Sites touristiques

Pyramide "Source du Nil" 
Les chutes de Karera 
La "Faille des Allemands" 
Pierre 'Stanley-Livingstone
|
Analyses
@rib News, 14/04/2011 Burundi : la paix en sursis Rapport d’observation de la gouvernance janvier-février 2011 Observatoire de l’Action Gouvernementale - Mars 2011 Extraits :
[…] La succession des révélations sur les affaires de corruption, de l’ordre de milliards, font sérieusement douter du mot d’ordre lancé par le Président Pierre Nkurunziza sur la tolérance zéro à l’égard de la corruption. Si rien n’est fait pour redresser la barre, cet engagement solennel qui avait fait espérer une lutte véritable contre la corruption va se transformer simplement en slogan que certains ont commencé d’ailleurs à tourner en dérision. Les révélations faites par le député Manassé Nzobonimpa, par leur précision et parfois leur caractère nominatif, ont montré ce que presque tout le monde savait. La corruption a touché le cœur du pouvoir. Ce sont les puissants qui s’assurent de l’impunité. Sans préjuger de l’exactitude des déclarations qu’il a faite, le sort qui a été réservée à la personne qui dénonce, c’est-à-dire l’exclusion du parti au pouvoir est un signe qui ne trompe pas. Les petits poissons peuvent être arrêtés, et là encore, mais toute la protection est garantie aux puissants. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 30/03/2011 – Source Mondialisation.ca Libye : Obama, le prix Nobel de la paix « des guerres justes et humanitaires ». Par Komla Kpogli A l'avènement de Barack Obama au pouvoir, des milliards de personnes sur la terre avaient manifesté leur optimisme. Parmi celles-ci, c'est peu dire qu'il y a eu la quasi-totalité des africains. Tous étaient persuadés que la couleur de peau du nouveau président augurait un changement de la politique internationale. Il faut en convenir et insister qu'ils n'étaient pas les seuls. Les quelques rares voix qui avaient émis des réserves furent sévèrement critiquées et taxées d'antiaméricanisme primaire.
Lorsque le futur prix Nobel de la paix fit son périple ghanéen, il fut applaudi chaleureusement. Son discours fut quasi-unanimement salué particulièrement par les africains qui ne virent là qu'un excellent discours à l'opposé de celui injurieux et crasse de Sarkozy à Dakar. Les rares commentaires critiques qui osèrent mettre le discours d'Accra en perspective furent voués aux gémonies[1]. Ils furent traités de conservateurs haineux qui n'avaient pas vu le vent du changement soufflé. |
Lire la suite...
|
|
SlateAfrique, 14/03/2011 Burundi sous haute tension Depuis les élections générales de 2010, l'opposition burundaise s'est radicalisée et la rébellion armée se livre à des attaques. Sans reprise du dialogue, la crise politique pourrait se terminer en guerre civile. Depuis l’échec de l’opposition au scrutin local de mai 2010, suivi de son boycott des législatives et de la présidentielle de juin et juillet 2010, le Burundi traverse une crise politique qui risque de basculer dans une nouvelle guerre civile. Après les élections, les opposants politiques ont créé une alliance et demandé l’annulation des élections locales (communales). Suite aux attaques à la grenade et aux assassinats ciblés qui avaient marqué la période du processus électoral, ils avaient été victimes d’arrestations massives et accusés par la majorité d’être derrière l’insécurité généralisée au Burundi. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 10/02/2011 – Source APA Six mois après la nouvelle victoire électorale du Conseil national pour la défense de la démocratie et Forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD), le Burundi s’enfonce dans une impasse politique, déplore l’Ong internationale Crisis Group (ICG), dans un rapport. « La crise politique au Burundi pourrait se transformer en une crise majeure susceptible de remettre en cause dix ans de progrès », note le document, publié à l’issue d’une conférence œcuménique regroupant des représentants de l’Ouganda, de la Tanzanie, de l’Afrique du Sud, du Kenya, du Rwanda, de la République démocratique du Congo, de l’Ethiopie et la Zambie. |
Lire la suite...
