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Opinion
@rib News, 13/07/2015 Burundi : Quelle médiation pour quelle finalité ? Par Mikaza Diomède Qu’elle ait lieu avant, après ou le 15 juillet 2015, l’élection présidentielle au Burundi n’est en elle-même ni un scoop ni un tabou. En d’autres temps et sous d’autres cieux, elle serait un acte citoyen ordinaire d’exercice démocratique. Seulement voilà, la réalité de la gouvernance au Burundi et particulièrement la conception du pouvoir et la personnalité d’un certain Nkurunziza Pierre en donnent une saveur et une odeur sui generis de mauvais goût. Mais avant d’engager une réflexion sur les différentes facettes de cette question qui, somme toute met sur les nerfs les burundais et la communauté internationale et ce en raison de ses implications sur les principes de bonne gouvernance et de démocratie, il me semble de bon aloi d’en clarifier la problématique. |
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Sputnik France, 08.07.2015 La crise au Burundi : vers une guerre civile ? Alors que l’échéance de la présidentielle programmée le 15 juillet se rapproche, les tensions se font de plus en plus vives au Burundi. Dernier épisode en date : les résultats des législatives controversées dans le pays, boycottées par la plupart des partis d’opposition et par les organisations de la société civile. |
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@rib News, 04/07/2015 Immobilisme et Impunité au Burundi Continuité… Dossier Contribution à la Commission Vérité-Réconciliation et au Mécanisme de Justice Transitionnelle Par Perpétue Nshimirimana - Lausanne, le 3 juillet 2015 A l’approche des élections initialement prévues pour les mois de mai et de juin 2015, les autorités politiques au Burundi ont pris, au cours de ces derniers mois, une cascade de décisions importantes. Certaines d’entre elles ont remis en cause la paix et la stabilité relatives du Burundi. Par exemple, après s’être séparé de quelques uns de ses membres influents, le parti CNDD-FDD - une des composantes principales du Pouvoir officiel avec le parti UPRONA -, a nommé le samedi 26 avril 2015 son candidat aux élections, Pierre Nkurunziza. Par ce choix délibéré de briguer un troisième mandat, les Accords d’Arusha en vigueur depuis Août 2000 devenaient en grande partie caduques. |
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La Libre Belgique, 23 juin 2015 Il faut sauver le peuple burundais en danger Une opinion de Julien Nahayo, ambassadeur e.r. Compte tenu de l’obstination de Nkurunziza d’arracher son nouveau mandat quel qu’en soit le prix, y compris un éventuel génocide, la communauté internationale doit trouver rapidement des mécanismes d’interventions au Burundi. Depuis des mois, voire des années pour certains, les partenaires du Burundi se penchent sur le triste sort qui lui est réservé par le régime dictatorial de Bujumbura. Tous essayent, par des contacts diplomatiques, via des résolutions parlementaires ou toutes autres voies appropriées, de donner des conseils, formuler des mises en garde, demander aux dirigeants burundais d’avoir des comportements dignes de la bonne gouvernance, etc. Mais le président Nkurunziza et son entourage restent sourds à toutes ces démarches. |
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Le Pays, 09/06/2015 Appel au dialogue de l’OIF au Burundi : Doit-on négocier avec un voleur-tueur ? Quelle thérapie pour le Burundi ? That is the question que tout le monde se pose, tant le pays va à vau-l’eau. En effet, cela fait plus d’un mois que le pays est sens dessus dessous. La violence y est devenue la chose la plus courante, si fait que chaque jour qui passe, on dénombre de nombreux cadavres sur le carreau. Le Burundi brûle, mais le pasteur-président Pierre NKurunziza avance, convaincu qu’il aura tout le monde à l’usure. Et pour ne rien arranger, la communauté internationale, plutôt que de se montrer ferme, se résout à appeler les acteurs de la crise au dialogue. |
