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Opinion
@rib News, 11/04/2014 Le Burundi victime de politiciens véreux et de certains fonctionnaires internationaux Par Kazirukanyo Martin La fonction politique est la plus délicate de toutes les fonctions sociales, car c'est d'elle que dépend le progrès ou la décadence d'une société d’où pour qu’elle avance il faut des hommes généreux de cœur et d'esprit à la tête du pays dont la tâche principale est la promotion d’un meilleur destin, des hommes capables d'apporter des solutions appropriées et de proposer un projet de société adapté aux besoins des citoyens. Cela suppose bien entendu des hommes altruistes et non égoïstes travaillant pour le développement du bien commun contre vents et marrées. |
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@rib News, 07/04/2014 Le 7 avril 1994. Quand un certain Rwanda pleure d’un œil ou de la confiscation politicienne de la mémoire Par Albanel Simpemuka Le mois d’avril est devenu, aussi bien au Rwanda qu’au Burundi, le mois des tristes souvenirs. En effet, c’est le 29 avril 1972 qu’a été déclenché au Burundi, par le régime de Michel Micombero, le génocide contre les Hutu. Au Rwanda, c’est le 7 avril 1994, au lendemain de l’attentat contre le Falcon 50 qui transportait les Présidents Juvénal Habyarimana du Rwanda et son homologue burundais, Cyprien Ntaryamira, qui est célébré en souvenir du génocide rwandais. Mais, s’agissant particulièrement du Rwanda, sur lequel nous allons nous appesantir, une série de questions se posent, qui ne manquent pas de jeter le trouble dans l’esprit, au regard de la différence des statuts, de l’occultation de la vérité historique, du manquement à une justice équitable, et de l’instrumentalisation politicienne de la mémoire pour dénier ses droits à tout un peuple. Et si « le génocide » dans la bouche du FPR de Kagame n’était qu’un masque d’hyène, masque destiné à nous empêcher de penser aux morts, à tous les morts, et surtout aux vivants ? Pouvons-nous, vingt ans après, supporter une mémoire au service du mensonge, de la vengeance et de l’exclusion ? Lire l’intégralité de l’Analyse |
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@rib News, 06/04/2014 Fugace Passage de la Démocratie au Burundi Vingt ans après -Rétrospective- Contribution à la Commission Vérité et au Mécanisme de Justice Transitionnelle Dossier de Rose Ntwenga, Montpellier, le 5 avril 2014. Le 6 avril 2013, les autorités politiques actuelles du Burundi ont officiellement renoncé à poursuivre les meurtriers du Président Cyprien Ntaryamira. Les lignes suivantes sont une sélection de temps forts de la seconde tentative d’introduction de l’esprit de démocratisation au Burundi de 1992 à 1994. Pour mémoire, la première tentative entre 1959 et 1965, est celle de la génération de nos parents, précurseurs du Burundi moderne. Avec l’avènement de la première république le 28 novembre 1966, les Hima burundais et rwandais dit Tutsi ont installé une dictature « émaillée » de génocides des Hutu du Burundi.
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@rib News, 06/04/2014 Samantha Power visite le Burundi dans une position délicate Par Léa Kankindi Selon une dépêche publiée par l’Agence France Presse (AFP) ce samedi 5 avril, Samatha Power (photo, avec Barack Obama), l’Ambassadrice des Etats-Unis auprès des Nations Unies visitera trois pays africains, le Rwanda, le Burundi et la République Centrafricaine (RCA), une visite qu’elle entame ce 6 avril. Au Rwanda, Amb. Samantha Power y va pour participer à la célébration du 20ème anniversaire du génocide au Rwanda et est à la tête de la délégation onusienne. Comme elle l’a elle-même annoncé, elle ne va pas « en Afrique pour uniquement participer à la célébration du 20ème anniversaire du génocide rwandais mais pour mettre en exergue les tueries ethniques en République Centrafricaine et le possible retour à la violence au Burundi » |
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@rib News, 22/03/2014 Le Burundi plus que jamais à la recherche d'un leadership éclairé Par Anaclet Muhakwanke Ce vendredi 21 mars 2014, c’est un monde de certitude qui s’est écroulé pour le parti au pouvoir au Burundi. Les conciliabules ont duré bien des mois après l’atelier organisé par l’assemblée nationale au mois de décembre. Le rendez-vous de mars était donné comme le meilleur. Les Burundais viennent pourtant de rater un grand rendez-vous avec l’histoire. A quelque chose malheur est bon. Est pris qui croyait prendre Avec l’échec de la révision de la Constitution par le Parlement, l’énième preuve que David défait Goliath est là ! Le mastodonte CNDD-FDD croyait faire d’une bouchée les députés de l’UPRONA (aile favorable à Charles Nditije) mais il a été pris à son propre piège. |