|
|
International Crisis Group - Rapport Afrique Nº169 7 févr. 2011 Burundi : du boycott électoral à l’impasse politique
SYNTHESE ET RECOMMANDATIONS Six mois après la nouvelle victoire électorale du Conseil national pour la défense de la démocratie et Forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD), le Burundi s’enfonce dans une impasse politique qui pourrait se transformer en une crise majeure susceptible de remettre en cause dix ans de progrès. En effet, au lieu de consolider la démocratie, les élections communale, parlementaire et présidentielle de 2010 ont abouti à la marginalisation de l’opposition, au passage dans la clandestinité des Forces nationales de libération (FNL) et à l’émergence d’une nouvelle rébellion. Combinée à un système de gouvernance faible, cette évolution pourrait conduire à un recul démocratique. Seuls le rétablissement du dialogue politique entre le gouvernement et l’opposition, la sortie de la clandestinité pour les FNL et le renforcement des institutions démocratiques sont de nature à inverser cette dangereuse évolution. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 19/01/2011 – Source Slate Pour les chefs d'État autoritaires, rien de mieux qu'une élection «démocratique» pour asseoir leur légitimité. Voici les dix présidents les plus efficaces dans l'art de se faire élire sur des scores indiscutables.
De plus en plus de pays dans le monde organisent des élections au suffrage universel pour élire leur président. Mais derrière ce signe encourageant pour la diffusion de la démocratie se cachent des élections qui n’ont de démocratiques que le nom. Intimidation des opposants, médias contrôlés par le pouvoir, électeurs menacés, votes truqués, candidat unique : les régimes autoritaires rivalisent d’inventivité pour s’assurer des résultats électoraux qui asseyent leur légitimité. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 18/01/2011 Le Gouvernement burundais a dernièrement annoncé sa volonté de mise en œuvre d’un « Programme Enseignement de base de 9 ans », mais jusqu’ici sans plus de précisions, notamment à savoir si les 9 ans envisagés équivaudraient à l’école primaire seulement ou si, comme dans certains pays de la sous-région, ils comprendraient l'école primaire et le premier cycle du secondaire. Depuis la nouvelle approche éducative et la question de l'école fait débat au Burundi.
Dans une analyse bien fouillée à ce sujet, le Professeur Libérat Ntibashirakandi veut apporter sa contribution, dit-il, « en proposant des pistes de solutions pour que le Burundi puisse innover son système éducatif et plus particulièrement l’enseignement fondamental afin de préparer les futurs gestionnaires du pays à être des citoyens responsables, penseurs, praticiens, visionnaires, capable de résoudre des problèmes, de proposer des idées innovatrices et de faire face aux intuitions concernant les problèmes économiques, sociaux, culturels, politiques, etc. » Lire l’intégralité de l’analyse
|
|
@rib News, 17/01/2011 Thématique : Comment rentabiliser et profiter du fleuve Nil sans mettre en danger les nations en amont comme en aval ? Je me permets de vous faire part un de mes travaux dans le cadre universitaire afin de vous partager chers compatriotes nilotiques et de vous sensibiliser sur cette situation qui nous concerne tous : le fleuve Nil Notre vie tient sans doute à ce fleuve et à d’autres cours d’eaux de notre région. Ou nous agissons le plus rapidement et le plus efficacement possible ou nous nous condamnons à périr. Je ne suis pas alarmiste, je suis tout simplement réaliste. Abbé KAJUJU Ferdinand Aux FUCAM (Facultés Universitaires Catholiques de Mons) Département de Sciences politiques, sociales et de communication Lire l’intégralité de l’analyse
|
|
@rib News, 06/01/2011 Paul Kagamé : « Our Kind of Guy » Par Edward S. Herman*, David Peterson* Source : ZMagazine (Etats-Unis) / Traduction : Dominique Arias Et si nous n’avions rien compris aux massacres qui ont ravagé le Rwanda ? Pour Edward S. Herman et David Peterson, il ne serait pas agi d’un génocide des tutsis par le Hutu Power, mais d’une guerre secrète des Etats-Unis ayant coûté la vie tout autant à des hutus qu’à des tutsis. Au centre de ce jeu sanglant : l’impénétrable Paul Kagamé. 