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@rib News, 07/06/2015 La CENI n’a plus d’existence légale au Burundi Par Me Pacelli Ndikumana « Au regard des dispositions pertinentes de la Constitution burundaise, la CENI, dans l’état actuel de sa composition, n’a aucune légitimité constitutionnelle et son existence légale est sérieusement compromise par la combinaison de trois facteurs ; à savoir la réduction du nombre des membres qui doivent être à cinq et une suspicion légitime que l’indépendance des membres n’est pas du tout garantie et enfin par l’incapacité constitutionnelle du Président de la République de remplacer les deux membres démissionnaires. », estime dans une analyse Me Pacelli Ndikumana. Lire l’intégralité de l’Analyse |
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@rib News, 03/06/2015 Burundi, la démocratie en péril La Belgique hausse le ton contre Nkurunziza et sa clique Par Anicet Niyonkuru « Burundi, la démocratie en péril », tel est le sujet abordé par huit conférenciers ce soir du mardi 2 juin 2015 dans l’enceinte de l’Université Libre de Bruxelles. Les différents conférenciers étaient : - Tomas Van Acker (Conflict Research Group - Université de Gand) - Julien Nahayo (Comité de solidarité et de suivi de la crise burundaise, ex-Ambassadeur du Burundi à Bruxelles) - Ernest Sagaga (Fédération internationale des journalistes) - Maria Arena (députée au Parlement Européen) - Isabelle Durant (députée au parlement Bruxellois) - Éric David (Professeur émérite de droit international - ULB) - Valérie Rosoux (Spécialiste de la mémoire et de la résolution des conflits - UCL) - Peter Moors (Chef de cabinet du ministre de la coopération au développement, Alexander de Croo) Lire l’intégralité du Rapport des exposés et débats |
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RTBF, 3 juin 2015 Burundi : une démocratie en péril, "si les armes rentrent, c'est foutu!" L'auditoire de l'ULB était plein à craquer mardi soir, pour une conférence sur le Burundi convoquée dans l'urgence. Les Burundais de la diaspora sont venus des quatre coins de Belgique pour y assister, dans une ambiance presque religieuse. Il est vrai que selon certains, les indicateurs sont au rouge. Le Burundi serait au bord du précipice. Depuis plus d'un mois, le Burundi s'enfonce dans la crise. La candidature du président Nkurunziza pour un troisième mandat est jugée massivement contraire à la Constitution, et aux accords de paix d'Arusha. Nombreux sont ceux qui s'inquiètent. |
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Le Pays, 1er juin 2015 Sommet de Dar es-Salaam sur le Burundi : Que peut la confrérie des sorcières contre l’une des leurs ? Dar-es-Salam, la capitale de la Tanzanie, a accueilli, en l’espace d’un mois, son 2è sommet sur la crise burundaise. Cette fois, le maître de Bujumbura n’y a pas pris part. Les raisons avancées par son porte-parole pour justifier son absence du sommet, ne volent pas haut. Elles sont aussi spécieuses que choquantes. Il est en effet indécent de dire que Nkurunziza est occupé à battre campagne au point de ne pas pouvoir se rendre à un sommet où l’avenir de son pays est en discussion. |
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Le Monde, 27.05.2015 Pour un devoir d’irrévérence en Afrique Pierre Nkurunziza a-t-il le droit de demander encore la confiance du peuple pour un troisième mandat qui serait contraire aux accords d’Arusha ? Dans ce débat entre partisans et opposants du chef de file du Conseil national pour la défense de la démocratie (CNDD) la réponse, finalement, importe peu. Je ne suis pas un excité des limitations de mandat. Je ne fais pas partie, non plus, des personnes qui applaudissent les chefs d’Etat qui respectent les limitations constitutionnelles. Car le drame de l’Afrique c’est aussi cette propension à s’émouvoir pour des choses ordinaires de la vie. |
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@rib News, 22/05/2015 NKURUNZIZA, LE CHOIX DU CHAOS Par Me Roger Macumi, avocat, Suisse, mai 2015 1. Le faux débat Certains brulent leurs neurones à trouver la légitimité juridique d’un 3ème mandat du Président Nkurunziza. Je signale d’emblée que cette démarche est vaine. Nous ne sommes pas en présence de questions juridiques mais politiques. Si non, même un enfant de l’école primaire, pour autant qu’on lui ait bien expliqué la Constitution du Burundi et les Accords d’Arusha, dira que le Président actuel ne peut pas briguer un 3ème mandat. |