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@rib News, 12/03/2014 Burundi : La stratégie de la tension est déjà en action. Par Kabura Nicodème La stratégie de la tension consiste à : imposer le débat, impulser le doute dans le chef des dirigeants d’un Etat, créer l’incertitude non gérable chez les citoyens en les faisant craindre le chaos et en les poussant vers des actions désespérées, amener les milieux sociaux vers des revendications sans issue, cautionner toute idée avilissant le pouvoir en place et en le dénigrant systématiquement malgré ses réalisations, appuyer tout groupe qui se veut bloquer toute initiative novatrice en la qualifiant d’office de néfaste pour la société en vue d’arracher l’assentiment de la population en faveur du soulèvement, etc. Bref, tout paralyser sauf si les gouvernants acceptent de tout céder. |
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@rib News, 22/02/2012 L’Histoire nous apprend que l’Homme n’apprend rien de l’Histoire Par Jonas Hakizimana Actuellement, on parle beaucoup du « feuilleton UPRONA ». Le pouvoir cherche à détruire le parti UPRONA pour faire passer des lois jugées contraires à la démocratie par plus d’un. Pour arriver à ses fins, le pouvoir s’appuie sur la Justice, la Police et le ministère de l’Intérieur. La brutalité policière et l’instrumentalisation de la Justice sont les armes favorites du parti au pouvoir pour étouffer toute voie discordante. Le parti UPRONA devrait savoir qu’il est, aujourd’hui, victime du système qu’il a lui-même instauré. |
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@rib News, 14/02/2014 Burundi : Les dessous de l’apparente sortie de crise au sommet de l’Etat Par Anaclet Muhakwanke Le Parlement burundais vient d’approuver le candidat proposé par le Président de la République comme nouveau Premier Vice-président. C’est une sortie de crise qui arrange le régime CNDD-FDD mais qui est loin de rassurer la population et la communauté internationale. Le régime CNDD-FDD a fait son choix : ignorer le camp dur de l’UPRONA et appuyer les esprits apparemment malléables ou en perte de vitesse, vu qu’au sein de l’UPRONA le camp de Concilie NIBIGIRA pèse très léger dans la balance. |
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@rib News, 05/02/2014 BUSOKOZA : chronique d’une mort politique annoncée Par Anaclet Muhakwanke Quand on analyse la forme de la lettre que l’ex-Vice Président de la République a signée pour annuler la décision du ministre de l’Intérieur, on ne peut pas s’empêcher de s’interroger. Pourquoi BUSOKOZA a-t-il signé une lettre portant l’entête de son Bureau du protocole et non du Chef de cabinet ? Pourquoi ce désordre dans la justification du texte ? Pourquoi cette référence écrite à la main ? Pourquoi cet oubli quant à la nature du texte : Arrêté ou simple Communication ? |
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@rib News, 31/01/2014 Burundi : Les lacunes de la mémoire – l’ancien Parti-Etat UPRONA – Me Rufyikiri Par Kabura Nicodème La haine précède-t-elle ou suit-elle la posture idéologique ? Les deux sans doute. Sans doute qui dit haine de soi, dit haine des autres. Dans la sous-région les Partis politiques MPR, PARMEHUTU, MRND et autres du genre qui avaient imposé des régimes dictatoriaux basés sur le principe du Parti-Etat unique, ne font plus partie du vocabulaire courant seul l’UPRONA fait exception. De fait, le Parti UPRONA n’a pas fait dans la dentèle au cours des quatre décennies passées sous son autoritarisme de 1966 à 1993, l’histoire du pays est émaillée de crimes graves dont de possibles actes de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité sans que les responsables de ces possibles actes n’aient été appréhendés. |
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@rib News, 30/01/2014 L’UPRONA au passé composé : Charles Nditije dans les sentiers de Charles Mukasi Par Hassan Ngendakumana Contrairement à ce que pensent ou disent certaines personnes ou médias, la décomposition de l’UPRONA n’est pas du tout à imputer au CNDD-FDD, mais plutôt à l’UPRONA lui-même. S’il est vrai que ce parti était au commencement le miroir de multiethnique, hélas, les choses ont changé, c’était le temps d’avant. Depuis l’assassinat de Rwagasore, son parti a basculé radicalement dans le sens contraire des aiguilles d’une montre qui montre le sens de l’unité nationale. Surtout, il faut remarquer que chaque fois que l’UPRONA est dirigé par un Hutu, il s’enfonce profondément et se rapproche davantage du cimetière. [Photo : Charles Nditije, président du parti Uprona] |