[Légende de la photo : Bill Clinton et «Our Kind of Guy», Paul Kagamé.] En 1995, un haut responsable de l’Administration Clinton utilisa au sujet du Président indonésien Suharto, alors en visite officielle à Washington, l’expression « Our kind of guy » [1] [2]. Il parlait d’un dictateur avide et brutal, auteur de deux génocides —un premier en Indonésie même, le second au Timor Oriental— mais dont les exactions avaient en l’occurrence débarrassé le pays de la menace gauchiste, qui avait aussi fait de l’Indonésie un État client et un allié aligné militairement sur l’Occident, et qui avait ouvert la porte aux investisseurs étrangers —si élevée qu’ait pu être sa commission prélevée sur toutes leurs transactions—. La première phase de ce double génocide (1965-1966) [3] servant merveilleusement les intérêts états-uniens dans la région, elle fut naturellement saluée par l’establishment politique et médiatique US. Au lendemain même du bain de sang, Robert McNamara appela cette transformation drastique du pays « les dividendes » de l’investissement militaire US dans la région [4]. James Reston, du New York Times, salua pour sa part dans l’ascension de Suharto « une aura radieuse se levant sur l’Asie » [5]. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 26/12/2010 L’ancien président du Burundi (1994 à 1996) Sylvestre Ntibantunganya a présenté la semaine dernière une analyse de la situation politique actuelle du Burundi, et ce dans le cadre de l’analyse du contexte politique, 17ème édition, organisé par le Forum pour le renforcement de la société civile (Forsc).
Dans cette analyse « Le Burundi post-électoral - Des défis à la portée des burundais », dont nous publions le texte intégral, l’ancien Chef de l’Etat expose « des réalités et des faits qui inquiètent » tout en estimant que « des raisons d’espérer existent » dont « l’engagement du Président de la République à transformer le pays » ainsi que « le dynamisme démocratique de la Société civile ». Pour l’ancien Chef de l’Etat, le monde politique et la société civile burundais « doivent ensemble faire face à des défis que le Burundi doit remporter au cours de la Législature 2010-2015 ». Lire l’intégralité de l’analyse
|
|
@rib News, 09/12/2010 Analyse de la situation et du rôle des médias au Burundi Par Le Groupe « Afrique centrale » de Justice et Paix Belgique francophone Depuis quelques années, une multiplication des organes de presse s’est opérée au Burundi. Les journaux et les radios qui ont vu le jour ont cassé un certain monopole de fait de l’information dans ce pays, longtemps habitué à une presse uniquement publique. Ce sont surtout les radios qui ont joué un grand rôle car elles sont assez facilement écoutées partout et par tous, alors que les journaux et les télévisions sont considérées par la population comme plus élitistes. Depuis 2005, avec les élections à tous niveaux et déclarées libres et transparentes, le Burundi s’est engagé dans un processus démocratique. Mais, pour autant, cette prolifération des médias va-t-elle de pair avec une liberté de la presse ? |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 28/11/2010 BURUNDI : Après les élections de 2010, le choix entre sortir ou entrer dans la crise - Tendances trois mois après la mise en place des institutions Bujumbura, 26 novembre 2010 […] Elections de 2010 : tensions et régression démocratique
Avec les élections de 2010, le Burundi se trouve à la croisée des chemins. Le déroulement et l’issue des élections étaient essentiels pour déterminer la direction dans laquelle le Burundi allait évoluer. Grosso modo, deux scenarii étaient possibles. Premièrement, réussir les élections sans violence avec des résultats reconnus par la majorité des principaux acteurs clés et évoluer ainsi vers la consolidation de la paix et de la démocratie et le développement. Deuxièmement, comme cela semble être le cas, organiser des élections sur fond de tensions et de suspicions, aboutissant à des résultats contestés. Cette alternative ouvre nécessairement la voie à l’incertitude et expose le pays à de forts risques de régression de la stabilité et de la démocratie. |
Lire la suite...
|
|
IRIN, 26 novembre 2010 ANALYSE : Un espace politique de plus en plus restreint au Burundi BUJUMBURA - Accusé de supprimer toute opposition et de nier que l’insécurité montante puisse avoir des motifs politiques, le gouvernement du Burundi est soumis à des pressions grandissantes.
