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Droits de l'Homme
@rib News, 21/07/2010 Reporters sans frontières - Communiqué de presse - 21 juillet 2010 BURUNDI - Le directeur du journal en ligne Net Press arrêté pour "trahison" Reporters sans frontières s'inquiète du sort du directeur du journal en ligne Net Press, Jean-Claude Kavumbagu, arrêté alors qu'il se rendait à son travail le 17 juillet 2010. Les autorités accusent le journaliste de "trahison" suite à la publication, le 12 juillet dernier, d'un article intitulé "Le Burundi sera t-il la prochaine cible des shebbab somaliens?". "Nous condamnons cette nouvelle arrestation de Jean-Claude Kavumbagu, qui traduit un véritable acharnement des autorités burundaises à l'égard de ce directeur, connu pour être critique envers le pouvoir. En quatorze ans de métier, c'est la cinquième fois qu'il est incarcéré. Le nouveau motif trouvé pour justifier cette arrestation est en décalage total avec les faits reprochés. Son article ne fait que soulever un problème réel au Burundi", a déclaré l'organisation. |
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@rib News, 20/07/2010 Un journaliste en ligne burundais écroué pour trahison risque la perpétuité New York, le 19 juillet 2010 - L’arrestation samedi dernier par les autorités burundaises du journaliste Jean-Claude Kavumbagu, inculpé pour trahison à la suite d’un article critiquant les forces de sécurité du pays est alarmante, a déclaré aujourd’hui le Comité pour la protection des journalistes (CPJ). M. Kavumbagu est actuellement détenu à la prison de Mpimba sise à Bujumbura, la capitale burundaise. M. Kavumbagu, directeur de publication du quotidien privé en ligne Net Press, pourrait écoper d’une peine de prison à perpétuité s'il est condamné pour trahison, a dit au CPJ l’avocat de la défense Gabriel Sinarinzi. Les accusations son liées à un article publié le 12 juillet courant par ledit quotidien et portant sur les attentats terroristes meurtriers du 11 juillet dans l'Ouganda voisin. |
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@rib News, 20/07/2010 Burundi : trois organisations demandent la libération d’un journaliste détenu pour trahison (Kampala, le 20 juillet 2010) – Les autorités burundaises se doivent de libérer Jean-Claude Kavumbagu, un journaliste arrêté pour trahison le 17 juillet, déclarent aujourd’hui le Comité pour la protection des journalistes, l’East and Horn of Africa Human Rights Defenders Project (le Projet des défenseurs des droits de l’homme de l’Est et de la Corne de l’Afrique) et Human Rights Watch. L’arrestation porte atteinte au droit à la liberté d’expression de ce journaliste, affirment les trois organisations. Kavumbagu, rédacteur en chef de Net Press, un journal en ligne, aurait été arrêté en raison d’un article publié le 12 juillet dans lequel il critiquait les forces de sécurité burundaises et mettait en doute leur capacité à défendre le pays contre une éventuelle attaque. L’article faisait suite aux attentats perpétrés le 11 juillet à Kampala, en Ouganda, et aux menaces proférées par le groupe d’insurgés somaliens Shebbab contre le Burundi du fait de la présence de troupes burundaises au sein de la mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM). |
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@rib News, 19/07/2010 - Source AFP Jean-Claude Kavumbagu, le directeur d'un journal en ligne Net Press, a été arrêté pour « trahison » samedi au Burundi, à la suite d'un article mettant en doute la capacité des services de sécurité à prévenir un attentat comme celui perpétré par les islamistes somaliens en Ouganda, a-t-on appris de source officielle. « La police a procédé à l'arrestation du directeur de Netpress sur un mandat d'amener du procureur de la République, et qui portait comme motif "trahison" », a annoncé le colonel David Nikiza, commissaire général de la police pour la région ouest du Burundi. |