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@rib News, 03/01/2014 Université du Burundi, vers la fusion de toutes les facultés en une seule : La faculté des sciences. Par Nzikoruriho Gervais Suite au récent scandale de recrutement des professeurs à l’Université du Burundi, pour ne pas cautionner la gestion désastreuse de cette institution académique, certains doyens ont démissionné de leurs postes. Ce sont notamment le Doyen de la Faculté des Sciences économiques, le Doyen et le Vice-doyen de la faculté de Droit. Comme si les facultés n’avaient aucune spécificité, il paraitrait que le recteur de l’université, Gaston Hakiza, géologue de formation, aurait désigné un chimiste à la tête de la faculté des Sciences économiques et un physicien à la tête de la faculté de Droit. Probablement que bientôt il va désigner un mathématicien à la tête de la faculté des lettres non pas pour continuer à y enseigner la langue de Shakespeare, de F. Hollande, de Ntahokaja ou de Babubacu mais plutôt la langue des signes, c’est codé, c’est plus scientifique. |
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@rib News, 30/12/2013 A propos de la Commission nationale terres et autres biens (CNTB) Par Kabura Nicodème Effectivement, l’Assemblée nationale du Burundi a adopté le 28 décembre 2013 à une très large majorité un projet de loi portant révision de celle qui a créé en 2009 la Commission nationale terres et autres biens (CNTB), chargée de régler notamment les conflits fonciers nés des différentes spoliations et autres vols de biens appartenant aux victimes du cycle de violence, qu’utilisait comme mode de gouvernement, la junte militaire au pouvoir pendant la dictature de 1965 à 1993 au Burundi. |
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@rib News, 27/12/2013 BURUNDI : l’Ubuntu, l’Apartheid et Mandela En 1989, je vis à Bujumbura, la capitale de mon pays natal dit la « Suisse d’Afrique ». Je suis mariée, mère de deux jeunes enfants et je travaille. Pour moi, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Par le passé, j’ai été engagée dans quelques associations (dont la fameuse Jeunesse Révolutionnaire Rwagasore), convaincue d’agir pour la promotion des droits humains. Depuis peu, je me sens fière de militer au MSA, le Mouvement de Soutien à l’Afrique Australe. Cette branche locale d’une organisation panafricaine lutte contre l’Apartheid et prône la libération de Nelson Mandela. Nobles et juste causes, n’est-ce pas ? |
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@rib News, 20/12/2013 – Source Burundi Bwacu Nibizi Serge et Sinduhije Alexis : au-delà de l’incident isolé, une foule de questions autour des principes Par Fabien Cishahayo Les commentateurs politiques qui, d’habitude, sont généreux de leur temps, en ont momentanément manqué pour commenter cet incident, comme si les excuses présentées par Alexis Sinduhije au journaliste de la Radio Publique Africaine (RPA), Serge Nibizi, suffisaient à clore le débat, qui nous semble pourtant être un débat de fond. Certains seraient tentés d’y voir la main - et l’influence - d’un conseiller en relations publiques, pour redorer l’image du leader du MSD. Le brouhaha numérique qui a suivi ces excuses sur les réseaux sociaux confirme cette hypothèse. Après ses excuses, ne voilà-t-il pas que des griots présentent le leader comme un exemple à suivre pour tous les hommes politiques burundais, récupérant ainsi une bourde pour en faire une illustration de l’excellence du candidat ! Mais le procédé est trop gros et ne convainc que les convertis les Burundais n’aimant pas qu’on les prenne pour des idiots. |