L’espoir avait été émis que les élections organisées au début de l’année consolideraient le progrès de la démocratie dans le pays, après des années de guerre civile. « [Sur le plan] politique, la situation est très inquiétante parce que le gouvernement du CNDD-FDD [Conseil national pour la défense de la démocratie - Forces de défense de la démocratie] veut imposer un système de parti unique en punissant… les partis politiques d’opposition », a dit à IRIN Jean Salathiel Muntunutwiwe, politologue et doyen de la Faculté des arts et sciences humaines à l’Université du Burundi. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 11/11/2010 MarianneJEAN-DOMINIQUE MERCHET Dans "Carnages - Les guerres secrètes des grandes puissances en Afrique ", dont nous publions en exclusivité des extraits, Pierre Péan révèle les guerres secrètes que se livrent les puissances occidentales à l'ombre des massacres, dans la région des Grands Lacs. Une cynique partie d'échecs d'où les Etats-Unis, aidés de la Grande-Bretagne et d'Israël, évincent peu à peu la France.
Peut-on cacher un génocide ? La question semble à peine croyable, et c'est pourtant celle qui se trouve au cœur du nouvel ouvrage de Pierre Péan, Carnages - Les guerres secrètes des grandes puissances en Afrique . Sur près de 600 pages, le journaliste français revient, avec de nombreuses révélations, sur les " guerres secrètes " en Afrique, en particulier dans la région des Grands Lacs. La thèse qu'il défend - et qui ne manquera pas de provoquer de vives polémiques - est qu'à la suite du premier génocide au Rwanda, en 1994, un second a été commis, en 1996-1997, par les victimes de la veille - les Tutsis - à l'encontre des Hutus réfugiés en République démocratique du Congo (RDC, ex-Zaïre). Et que ces massacres, qui ont causé la mort de millions de personnes, se sont déroulés avec la bienveillance des Etats-Unis, quand ce n'est pas leur participation directe, comme le montrent les extraits que nous publions. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 24/10/2010 Depuis le 20 avril 2010, le Comité de Pilotage Tripartite (CPT) - Gouvernement, Société civile et ONU - en charge des Consultations Nationales sur la justice de transition au Burundi a remis son rapport final au président de la République, Pierre Nkurunziza, mais ce dernier tarde toujours à en assurer la publication et la diffusion auprès de toute la population. Ce rapport est basé sur les opinions exprimées par l’échantillon de la population burundaise consultée à travers toutes les provinces du pays et des Burundais de l’étranger.
Le CPT était au départ composé de M. Festus Ntanyungu (Président) et Mme Françoise Ngendahayo représentant le Gouvernement, M. Joseph Ndayizeye et Mme Eulalie Nibizi représentant la Société civile, M. Ismael Diallo (Secrétaire Exécutif) et Mme Yanine Poc représentant l’ONU. Les membres de l’ONU ont été ultérieurement remplacés par M. Jean Luc Marx et M. Alpha Fall qui, en son absence, a été remplacé par M. Pollock Ndonodji. ARIB.INFO a pu se procurer une copie du Rapport que nous publions en intégralité car le retard observé de la part du chef de l'Etat dans sa diffusion soulève plusieurs interrogations dans les milieux politiques burundais jusque dans les sphères de la haute diplomatie. C’est ainsi que le démissionnaire Représentant des Nations Unies au Burundi vient de postposer son départ du pays en invoquant, entre autres raisons, l’attente de la diffusion de ce Rapport par le président de la République. Lire l’intégralité du Rapport Quelques extraits (Introduction, Conclusions et Recommandations) : [...] Le processus de justice de transition au Burundi |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 10/10/2010 Edouard Nduwimana : la lettre qui fait douter. Albanel Simpemuka Y a-t-il donc une fatalité qui veut que les ministres de l’Intérieur du CNDD-FDD soient frappés de cécité juridique ? On se souvient de la fameuse ordonnance, liberticide et avortée, n° 530 du 6 octobre 2008 portant « réglementation des réunions et manifestations des partis politiques et autres associations au Burundi » de Venant Kamana, qui avait dû battre en retraite après les protestations de gens de bon sens. Eh bien ! E. Nduwimana, voulant peut-être inscrire son nom dans le livre des records du zèle de la répression politique, a adressé, en date du 16 septembre 2010, une lettre sans « Objet », aux présidents des partis politiques, avec ampliation au Président de la République, au premier vice-Président de la République, aux Gouverneurs de province, au Maire de la ville de Bujumbura, au Directeur général de l’administration du territoire, ainsi qu’au président du Forum permanent du dialogue des partis politiques agréés. Cette lettre confirme, s’il en était encore besoin, la constante violation du droit par les dirigeants du CNDD-FDD, tantôt en le bafouant ouvertement, tantôt en l’invoquant de façon biaisée par une interprétation fantaisiste. Penchons-nous un instant sur cette lettre, et voyons ce que dit réellement la loi, et nous verrons comment ce ministre insulte le droit à des fins de répression politique de l’opposition. |
Lire la suite...
