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Analyses
@rib News, 24/08/2018 La réforme constitutionnelle et la limitation du nombre de mandats présidentiels au Burundi : deux questions restées en suspens. Par Stef Vandeginste Institute of Development Policy, University of Antwerp - août 2018 Le discours qu’a tenu le Président Nkurunziza le 7 juin 2018 à Bugendana, à l’occasion de la promulgation du nouveau texte constitutionnel, semble avoir relégué à l’arrière-plan deux questions pourtant importantes concernant la limitation constitutionnelle du nombre de mandats que peut exercer un président de la République. |
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Jeune Afrique, 14 juin 2018 Burundi : « L’annonce de Nkurunziza provoque des dissensions dans l’opposition » L'annonce de Pierre Nkurunziza, qui a promis le 7 juin dernier de soutenir « le nouveau président qui sera élu en 2020 » a pris de court l'opposition burundaise et la communauté internationale. Le politologue burundais Gérard Biratamije (photo) analyse pour Jeune Afrique les scénarios politiques et diplomatiques possibles. |
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@rib News, 05/06/2018 Dossier : Accord d’Arusha, ce qu’il aurait fallu savoir Par Dr Alphonse RUGAMBARARA A l’heure où, selon le CNDD-FDD, le Burundi se dirige vers une dictature ad vitam aeternam après le simulacre de référendum du 17 mai 2018, l’on gagnerait à se pencher sur les causes profondes de cette crise. Désormais, on ne parle plus de violation de l’Accord d’Arusha mais plutôt d’un balayage pur et simple, au profit des ambitions démesurées de Pierre Nkurunziza et de son Parti. [Photo : Les signataires de l’Accord d’Arusha entourent Nelson Mandela, le 28 août 2000. On voit Dr Alphonse Rugambarara, débout au deuxième rang, 5è àpdg, derrière Buyoya et Mandela assis au premier rang.] |
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Human Rights Watch, 1 juin 2018 - Publié dans Mail & Guardian Comment raviver l’espoir né à Arusha L’Afrique du Sud peut aider à endiguer la crise au Burundi La résolution de la longue guerre civile au Burundi a constitué un tournant politique en Afrique, illustrant la capacité et la détermination des dirigeants régionaux à produire un accord de paix basé sur les droits humains. Et pourtant les avancées réalisées il y a près de deux décennies grâce au vigoureux leadership de l’Afrique du Sud ont pratiquement disparu. |
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La Libre Belgique, 16 mai 2018 Burundi : Réferendum: quelles sont les principales modifications de la Constitution à venir ? Ce jeudi 17 mai, les Burundais sont convoqués à un référendum sur des modifications de la Constitution proposées par le gouvernement du président Pierre Nkurunziza. Les opposants n’ayant pu faire campagne pour le « non » et des pressions étant exercées pour que les Burundais s’inscrivent sur les listes électorales, il fait peu de doute que ce projet sera adopté. |
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RFI, 25-04-2018 Invité Afrique Filip Reyntjens: «Pour Nkurunziza, c'est Dieu qui l'a désigné président» Le référendum constitutionnel du 17 mai au Burundi. Ce vote doit permettre au président Nkurunziza de potentiellement rester au pouvoir jusqu’en 2034. Les Burundais ont le choix entre « ego » ou « oya » en kirundi, « oui » ou « non » en français… Mais les Burundais ne connaissent pas encore la question référendaire et le contenu même du projet de nouvelle Constitution… |
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France Culture, 20/04/2018 L’événement devait être un signe de l'apaisement au Burundi ; mais le sommet du Comesa prévu aujourd’hui a été discrètement reporté. A un mois d’un référendum crucial pour l’avenir du pays, la normalité burundaise n'est-elle que de façade ? |
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La Croix, 04/04/2018 Le président Pierre Nkurunziza [photo], adepte d’une église évangélique, l’Église du Rocher, utilise la religion pour affermir son autorité et sa légitimité. Entretien avec Thierry Vircoulon, chercheur associé au Centre Afrique subsaharienne de l’Institut français des relations internationales (Ifri) |
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@rib News, 14/03/2018 Norbert Zongo : « Un tyran n'a pas d'amis éternels et chaque compromission avec une dictature est toujours payée au prix fort » Sociétés en crise : le journaliste burkinabé d'investigation Norbert Zongo (photo) a fait une analyse des différentes compromissions politiques qui s'y déroulent. Un cas d’école qui s’applique parfaitement à la situation actuelle au Burundi. A lire et méditer ! |