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Financial Afrik, 17 mai 2015 Burundi : la nuit des grands couteaux Une déflagration qui illumine le ciel. Un vieil Ak47 qui élève sa complainte dans la nuit de Bujumbura. Et puis c’est le silence. Toute résistance est désormais vaine. Un à un les putschistes se rendent quand ils ne se dénoncent pas. Dernier des Mohicans, le Général Godefroid Niyombaré siffle lui même sa défaite. Pas même une armistice à la Pétain. Non, une capitulation totale. Sans condition. «J’espère seulement qu’ils ne vont pas nous tuer» marmonne le Général qui a fait pourtant son Dien Ben Phu avec son ennemi d’aujourd’hui. Lui et le président Pierre Nkurunziza deux frères d’armes, pilier du CNDD-FDD, cette matrice du nationalisme Hutu, partie prenante de la guerre des 100 000 morts (1993-2005) et des accords d’Arusha. |
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@rib News, 15/05/2015 A PROPOS DE L’AFFLUX DE REFUGIES BURUNDAIS AU SUD DU RWANDA -RETOUR SUR LE 18 OCTOBRE 1988- Adrien Sibomana est nommé Premier ministre du Burundi Contribution à la Commission Vérité et au Mécanisme de Justice Transitionnelle Rose Ntwenga, Montpellier, 13 mai 2015. Au terme de deux mois de violences meurtrières dans le Nord du Burundi, le président putschiste, le major Pierre Buyoya (Hima) avec l’accord de son conseiller principal Artémon Simbananiye (Hima), a décidé le 18 octobre 1988, de nommer Adrien Sibomana (Hutu), Premier ministre pour l’épauler dans la gestion du pays. Cette nouvelle improbable et inattendue pour le public du Burundi était déjà un fait acquis à l’étranger. Pour en avoir fait état dans ses colonnes avant l’annonce officielle par les autorités politiques burundaises, la dernière livraison de la Revue Jeune Afrique (n°1450) avait été stoppée de distribution pour vente dans la ville de Bujumbura. En réalité, la décision de s’adjoindre une personnalité Hutu était le fruit d’une pression diplomatique subie par le major Pierre Buyoya. En effet, Mobutu Sese Seko, président du Zaïre, lui avait proposé ce choix le 7 octobre au cours de la réunion de la CEPGL à Goma. Lire l’intégralité du Document Lire les Annexes |
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@rib News, 13/05/2015 Candidature aux élections présidentielles : les masques sont tombés Par Arthur Kazima L’engagement politique suppose une certaine fermeté de jugement, un certain nombre de principes. Cela est d’autant plus nécessaire quand on est un leader censé éclairer et guider les autres. La cascade de candidatures (ils sont huit à ce jour : Pierre Nkurunziza, Agathon Rwasa, Jean de Dieu Mutabazi, Domitien Ndayizeye, Sylvestre Ntibantunganya, Agathon Rwasa, Gérard Nduwayo, Jacques Bigirimana et Jean Minani) à l’élection hypothétique à la présidence de la République soulève un certain nombre d’interrogations et sème le doute sur les candidats. Voici pourquoi. |
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@rib News, 04/05/2015 La Réconciliation au Burundi. Qui doivent se réconcilier ? Pourquoi ? Comment ? Par Joseph Ntamahungiro Conférence animée le 2 mai 2015 lors de la commémoration du 43ème anniversaire du Génocide contre les Hutu du Burundi. La commémoration s’est déroulée à Piano Fabriek, Rue du Fort (Fortstraat), 35 à 1060 Bruxelles (Saint Gilles – Sint Gillis) Salle Casablanca Avant propos Bien chers compatriotes et amis du Burundi qui nous avez fait l’amitié de nous rejoindre pour commémorer le 43ème anniversaire du génocide contre les Hutu du Burundi en 1972, je vous souhaite la bienvenue et vous remercie de votre solidarité. Je souhaite particulièrement la bienvenue à Mlle Axelle ASMAR, anthropologue, que j’ai l’honneur et la joie d’accompagner ces jours-ci car elle fait un travail sur le Burundi. C’est toujours une joie et une fierté d’entendre qu’il y a enfin des personnes physiques et/ou morales qui s’intéressent au Burundi et aux Barundi, ce pays et ce peuple trop souvent oubliés. Si nous le souhaitons, nous pouvons donc applaudir Mlle Axelle. |