|
|
Le Pays, 7 octobre 2010 Si le Burundi était un bateau, on dirait que le capitaine qui est à son bord le conduit tout droit vers l’iceberg, et donc au naufrage. En tout cas, son président, Pierre Nkurunziza, l’homme qui avait juré, la main sur le coeur, d’apporter le ciel et la lune aux Burundais, a réuni les ingrédients nécessaires à un chaos.
Ce pays qui sort à peine d’une longue et pénible guerre civile ressemble aujourd’hui à une véritable souricière. Quiconque y vit, court le perpétuel risque de disparaître un jour comme par enchantement, surtout s’il ne partage pas la même vision politique que NKurunziza. "Qui n’est pas avec moi est contre moi et doit donc disparaître". C’est la règle que le numéro un burundais a instaurée comme principe de gouvernance politique. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 24/09/2010 Burundi 24 septembre : anniversaire pour qui et pour quoi ou quand un D se mue en T ! Par Jean Baptiste BIGIRIMANA
24 septembre 1994 - 24 septembre 2010 ! Si mes réminiscences en arithmétique élémentaire sont bonnes (merci père !), cela fait 16 ans, le bel âge d’un adolescent fougueux et encore un peu boutonneux, mais assez grand pour comprendre la vie ; mais surtout la célébrer. C’est dire qu’aujourd’hui, y en a qui ont le cœur à une fête… d’anniversaire. Mais pour célébrer quoi, exactement ? Faut-il le rappeler, avant le CNDD-FDD était le CNDD. Oublions les lettres C et N de l’acronyme, réplique non achevée de « National Congress » et braquons un instant nos méninges sur les deux D et le F ou subtilement devenu T. En interrogeant les faits, de l’intention initiale aux réalisations actuelles (sans jeu de mots entre ‘actual’ et présent), l’on se rend vite compte qu’avant de la défendre, la démocratie, mieux vaut d’abord s’assurer qu’elle est instaurée. Et il y a loin de la coupe aux lèvres ! |
Lire la suite...
|
|
Le Pays, 23 septembre 2010 Les régimes fascistes ont toujours sécrété en eux-mêmes des crises sociales effervescentes aux répercussions négatives incommensurables. Et, au lieu de se livrer à des explications qui ne tiennent pas la route, les tenants de ces régimes doivent s’assumer pleinement. Quand les choses vont mal dans un pays, seules l’ingéniosité et la clairvoyance peuvent venir à bout de tout. Généralement, la volonté des dirigeants africains de faire main basse sur certains abcès sociaux pourtant tangibles favorise leur maturation. Tout mal, si petit soit-il, s’il est négligé, finira par avoir raison de sa victime. Certains semblent l’avoir compris et c’est tant mieux. |
Lire la suite...
|
|
Le Pays, 19 septembre 2010 Une fois de plus, les civils burundais ont payé le lourd tribut de la mal gouvernance politique de leur président Pierre Nkurunziza. En effet, le mercredi 15 septembre dernier, au nord-ouest de Bujumbura, des hommes lourdement armés ont encore froidement abattu au moins sept civils et fait dix blessés dont certains sont dans un état critique. L’on se souvient aussi que dans la nuit du 10 au 11 septembre dernier, un policier et quatre civils avaient péri dans un autre affrontement survenu au nord et au centre de ce pays. Le moins que l’on puisse dire est que cette attaque, qui a la particularité d’être perpétrée en plein jour, constitue un signal fort des rebelles en direction du pouvoir burundais. |
Lire la suite...