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@rib News, 11/12/2013 La Veuve, Joséphine Nzeyimana, A Besoin de Toi Par Thierry Uwamahoro Les jours et mois à venir verront une large mobilisation pour la libération de Frédéric Bamvunginyumvira. Les medias parleront de lui. Ses collègues au sein du leadership de l’ADC Ikibiri ne lâcheront pas jusqu’au jour de sa libération. A l’instar des journalistes pour Hassan Ruvakuki, les membres et sympathisants de l’ADC Ikibiri pourront manifester pacifiquement chaque jeudi jusqu’à ce que Bamvuginyumvira retrouve ses droits lui retirés le plus injustement et le plus arbitrairement du monde. Les chancelleries africaines, européennes, et la représentation onusienne à Bujumbura pèseront lourdement sur le régime Nkurunziza pour que la raison reprenne les rails. En fin de compte, pour sauver la face du gouvernement, Bamvuginyumvira sera injustement condamné à une peine minimale, puis libéré. Géré intelligemment, cet épisode noir pourrait même propulser Bamvuginyumvira à la tête de la liste des favoris pour 2015. |
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@rib News, 06/12/2013 Fréderic Bamvuginyumvira victime d’un complot ou d’un piège ? Par Hassan Ngendakumana « Ce qui s'est passé est une relation inappropriée, et même plus que cela, une faute morale. Une faute vis-à-vis de ma femme, de mes enfants, de mes amis mais aussi devant les Français qui avaient placé en moi leurs espoirs de changement ». Ces sont les mots de regret qu’a prononcé DSK dans l’affaire avec la femme de ménage Nafissatou Diallo. On dit que les mêmes causes produisent les mêmes effets, il parait que Bamvuginyumvira Frédéric, qui était pressenti comme le candidat unique de l’ADC-ikibiri aux élections présidentielles de 2015 au Burundi, vient d’être attrapé en fragrant délit au lit avec une femme qui n’est pas la sienne et dont on ignore l’identité. S’agit-il d’un piège? D’un complot ? C’est possible. |
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@rib News, 03/11/2013 Assassinat du Président élu Melchior Ndadaye -Vingt ans après le Carnage ignoré des cadres de la démocratie naissante- Dossier de Perpétue Nshimirimana, le 1er novembre 2013. Contribution à la Commission Vérité-Réconciliation et au Mécanisme de Justice Transitionnelle A partir d’octobre 1993, à la suite du meurtre le 21 octobre 1993 du premier Président démocratiquement élu de l’Histoire du Burundi, Melchior Ndadaye, des assassinats en masse ont visé avec acharnement un grand nombre de personnes d’origine Hutu, en particulier, les cadres de ce groupe. Au minimum cent quarante Hauts-cadres et cadres de la société politique, civile, économique, militaire et religieuse, ont été assassinés. Quarante et un autres ont survécu à des attentats et des dizaines de milliers ont dû s’exiler. Parmi les personnes assassinées, en plus des deux présidents de la République, il faut se rendre compte que : |
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@rib News, 31/10/2012 Bernard Busokoza : Décryptage d’un vrai faux serment Analyse de Sylvestre Ndarinze Ou le premier Vice-président Bernard Busokoza a correctement lu un texte incorrectement écrit par son équipe. Et il y a erreur ou sabotage. Ou il a lu incorrectement un texte correctement écrit. Un lapsus peut-être. Et dans le pire des cas, il refuse la souveraineté du Peuple. Et c’est un putsch consommé. La monnaie d’échange reste la grande inconnue. La surprise fut grande, quand les médias donnèrent la nouvelle du faux serment du dorénavant Premier Vice-président de la République du Burundi. Les membres de la Cour Constitutionnelle, gardiens du respect du Texte fondamental ont reçu un faux serment. N’eût été la vigilance de nos confrères, la bourde aurait été avalée. Et le nième putsch aurait été consommé. Attribuer la souveraineté nationale « au Président de la République », et non au Peuple, véritable détenteur constitutionnelle de la souveraineté nationale, avouons qu’il y a là quelque chose de troublant. Comment interpréter pareille bourde ? |
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@rib News, 21/10/2013 Nomination du Colonel Jean BIKOMAGU comme Chef d’Etat Major de l’armée. Une erreur fatale du Président Melchior NDADAYE Par Hassan Ngendakumana Le président Melchior NDADAYE a été élu en juin 1993, autant par détestation de ses prédécesseurs que par engagement sur son nom. Vers les années 80, on observait deux tendances parmi les opposants hutu tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du Burundi. Il y avait une tendance qui préconisait la lutte armée, convaincue que seules les armes pouvaient faire contraindre le pouvoir mono ethnique tutsi à comprendre sa frustration et à accepter de négocier. Une autre tendance dont faisait partie Melchior NDADAYE, s’opposait à la lutte armée préférant militer de façon pacifique. |