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RFI, 18 juillet 2010 Jean-Claude Kavumbagu, directeur de Netpress, un journal en ligne, a été arrêté pour « trahison » le 17 juillet à Bujumbura après avoir mis en doute, dans un article, la capacité des services de sécurité burundais à prévenir un attentat comme celui perpétré par les islamistes somaliens en Ouganda. L'attentat survenu à Kampala le 11 juillet 2010 a fait au moins 73 morts et de nombreux blessés. Parce qu’un article de Netpress n’a pas plu en haut lieu, Jean-Claude Kavumbagu a été arrêté le 17 juillet à la mi-journée et écroué peu après à la prison centrale de Bujumbura. C’est le colonel David Nikiza, commissaire général de la police pour la région ouest du Burundi qui a procédé personnellement à son arrestation, et annoncé que le journaliste est poursuivi pour trahison, sans plus d’explication. |
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@rib News, 18/07/2010 – Source Reuters Un journaliste burundais, Jean-Claude Kavumbagu, a été arrêté pour avoir écrit un article dans lequel il remet en cause la capacité des forces de sécurité à réagir à une attaque éventuelle des islamistes somaliens d'Al Chabaab, rapporte aujourd'hui sa famille. Al Chabaab, un mouvement rebelle proche d'al-Qaida, a revendiqué le double attentat qui a fait 73 morts il y a une semaine en Ouganda, seul autre pays avec le Burundi à contribuer la mission de maintien de la paix l'Union africaine en Somalie (Amisom). |
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@rib News, 08/07/2010 DECLARATION D’ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE BURUNDAISE SUR LES ATTEINTES AUX DROITS DE L’HOMME. « Le gouvernement du Burundi devrait mettre fin aux violences et atteintes aux droits humains et donner plus de chances au dialogue pour une issue consensuelle à l’impasse politique. » Au moment où débute la campagne législative, les associations signataires de la présente déclaration sont préoccupées par le contexte où persiste des violences et atteintes aux droits humains dont sont principalement victimes certains militants de partis politiques de l’opposition contestataires des résultats des dernières élections communales et présidentielles. |
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@rib News, 06/07/2010 – D’après BBC et Radio-Canada Après quatre années de négociations, l'Assemblée générale de l'ONU a adopté le 2 juillet 2010, à l'unanimité, une résolution créant une nouvelle entité dédiée à "la cause des femmes". Nommée "Entité pour l'égalité de genre et l'autonomisation des femmes", ou pour faire plus bref "ONU Femmes", ce nouvel organisme unique chargé de "promouvoir les droits et l'égalité des femmes" fusionnera 4 départements onusiens qui traitent des questions relatives aux femmes et travaillaient jusqu'ici de façon séparée. |
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@rib News, 01/07/2010 Burundi : Les violences et atteintes aux droits humains ternissent les élections (Nairobi, le 1er juillet 2010) - La multiplication des violations des droits humains risque de porter atteinte au processus électoral burundais à moins que le gouvernement ne prenne des mesures immédiates pour y remédier, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui. Les dirigeants du parti au pouvoir et des partis de l'opposition devraient également émettre des consignes claires à l'intention de leurs membres, leur signifiant que les actes de violence ne seront pas tolérés. La situation a commencé à se détériorer en mai dernier, après que 13 partis de l'opposition eurent rejeté les résultats d'élections communales historiques organisées au Burundi, invoquant des fraudes massives. Début juin, 12 d'entre eux ont formé une coalition, l'Alliance des Démocrates pour le Changement (ADC-Ikibiri), et ont annoncé un boycott du scrutin présidentiel du 28 juin. Le gouvernement a immédiatement qualifié le boycott d' « illégal ». Le Président en exercice, Pierre Nkurunziza, s'est dès lors retrouvé seul candidat à la présidence. La coalition a également menacé de boycotter les élections législatives prévues fin juillet. |