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Le Monde, 04.05.2015 Teddy Mazina: « Mettre un bulletin dans une urne, au Burundi, c’est de la foutaise » Il est l’une des figures de la lutte pour la démocratie et les droits humains au Burundi. Né à Bujumbura en 1972, Teddy Mazina milite déjà pour la paix et la liberté d’expression durant ses études de droit, à l’université du Burundi. En 1995, alors que sévit la guerre civile, cet activisme le conduit à un exil politique en Belgique qui durera près de dix ans. En 2007, cet expert des réseaux sociaux est rentré dans son pays pour y exercer le métier de photographe. Spécialisé dans l’actualité sociopolitique nationale, il se considère davantage comme un activiste que comme un artiste. Alors qu’un livre, « Des Tambours sur l’oreille d’un sourd » (éditions Africalia), consacré à son travail en noir et blanc vient de paraître, Mazina participe activement au mouvement de protestation contre la candidature de l’actuel président, Pierre Nkurunziza, à un troisième mandat. |
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@rib News, 03/05/2015 Burundi. Impossibilité d’aller aux élections et nécessité du dialogue pour une transition Par Albanel Simpemuka Impossible d’aller aux élections Les élections législatives et communales, sont prévues pour le 26 mai prochain. Cependant, des raisons empêchent d’espérer aller aux élections selon le calendrier décliné par la CENI. La première est l’insécurité provoquée par les milices Imbonerakure, qui poussent des dizaines de milliers de Burundais à fuir vers les pays limitrophes. Ce phénomène, constamment dénoncé par l’opposition, est devenu flagrant à l’approche des élections et fait comprendre le potentiel de violence que représentent ces milices. Lors de ces élections, elles vont terroriser les citoyens et imposer le choix des candidats du parti présidentiel. Cela d’autant plus qu’ils sont armés et ont des tenues de la police, ce qui entretient une confusion dangereuse. |
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@rib News, 01/05/2015 HORREUR : LE BURUNDI BRULE DANS UN CLIMAT DE TERREUR POLITIQUE Par Gervais Marcel Cishahayo On comprend très difficilement comment l’UA, l’ONU et le Conseil de Sécurité et les principaux partenaires du Burundi qui ont eu tout le temps d’évaluer la situation sur le terrain ont permis une telle redescente aux enfers qui avait pourtant été annoncée. Le fait que certains crimes semblables à ceux commis sous les régimes antérieurs issus des coups d’état soient commis sous la gestion de l’état par un pouvoir issu de la rébellion constitue une circonstance aggravante. |
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@rib News, 01/05/2015 SI TU REUSSIS JE SUIS AVEC TOI, MAIS SI TU ECHOUES JE NE TE CONNAIS PAS. Par Gervais Marcel Cishahayo A elle-seule la perte du pouvoir et d’éventuelles conséquences y compris des procédures judiciaires ou de rétribution ne suffit pas pour expliquer pourquoi le parti au pouvoir et son président-candidat sont fiers et confiants des manifestations de soutien qui sont autorisées et encadrées mais ont peur des manifestations contre le troisième mandat qui sont réprimées dans la violence. |
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@rib News, 23/04/2015 Un troisième mandat pour 5 ans ou pour 40 ans ? Par Athanase Karayenga Pierre Nkurunziza et ses stratèges doivent bien rigoler. Le président du Burundi est d’ailleurs serein à la veille du congrès de son parti qui le désignera comme candidat à sa propre succession. Il est ravi de la tournure de la situation. Ses stratèges ont tendu, avec succès, un piège de taille à tout le monde : communauté internationale, société civile, confessions religieuses et médias hostiles à son troisième mandat. Car, faire croire que Pierre Nkurunziza souhaite briguer un mandat de 5 ans en exploitant une inexistante faille juridique et une contradiction entre deux articles de la Constitution est une farce, une géniale diversion pour gagner le temps. Si vraiment le débat du troisième mandat de Pierre Nkurunziza avait été uniquement juridique, la question aurait été réglée en 5 minutes. Lire l’intégralité de l’analyse |