|
|
Le Pays, 13 septembre 2010 Ça y est ! Après avoir semé le vent, l’heure de la récolte de la tempête a sonné pour Pierre Nkurunziza. Un policier et quatre civils tués : c’est le résultat d’un affrontement survenu dans la nuit du 10 au 11 septembre dernier au nord et au centre du Burundi. Certes, comme l’ex-président Mamadou Tandja du Niger, s’agissant des rebelles touaregs, Nkurunziza a vite qualifié de bandits armés non encore identifiés, ceux qui sont à l’origine de cette attaque sanglante. Mais pour de nombreux observateurs, il s’agit bel et bien d’une "nouvelle rébellion" qui refait surface au Burundi. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 01/09/2010 Bujumbura sera détruite ! Par Jac Sentore A regarder les actualités des dernières semaines sur les catastrophes naturels dans le monde, on remarquerait que l’Afrique a été plus ou moins épargnée. Toute l’Amérique latine a été secouée par des pluies diluviennes et éboulements qui s’en étaient suivi. L’Europe toute entière continue d’encaisser mais à cause des infrastructures trop développées les dégâts sont restés limiter.
Qu’en est-il du Burundi ? Il m’est arrivé dans le passée d’évoquer la vulnérabilité de la ville de Bujumbura. De nouveau, mon appel est dirigé vers vous Burundais d’abord, ensuite les autorités et la société civile. |
Lire la suite...
|
|
L'Observateur Paalga, 29 août 2010 Une chose est sûre : le président burundais, Pierre Nkurunziza, investi le 26 août 2010, ne devrait pas être très fier du contenu de sa tribune officielle. A moins d’être désincarné, il se dira qu’il manque de consistance. De tous les chefs d’Etats invités, seul son voisin du Rwanda, Paul Kagamé, était à ses côtés. Il n’y avait donc que Pierre …et Paul. Etaient néanmoins présents les vice-présidents de l’Angola, du Nigeria et de la Zambie, ainsi qu’une vingtaine de délégations étrangères. Mais quel maigre lot de consolation ! |
Lire la suite...
|
|
L'Observateur Paalga, jeudi 29 juillet 2010 Estimant que les conditions de transparence et de bonne administration des différentes consultations électorales n’étaient pas réunies, l’opposition burundaise a décidé de ne pas y prendre part. En fait, au départ, il s’agissait d’enchère et de menace pour contraindre le pouvoir à jouer cartes sur table et à accepter l’organisation de scrutins démocratiques.
Mais rien n’y fit. Le président Pierre Nkurunziza semble tenir à son agenda électorale, qu’il ne veut modifier ne serait-ce que d’un iota. Et de menace, l’opposition est passée à l’acte en boycottant successivement la présidentielle, les législatives et les sénatoriales. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 24/07/2010 Une colossale gueule de bois électorale ! Par Karayenge Athanase
Les Burundais ont mal aux cheveux comme on dit. Une expression familière pour désigner le mal de tête caractéristique dont souffrent les personnes qui ont abusé de la consommation d'alcool la veille, au cours d'une fête trop bien arrosée. La fête électorale burundaise, les élections communales du 24 mai 2010, a eu lieu. Elle était splendide. Elle résonnait comme une magnifique promesse de démocratie apaisée dans un pays encore profondément traumatisé par la guerre civile qui a duré presque 16 ans. Les élections communales ouvraient ainsi le bal d'une série d'élections générales qui s'échelonneront entre mai et septembre 2010. Etaient-elles trop belles ces élections pour être vraies ? Pourquoi ont-elles tourné au vinaigre ? |
Lire la suite...
|
|
| << Début < Précédente 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Suivante > Fin >>
| Résultats 226 - 250 sur 295 |
|
Les Grands Hommes
Mirerekano/Ngendandumwe
Les Monuments

Place de l'Indépendance 
Monument de l'Unité

Mausolée de Rwagasore

Présidence 
Assemblée nationale 
Sénat
|