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@rib News, 27/06/2010 Le dilemme de l’électeur burundais face aux multiples intimidations Le Burundi se trouve aujourd’hui, à quatre jours du scrutin présidentiel, auquel le seul candidat du CNDD-FDD se présentera à sa propre succession. A la suite du premier scrutin communal, les résultats ont été rejetés en bloc par 13 partis de l’opposition, dont 12 regroupes au sein d’une coalition dite ADC-Ikibiri. Dans une telle situation de tensions et d’impasse politiques prévalant dans le pays, on constate une recrudescence alarmante des incidents de violence lies aux enjeux électoraux. Depuis le début de la campagne présidentielle, il ne se passe une seule nuit sans que des grenades soient lancées. Pour la période du 11 au 23 juin, la police en décompte 54 grenades avec 46 blesses et 8 morts. Les électeurs entre le marteau et l’enclume Avec un seul candidat, la campagne présidentielle se déroule dans un climat de tension où les électeurs subissent la pression contradictoire de chefs politiques. Les principaux enjeux pour le bon déroulement du scrutin seront le taux de participation et la sécurité. Cependant force est de constater que la mouvance présidentielle et l’opposition restent radicales dans leurs positions malgré les appels de la société civile et de la communauté internationale au dialogue. |
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@rib News, 26/06/2010 Election présidentielle au Burundi : Nos organisations lancent un appel au calme Paris, Nairobi, Bujumbura, le 25 juin 2010 – La FIDH et son organisation membre, la ligue Iteka, lancent un appel au calme à la veille de l’élection présidentielle prévue le 28 juin 2010, à laquelle seul le président sortant, M. Pierre Nkurunziza, est candidat. Depuis les résultats contestés par l’opposition des élections communales qui se sont tenues le 24 mai 2010 et l’annonce du retrait des candidats de l’opposition à l’élection présidentielle, l’insécurité est grandissante au Burundi. |
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@rib News, 26/06/2010 – Source OHCHR Burundi : l’Expert indépendant des Nations Unies lance un avertissement sur des violations des droits de l’homme autour des élections présidentielles GENEVE (25 juin 2010) – A la veille des élections présidentielles au Burundi, l’expert indépendant des Nations Unies Akich Okola demande « un dialogue constructif entre le gouvernement et tous les partis politiques pour faire en sorte que les élections se déroulent en paix et de manière démocratique ». « Depuis ma dernière visite, et en relation avec les élections communales du 24 mai 2010, j’ai pris note, avec inquiétude, des rapports croissants des violations des droits de l’homme, dont des cas d’arrestation et détention arbitraires ainsi que d’harcèlement des opposants et de leurs partisans. J’ai aussi pris note de la dégradation de la situation liée à la sécurité avec des attaques à la grenade qui ont tué des personnes et détruit des propriétés » a dit l’expert indépendant mandaté par le Conseil des droits de l’homme pour suivre la situation des droits de l’homme au Burundi. |
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@rib News, 18/06/2010 – Source APA Le président de l’Association burundaise pour la protection des droits humains et des personnes détenues (APRODH) Pierre Claver Mbonimpa, a lancé jeudi un cri d’alarme suite aux tortures qui seraient infligées aux militants des Forces nationales de libération (FNL), détenus depuis la veille dans les locaux de la Police Spéciale de Recherche (PSR). Ils avaient été délogés du domicile de leur leader, Agathon Rwasa, où ils avaient campé durant deux jours pour le protéger contre une éventuelle arrestation par la police. |
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Voice of America, 08 juin 2010 Burundi : la grâce accordée à plus de 1300 prisonniers « est une bonne décision » selon l’APRODH Sont notamment concernés les prisonniers condamnés à des peines inferieures à 5 ans, les femmes enceintes ou les malades. Le président burundais Pierre Nkurunziza a gracié plus de 1 300 prisonniers en application d’une décision prise en mars dernier ; un geste salué au Burundi où les prisons sont en état de surpopulation. |