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@rib News, 21/04/2015 UN REGARD CITOYEN SUR UNE EVENTUELLE CANDIDATURE DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE Mr. PIERRE NKURUNZIZA AUX ELECTIONS PRESIDENTIELLES DE 2015 Par Elie Maniragora INTRODUCTION Depuis un certain temps, la question de la candidature du Président Pierre NKURUNZIZA aux élections présidentielles du mois de juin 2015 ne cesse de revenir dans le débat socio-politique burundais. En réalité, cette question ne devrait produire une si grande polémique si on se réfère à tous les instruments réglementant le pouvoir au Burundi actuellement. Pourtant, elle est devenue à la fois une préoccupation tant nationale qu’internationale. |
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Le Pays, 19/04/2015 Violences pré-électorales au Burundi : Nkurunziza joue avec le feu Les échéances électorales sont généralement vécues en Afrique par les populations dans la peur. Celle d’être contraintes de prendre le chemin de l’exil, baluchons sur la tête. Les raisons de ce triste constat résident dans le fait que les acteurs politiques perçoivent les compétitions électorales comme une guerre. Tous les moyens sont donc bons pour s’assurer la victoire. Quand ce ne sont pas les préparatifs qui balisent le terrain pour une fraude massive, ce sont les présidents sortants qui s’asseyent sur la Constitution et sur leur conscience pour s’accrocher au pouvoir, advienne que pourra. C’est la posture qu’affiche aujourd’hui le président burundais, Pierre Nkurunziza. |
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@rib News, 19/04/2015 L’opposition burundaise à la recherche de la bonne tactique ? « Du passé faisons table rase » Par Albanel Simpemuka En butte à des contestations de tous genres, dont le point focal semble, à tort, le 3ème mandat, le pouvoir du Président Nkurunziza a adopté un ensemble de mesures qui semblent jusqu’ici lui réussir : accélération et mobilisation des milices Imbonerakure, radiations ou sanctions sévères contre toutes voix dissidentes au sein du parti, changement des responsables des services sensibles tels que le Service National de la Documentation, juridisme politicien prétendant faire interpréter la constitution du Burundi par la Cour constitutionnelle, et surtout, ces derniers jours, la volonté très affirmée de s’assurer le contrôle de la rue, histoire d’ôter les armes à ses adversaires politiques. |
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@rib News, 17/04/2015 Burundi : Soit tu votes pour Nkurunziza soit tu fuis ! Par Buntu Frantz - Avril 2015 Depuis un demi-siècle, le Burundi a vu de façon cyclique, ses fils et filles prendre en masse le chemin de l’exil. Les premiers réfugiés burundais se limitèrent à quelques centaines après les premiers massacres politico-ethniques d’octobre 1965. Le premier départ massif sera noté en 1972-1973, où des centaines de milliers de Burundais se sont réfugiés en Tanzanie, au Zaïre (actuelle RDC) et au Rwanda, fuyant l’armée burundaise et la Jeunesse Révolutionnaire Rwagasore, du parti Uprona de l’époque. Après le coup d’Etat de 1993 et l’assassinat du Président Ndadaye Melchior et de nombreux de ses proches collaborateurs, des massacres interethniques s’en sont suivis, puis une véritable guerre civile. Plus d’un demi-million de Burundais prirent le chemin d’exil. |
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@rib News, 16/04/2015 SOULAGEMENT OU SUSPENSE D’UNE MANIFESTATION AVORTÉE OU REPORTÉE Par Gervais Marcel Cishahayo Après douze ans d’une guerre fratricide particulièrement violente, la majorité de la population ne veut plus jouer à la roulette burundaise des années 1990s. Pendant que l’ensemble de la population retenait son souffle, la confrontation n’a heureusement pas eu lieu : la manifestation a été avortée ou reportée. Le soulagement et le suspense continuent car l’opposition n’a pas déclaré forfait et la police est toujours sur le qui-vive. A travers les partis politiques de l’opposition et les organisations de la société civile, les burundais se sont exprimés clairement contre une éventuelle candidature du président à un troisième mandat forcé en violation des Accords d’Arusha et de la Constitution. |
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Les Grands Hommes
Mirerekano/Ngendandumwe
Les Monuments
Place de l'Indépendance Monument de l'Unité
Mausolée de Rwagasore
Présidence Assemblée nationale
Sénat
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