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Deutsche Welle, 16.02.2018 Burundi : en pleine crise politique, le référendum est-il opportun ? Du 8 au 17 février 2018, les Burundais en âge de voter sont invités à s’inscrire sur les listes électorales, en vue du référendum constitutionnel, de mai 2018. Ce projet de référendum est, bien évidemment, contesté par l’opposition, la société civile, surtout celle en exil depuis 2015. |
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@rib News, 02/11/2017 – Source IOB Entre rejet catégorique et soutien ferme de l’Accord d’Arusha. Analyse de discours politiques burundais. Par Gertrude Kazoviyo - Octobre 2017 Résumé Ce papier essaie d’analyser quelques discours tenus par les acteurs politiques burundais autour du processus de paix d’Arusha en général et du partage du pouvoir en particulier. L’objet de cette analyse est de dégager les attitudes de principaux locuteurs politiques burundais sur ce processus, destiné à trouver des solutions à un conflit qui dure des dizaines d’années. |
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Le Monde, 27.10.2017 Alors que le pays est le premier à quitter la CPI, le président pourrait se représenter en 2020 voire en 2027 grâce à un projet de réforme constitutionnelle. Les uns après les autres, rapports et témoignages dressent depuis 2015 un bilan étourdissant de la répression contre l’opposition et du système de terreur qui s’enracine au Burundi. En vain. Pendant ce temps, le président Pierre Nkurunziza assoit son pouvoir. [Photo : Le couple présidentiel burundais, Pierre et Denise Nkurunziza.] |
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The Conversation, 7 octobre 2017 En Afrique centrale et orientale, le sacre des « démocraties puissantes et durables » Par André Guichaoua Professeur des universités, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Les régimes bâtis sur les ruines de guerres civiles en Angola, au Burundi, au Congo, en République démocratique du Congo (RDC), en Ouganda et au Rwanda, ont reposé sur des forces politico-militaires. Hormis au Kenya, en Tanzanie et en Zambie, où le multipartisme a été rétabli au début des années 1990 et a perduré malgré des élections entachées de violences, partout les espérances démocratiques ont été trahies ou manipulées. |
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Justice Info, 04.10.17 Burundi : « la population paupérisée est érigée en rempart d'un noyau dirigeant bunkérisé » Pour le sociologue André Guichaoua, spécialiste de la région des Grands lacs africains, la répression s’abat sur tous les démocrates burundais depuis 2015, même si « les appels directs ou indirects à la mobilisation ethnique se sont développés à l'initiative de cadres et de militants du parti au pouvoir CNDD-FDD, pour faire taire ses propres opposants et remobiliser des partisans sur le thème de l'ethnie majoritaire » hutu. |
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@rib News, 22/08/2017 Par Juho Takkunen (twitter : @juhotakku) Outre le troisième mandat de Pierre Nkurunziza, les désaccords principaux sur la définition de la crise burundaise sont formés autour de la question du droit à dialoguer et des différentes perceptions sur l’essence de la violence dans la crise. C’est ce que révèle la recherche faite par un étudiant finlandais Juho Takkunen, du programme de Master de la recherche de la paix et des conflits à l’Université de Tampere, en Finlande. |
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RTBF, 11 juillet 2017 Deux ans de violences invisibles au Burundi : que peut faire la communauté internationale ? Une nouvelle attaque à la grenade a eu lieu dimanche soir au Burundi dans un bar du nord du pays. Au moins 8 personnes ont été tuées et une soixantaine d’autres blessées. Une enquête est en cours pour identifier les coupables. Ce type d’actes criminels est très fréquent depuis la crise politique de 2015 et la réélection controversée du président, Pierre Nkurunziza, il y a presque deux ans maintenant, jour pour jour. [Photo : Emmanuel Klimis, spécialiste du Burundi, chercheur à l’université Saint-Louis de Bruxelles] |
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@rib News, 27/04/2017 Le peuple constituant et les ‘Ingingo Ngenderwako’ de l’Accord d’Arusha : les limites légales et légitimes d’une révision de la Constitution du Burundi Working Paper 2017.05, IOB, Université d’Anvers, avril 2017 S. Vandeginste et R.C. Niyonkuru Résumé L’article 299 de la Constitution du 18 mars 2005 impose certaines limites au pouvoir de réviser la Constitution. Il protège des valeurs auxquelles une révision de la Constitution ne peut pas porter atteinte. La version française de l’article 299 diffère de la version kirundi que le peuple burundais a adoptée lors du référendum du 28 février 2005. |