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@rib News, 08/06/2010 Les acteurs politiques burundais doivent tout mettre en œuvre pour garantir la crédibilité du processus électoral Paris, Nairobi, Bujumbura, 8 juin 2010 – La Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) et son organisation membre au Burundi, la Ligue ITEKA, regrettent vivement les événements ayant entouré et suivi les élections communales du 24 mai 2010 et appellent l’ensemble des acteurs politiques burundais à tout mettre en œuvre pour garantir la crédibilité du processus électoral, déterminant pour le maintien de la paix et le renforcement de l’État de droit dans ce pays. Les élections communales, premières des cinq élections prévues cette année au Burundi, avaient valeur de test pour le bon déroulement de l’ensemble du processus électoral. Si aucun incident sécuritaire majeur n’est à déplorer le jour du scrutin, certaines irrégularités auraient entouré le processus : non respect des horaires d’ouverture et de fermeture de certains bureaux de vote, achat de votes, bulletins de vote non mis dans les enveloppes, absence du double comptage des voix, port de signes distinctifs de partis politiques, actes d’intimidation à l’encontre des électeurs, dispositions d’isoloirs sans garantie du secret de vote, etc. |
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@rib News, 29/05/2010 LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE DEVRAIT CONTINUER D’AIDER LE BURUNDI A HONORER SES OBLIGATIONS INTERNATIONALE RELATIVES AUX DROITS DE L’HOMME 28 mai 2010 – Bujumbura “Ceci est ma 13ème et dernière visite en tant qu’Expert Indépendant sur la situation des Droits de l’Homme au Burundi ” a dit Monsieur Okola dont le mandat personnel en tant que titulaire de mandat des procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme expire en juillet 2010. Au cours de cette visite, l’Expert Indépendant a rencontré la Ministre des Droits de la Personne Humaine et du Genre, et le Ministre de l’Intérieur et de l’Administration du Territoire. Il a également eu des entretiens avec quelques représentants de partis politiques, des organisations de la société civile, des Nations Unies, du Corps Diplomatique, et de la communauté des Batwa. La mission était centrée sur la situation des Droits de l’Homme au Burundi dans le contexte électoral. |
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@rib News, 28/05/2010 Burundi. Il faut protéger le suivi indépendant de la situation des droits humains (28 mai 2010) Les autorités doivent revenir sur leur décision d’expulser une employée d’une organisation internationale de défense des droits humains Un groupe de 18 organisations nationales, régionales et internationales travaillant sur le Burundi a déclaré craindre une limitation de l’espace dédié au suivi indépendant de la situation des droits humains, le gouvernement ayant décidé d’expulser la chercheuse de Human Rights Watch au Burundi. Ces organisations appellent les autorités burundaises à revenir sur leur décision et à garantir le respect du droit à la liberté d’expression. |
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@rib News, 27/05/2010 Déclaration de la LDGL sur les élections communales du 24 mai 210 1. La LDGL a suivi avec attention le processus électoral en cours au Burundi. Elle vient de procéder à l’observation des élections communales du 24 mai 2010 en mobilisant ses observateurs dans 8 provinces du Burundi. Les observateurs de la LDGL ont pu se rendre compte du déroulement du scrutin et a recueilli de nombreux éléments caractéristiques dudit scrutin. Elle fait le constat suivant : a. Les élections ont effectivement démarré autour de 8 heures 30 minutes et rarement au de-là de 7h 30. Les facteurs à l’origine du retard étaient d’ordre logistique. |
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@rib News, 23/05/2010 Bujumbura/Bruxelles, 23 mai 2010 Déclaration conjointe de la COSOME et l’EURAC sur le report des élections communales au Burundi La Coalition de la Société Civile pour le Monitoring Electoral (COSOME) et le Réseau Européen pour l’Afrique Centrale (EurAc) sont préoccupés par le report des élections communales par la CENI pour des raisons techniques au 24 mai 2010 alors qu’elles étaient initialement prévues ce vendredi 21 mai 2010. Outre que la nouvelle a été annoncée tardivement, jeudi le 20 mai 2010, soit à moins de 10 heures avant le début du scrutin, ce report a affecté le travail de toutes les parties prenantes au processus électoral et risque de bouleverser le reste du calendrier électoral. |