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@rib News, 21/10/2013 Kirundo 1993 : Une prison devenue un Lycée sur ordre du Président Ndadaye Par Karemangingo Saidi En ces moments où nous commémorons le 20e anniversaire de l’assassinat du Héros de la démocratie au Burundi, S.E Ndadaye Melchior, il est très important de revenir sur son œuvre, sur son combat et surtout sur son héritage. Son héritage est tellement grandiose pour le Burundi que je ne saurai le décrire dans ce petit texte. Le texte que je vous propose revient sur la décision que notre cher feu Président a prise pour ma province natale transformant une grande prison à haute sécurité, qui était d’ailleurs sur le point d’être unaugurée, en un Lycée dont toute la province est fier aujourd’hui. |
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@rib News, 09/10/2013 – Source La Libre Belgique Jamais deux sans trois ? Comment réagir face à un éventuel troisième mandat des présidents Nkurunziza (Burundi), Kabila (République démocratique du Congo) et Kagame (Rwanda) ? Par Stef Vandeginste - Mercredi 02 octobre 2013 En Afrique centrale, un débat intéressant fait rage actuellement à propos d’un éventuel troisième mandat pour les présidents en exercice. Les présidents Nkurunziza du Burundi (en 2015), Kabila de la République démocratique du Congo (en 2016) et Kagame du Rwanda (en 2017) s’approchent peu à peu de la fin de leur second mandat. Aucun des trois n’a annoncé, de façon explicite, sa candidature aux prochaines élections présidentielles. Par contre, certaines déclarations récentes faites par des conseillers dans leur entourage immédiat indiquent que, dans les trois cas, un délai supplémentaire au pouvoir n’est tout au moins pas exclu. |
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@rib News, 15/09/2013 Faire pression sur Kinshasa ou sur Kigali pour dénouer le conflit à l'est de la RDC ? Qui a raison, qui a tort ? Par Maniriho Léonce En lisant l'article de Collette Braeckman du 12 septembre 2013 publié sur son blog (cf. Le carnet de Colette Braeckman, http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/), je trouve intéressantes les prises de positions de certains acteurs politiques concernés par la « question de l'est » de la RDC. Il s'agit des positions de deux des pays de la communauté internationale qui, d'une manière ou d'une autre, sont activement impliqués dans la problématique : le Burundi et la Belgique. Le premier pour le fait de sa proximité et appartenance au même ensemble régional, le second pour son passé colonial et son engagement important en matière de partenariat économique avec ce pays. |
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@rib News, 06/09/2013 Elections de 2015 au BURUNDI : Promesses, Dons et Lobbyings Par Hassan Ngendakumana Les besoins de financement des partis politiques au Burundi sont tels, depuis l'élection dans une circonscription collinaire, en passant par celle des législatifs jusqu'aux présidentielles, qu'ils rendent les politiciens burundais dépendants des subsides en provenance des milieux d'affaires, des cotisations des membres et des autres donateurs, selon des procédures qui sont quelques fois loin d'être transparentes et alimentent de ce fait le soupçon de corruption électorale. L’approche des élections de 2015 est donc le moment le plus délicat et le plus agité au sein des partis politiques de la mouvance présidentielle comme de l’opposition. |
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@rib News, 23/07/2013 Au cœur du Génocide des Hutu de 1972-1973. Violence organisée pour contrer une Restitution Légitime. -Au souvenir des décisions de Bernard Kayibigi[1]- Par Perpétue Nshimirimana, Lausanne (Suisse), le 19 juillet 2013. La récente restitution du 28 mai dernier aux Ayants-droit d’une maison sise au quartier 5 de l’Office des Cités Africaines (OCAF)/Ngagara, spoliée en 1972, a fait couler beaucoup d’encre. Elle a été, aussi, l’occasion d’échanges houleux ces dernières semaines au Burundi. Pourtant, les propriétaires n’ont fait que rentrer, enfin, dans leurs droits élémentaires, cependant, bafoués depuis quatre décennies au vu et au su de tout le monde. Certains ont fait mine d’être surpris, criant à l’injustice, devant cette mesure d’expulsion décidée après dépôt de plainte à la Commission Nationale des Terres et autres Biens (C.N.T.B.), et refus d’obtempérer de l’intéressé. |
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Mausolée de Rwagasore
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