a déposé les armes seulement cinq ans après.) |
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@rib News, 02/12/2013 BURUNDI : Projet de révision de la Constitution "Vers le rejet du consensus et le triomphe de l’unilatéralisme en politique" « Le projet de loi portant révision de la constitution de la république du Burundi consacre une rupture avec l’esprit et l’Accord d’Arusha dans la gestion du pays. Il remet en cause la "démocratie consociative" en privilégiant la "démocratie majoritaire" dans une société segmentaire longtemps secouée de violences politiques et ethniques ainsi que de pratiques d’exclusion et de discrimination sur base ethnique et régionale. », estime l’Observatoire de l’Action Gouvernementale (OAG) dans son analyse, rendue publique lundi à Bujumbura, du Projet de révision de la Constitution. |
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@rib News, 24/10/2013 Une nouvelle Constitution pour le Burundi ? Un défi pour la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance Par Stef Vandeginste
Résumé : Le 9 et 10 octobre 2013, le Conseil des Ministres burundais a adopté un projet de Constitution. Au lieu d’une révision de la Constitution du 18 mars 2005 actuellement en vigueur, il s’agit de l’abrogation de la Constitution actuelle et son remplacement par l’adoption d’une nouvelle Constitution, ce qui donnera lieu à la mise en place de nouvelles institutions. Ceci a une incidence importante sur la question de l’éligibilité de l’actuel Président de la République Pierre Nkurunziza. Si le projet de Constitution adopté en Conseil des Ministres devient la nouvelle Constitution du Burundi, l’actuel Président Pierre Nkurunziza pourra briguer encore deux mandats présidentiels, en 2015 et en 2020. Cette démarche constitue un véritable défi pour le champ d’application de la notion de ‘changement anticonstitutionnel du pouvoir’, telle que définie par la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance de l’Union africaine. Lire l’intégralité de l’Analyse
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@rib News, 06/10/2013 Hommage au Président Melchior Ndadaye à l’occasion du 20ème anniversaire de son assassinat Par Joseph Ntamahungiro
Conférence donnée le 5 octobre 2013 dans la salle paroissiale de l’église Sainte Anne, Chaussée de Tervuren, 131 à 1160 Bruxelles (Auderghem) Introduction A ma connaissance, il n’existe pas beaucoup d’écrits sur la vie du Président Melchior Ndadaye. Le seul ouvrage que j’ai pu consulter en préparant cette communication est celui de Raphaël Ntibazonkiza intitulé « Biographie du Président Melchior Ndadaye : L’Homme et son destin». C’est donc en toute logique que j’y ai puisé l’essentiel de ma communication d’aujourd’hui. Et comme annoncé dans le titre de l’invitation, cette conférence se veut un témoignage et un hommage à ce héros burundais dans le sillage du Prince Louis Rwagasore, Pierre Ngendandumwe, Paul Mirerekano et d’autres. |
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@rib News, 08/09/2013 Plaidoyer pour une éducation de base qui améliore la qualité de l’enseignement et le niveau des élèves Par Ntibashirakandi Libérat
I. Préambule D’emblée, précisons que ce billet rentre dans une série de réflexions et d’analyses, entamées depuis quelques années, avec un seul et unique objectif de contribuer au développement et à la reconstruction de notre chère Patrie, le Burundi. Il s’agit, de mon point de vue, d’un devoir qui devrait incomber à tout citoyen burundais qui est fier de la patrie qui l’a vu naître et grandir : proposer des idées novatrices en vue d’un changement positif, chacun dans son domaine de prédilection. |
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@rib News, 09/07/2013 L’assassinat du Premier ministre burundais Louis Rwagasore D’étonnants documents d'archives sur l’implication de la Belgique « La vérité passe par le feu mais ne brûle pas» Proverbe burundais Par Ludo De Witte
Premier juillet 2012 : le Burundi fête le 50e anniversaire de l'Indépendance. L’ambassadeur belge organise une grandiose réception à l'hôtel Tanganika, à Bujumbura en présence du Prince Philippe et de la Princesse Mathilde. Côté burundais le malaise quoique inexprimé est palpable : la réception a en effet lieu à l’endroit même où, le 13 octobre 1961, le premier Premier ministre du Burundi, le charismatique Prince Louis Rwagasore a été assassiné. Or beaucoup de Burundais sont convaincus que des responsables belges de haut rang en ont été les inspirateurs. Une enquête menée dans les archives de l’époque l’établit de manière irréfutable. La mort de Rwagasore est le fait de Burundais et de quelques Grecs, mais, en sous-main, l’administration belge a joué un rôle de premier plan. |
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@rib News, 15/03/2013 Il y a 21 ans, la Cour Constitutionnelle déclara inconstitutionnelle la nouvelle législation régissant la presse Par Dr. Stef Vandeginste
Nous sommes le 17 août 1992. La Cour Constitutionnelle, qui a vu le jour à peine quatre mois auparavant, examine la constitutionnalité d’un décret-loi. Celui-ci lui a été soumis à l’initiative du Président de la République le 13 juillet. Après délibération et pour la toute première fois dans l’histoire du Burundi, une Cour Constitutionnelle déclare inconstitutionnelle une loi parce que celle-ci n’est pas conforme aux droits de l’homme protégés par la Constitution … La Cour Constitutionnelle, garante de la liberté d’expression et de la liberté de presse |
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Les Grands Hommes
Mirerekano/Ngendandumwe
Les Monuments

Place de l'Indépendance 
Monument de l'Unité

Mausolée de Rwagasore

Présidence 
Assemblée nationale 
Sénat
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