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PANA, 21/05/2010 Dar es-Salaam, Tanzanie - Un expert de l'ONU sur la situation des droits humains au Burundi, Akich Okola, se rendra dimanche au Burundi pour une séjour de sept jours pour évaluer la situation des droits de l'Homme, annonce un communiqué du Haut commissariat des Nations unies pour les droits de l'Homme (OHCHR) publié vendredi à Dar es-Salaam, en Tanzanie. "Je vais réunir des informations de première main sur la situation des droits de l'Homme dans le cadre du contexte électoral, notamment la liberté de rassemblement, d'association et d'expression", a déclaré M. Okola, cité dans le communiqué. |
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@rib News, 21/05/2010 – Source OHCHR L’expert indépendant des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme au Burundi, Monsieur Akich Okola, effectuera sa treizième mission au Burundi du 23 au 29 mai 2010, afin dévaluer la situation des droits de l’homme dans le contexte des prochaines élections. Celle-ci sera sa dernière visite dans le pays comme son mandat de six ans en tant qu’expert arrive à terme en juillet 2010. |
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@rib News, 20/05/2010 Déclaration des organisations de la société civile burundaise sur la décision d’annulation de l’agrément de la Représentante de Human Rights Watch au Burundi Le Gouvernement du Burundi vient de prendre la décision d’expulser la représentante de l’organisation Human Rights Watch ce mardi 18 mai 2010. La décision est motivée par la publication par Human Rights Watch d’un rapport sur les violences politiques impunies au Burundi dont le résumé a été rendu public le 14 mai 2010 par Madame Neela Goshal, Représentante de cette organisation au Burundi. |
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@rib News, 20/05/2010 Burundi : Le gouvernement annule le permis de travail d’une chercheuse de Human Rights Watch (New York, le 19 mai 2010) - Human Rights Watch a exprimé aujourd'hui sa déception suite à la décision du gouvernement burundais de retirer son autorisation de travail à Neela Ghoshal, chercheuse de Human Rights Watch au Burundi. Le gouvernement a pris sa décision à la suite de la publication la semaine dernière par Human Rights Watch d'un rapport sur la violence pré-électorale dans ce pays. « Nous nous portons garants de l'intégrité personnelle et du travail professionnel de Neela Ghoshal, qui depuis près de trois ans a mené des recherches sur les atteintes aux droits humains au Burundi », a déclaré Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch. « Son travail a été rigoureux, équilibré et objectif. Nous espérons aborder cette question aussitôt que possible avec le gouvernement burundais pour exhorter les autorités à réexaminer leur décision. » |
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RFI, 20 mai 2010 La représentante de Human Rights Watch expulsée du Burundi Indésirable au Burundi. La représentante de l'organisation de défense des droits de l'homme, Human Rights Watch, a été priée de quitter le pays d'ici le 5 juin. Une expulsion notifiée par un courrier signé du ministre des Relations extérieures et de la Coopération internationale. De nationalité américaine, la représentante de Human Rights Watch travaillait au Burundi depuis trois ans et ses différents rapports pointaient du doigt les violations des droits de l'homme. Son expulsion intervient au moment où va débuter un marathon électoral à partir de vendredi. |
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APA, 19-05-2010 Burundi (Bujumbura) - La représentante de l’Ong Human Right Watch, Neela Ghoshal, vient d’être déclarée personae non grata par le gouvernement du Burundi qui lui intime l’ordre de quitter le pays d’ici le 5 juin. Le ministre burundais des relations extérieures et de la coopération Augustin Nsanze, justifie cette mesure par le fait que le représentant de l’Ong Human Right Watch ne dispose plus depuis le 18 mai dernier, l’autorisation de travailler au Burundi. |
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