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RFI, 25-04-2017 Burundi : «Un pouvoir qui semble uni» Le Burundi est dans l'impasse. Deux ans jour pour jour après le début d'une grave crise politique, née de la volonté du président Pierre Nkurunziza de briguer un troisième mandat, l'économie est en récession : 1/4 de la population a un besoin urgent d'aide humanitaire et le pays fait face à une grave épidémie de paludisme. |
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@rib News, 20/04/2017 – Source Ifri L’opposition burundaise en exil Notes de l’Ifri, avril 2017 Par Thierry VIRCOULON Introduction Dès 2015, la crise burundaise a jeté sur les chemins de l’exil presque tous les politiciens et leaders de la société civile. Deux principales vagues de départ ont eu lieu. D’abord celle des « frondeurs » : il s’agit des cadres du Conseil national pour la défense de la démocratie-Forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD) qui s’opposaient à la candidature du président Pierre Nkurunziza pour un troisième mandat, et qui ont quitté le pays après l’annonce de sa candidature (fin avril/début mai 2015). |
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Le Pays, 13 avril 2017 La Communauté internationale face à la crise burundaise : Un silence qui sert le dictateur Depuis que le médiateur tanzanien dans la crise burundaise, Benjamin Mkapa, a jeté l’éponge en mars dernier, la situation va de mal en pis. Plus aucun espoir de trouver un compromis de sortie de crise ne pointe à l’horizon, le dialogue étant de fait totalement rompu entre les protagonistes. Pire, le pays semble complètement abandonné à lui-même, par une communauté internationale devenue aphone, qui s’est montrée jusque-là incapable de trouver une solution pour faire plier le satrape. |
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RFI, 10 avril 2017 Au Burundi, dans son dernier rapport le think-tank International Crisis Group décrit une armée « en ruine », traversée par des tensions politiques et où les équilibres ethniques instaurés par les accords de paix d’Arusha en 2000 sont mis à mal. Selon les analystes, le régime de Bujumbura tire parti de ces divisions pour « remodeler » et contrôler l’armée » suite à la tentative de putsch de mai 2015. |
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International Crisis Group, 6 avril 2017 Burundi : l’armée dans la crise Rapport Afrique N°247 | 5 avril 2017 Près de deux ans après la tentative de coup d’Etat, la crise burundaise continue de s’enliser, et la polarisation politique et ethnique a atteint l’armée, hier vitrine de l’accord d’Arusha qui a mis fin à la guerre civile. Synthèse En l’espace de deux ans, la crise burundaise s’est enlisée. Après la réélection, en juillet 2015, du président Nkurunziza – dont la candidature, en avril, avait déclenché les troubles – et face à l’échec de la médiation, elle s’est transformée en conflit de basse intensité et près de 400 000 Burundais ont fui leur pays. Depuis la tentative de coup d’Etat de mai 2015, la polarisation politique a violemment atteint l’armée. |
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Jeune Afrique, 12 novembre 2016 Bujumbura paraît plus isolé que jamais. Pourtant, sa rhétorique anti-occidentale lui vaut encore quelques amitiés à Moscou, à Pékin et jusqu’au sein de l’Union africaine. Tout est allé très vite, le 12 octobre. Les députés puis les sénateurs ont massivement voté en faveur du retrait de la Cour pénale internationale (CPI). [Photo : À l’Assemblée nationale, le 12 octobre, le vote à main levée en faveur du retrait de la CPI a recueilli une écrasante majorité] |
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Libération, 21 octobre 2016 Pour la première fois depuis sa création en 2002, la Cour pénale internationale voit deux pays d'Afrique annoncer leur volonté de rompre avec elle. Une défiance qui séduit en Afrique mais les vraies raisons du divorce sont moins glorieuses. Sale semaine pour la Cour pénale internationale : après le Burundi mardi, c’est au tour de l’Afrique du Sud d’annoncer vendredi son intention de se retirer de la plus haute instance pénale internationale permanente, habilitée depuis 2002 à juger des crimes contre l’humanité, crimes de guerre ou d’agression, comme de génocide. |
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Jeune Afrique, 21 octobre 2016 Le Burundi, petit État d’Afrique centrale avec ses 28 000 km2 et ses quelque 10 millions d’habitants, va quitter la Cour pénale internationale (CPI), à laquelle il avait adhéré en 2004. Ainsi en a décidé son Parlement le 13 octobre. Depuis avril 2015, le pays est dans la tourmente à cause du défi qu’a lancé au monde entier le président Pierre Nkurunziza en briguant un troisième mandat. Un classique dans la région. |
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