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Droits de l'Homme
Jeune Afrique, 08/10/2014 Burundi : Pierre Claver Mbonimpa... outragé, brisé, libéré Détenu pour atteinte à la sûreté de l'État, le grand défenseur burundais des droits humains Pierre Claver Mbonimpa a, le 29 septembre, quitté la prison centrale de Bujumbura pour raisons médicales. Après plus de quatre mois d'emprisonnement, Pierre Claver Mbonimpa, 65 ans, a été mis en liberté provisoire. Le célèbre défenseur des droits humains se remet, à l'hôpital, d'un séjour carcéral éprouvant : souffrant d'une maladie chronique, il a obtenu, après six demandes, sa libération provisoire pour raisons médicales. |
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RFI, 01-10-2014 Burundi : Pierre-Claver Mbonimpa revient sur sa vie en prison Au Burundi, RFI s'est rendu ce mardi 30 septembre au chevet du plus célèbre défenseur des droits humains, Pierre-Claver Mbonimpa, sur son lit d’hôpital, au lendemain de la décision du tribunal de lui accorder la liberté provisoire. C'est un homme amaigri mais qui reprend goût à la vie petit à petit. Pierre-Claver Mbonimpa est revenu sur ses conditions d'incarcération, quasi inhumaines. Le président de la principale organisation de défense des droits de l’homme du Burundi était incarcéré depuis le mois de mai pour « atteinte à la sûreté de l’Etat ». Il a dénoncé les entraînements paramilitaires que suivraient – dans l’est de la RDC - des jeunes du parti au pouvoir, ce qui est impardonnable pour le pouvoir. Pierre-Claver Mbonimpa était gravement malade et hospitalisé lorsqu’il a bénéficié, lundi 29 septembre, d’une liberté provisoire. |
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FIDH, 1 octobre 2014 Burundi : Libération provisoire de M. Pierre Claver Mbonimpa APPEL URGENT - L’OBSERVATOIRE BDI 001 / 0514 / OBS 044.3 Libération provisoire / Harcèlement judiciaire L’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme, programme conjoint de la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) et de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT), a reçu de nouvelles informations et vous prie d’intervenir de toute urgence sur la situation suivante au Burundi. |
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Human Rights Watch, 29 septembre 2014 Burundi : Un militant des droits humains est libéré
Pierre Claver Mbonimpa a été mis en liberté provisoire pour des raisons médicales (Nairobi, le 29 septembre 2014) – Le 29 septembre 2014, un tribunal du Burundi a mis en liberté provisoire pour raisons médicales le militant des droits humains Pierre Claver Mbonimpa, qui se trouvait en détention, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Mbonimpa, âgé de 66 ans, est le président de l’Association pour la protection des droits humains et des personnes détenues (APRODH), l’une des principales organisations de défense des droits humains au Burundi. |
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APA, 27-09-2014 Arusha (Tanzanie) - Trois organisations, dont la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH, basée à Paris), indiquent dans un communiqué reçu samedi à APA, qu’elles suspectent Kigali d’avoir joué un rôle dans le meurtre de personnes dont les corps ont été retrouvés depuis juillet dernier flottant sur le lac Rweru à la frontière entre le Rwanda et le Rwanda. Les deux autres signataires du communiqué sont la Ligue des droits de l’homme dans la région des Grands lacs (LDGL) qui a son siège à Kigali et la Ligue burundaise des droits de l’homme, Iteka. |
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RFI, 26-09-2014 Burundi : Gabriel Rufyiri a manifesté, seul, contre la corruption Il est impossible pour l’opposition ou la société civile de manifester depuis des années au Burundi, un pays où seules les manifestations organisées par le parti au pouvoir ou qui lui sont favorables ont été autorisées jusqu’ici. Après de nombreuses tentatives d’organiser des conférences et des manifestations publiques, Gabriel Rufyiri, le président de l’Observatoire de la lutte contre la corruption et les malversations économiques (Olucome), a décidé de manifester tout seul, à Bujumbura, pour dénoncer la corruption, un véritable fléau dans ce pays, et les privations des libertés publiques. |
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APA, 26-09-2014 Bujumbura (Burundi) - Le président de l’Observatoire de la lutte anti-corruption (OLUCOME) au Burundi, Gabriel Rufyiri, a été arrêté jeudi et ramené chez lui au moment où il entamait à Bujumbura une marche solitaire pour s’insurger contre les pouvoirs publics qui, selon lui, ne punissent pas les responsables coupables de corruption, a appris APA. M. Rufyiri comptait se rendre au ministère de l’Intérieur pour également demander pourquoi on n’autorise jamais aux activistes des droits de l’homme de faire prévaloir leur droit de manifester publiquement. |
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FIDH, 26 septembre 2014 Rwanda / Burundi : Une enquête indépendante doit être menée sur les cadavres du Lac Rweru Depuis juillet 2014, des cadavres de personnes probablement exécutées ont été retrouvées dans le lac Rweru à la frontière du Rwanda et du Burundi. Nos organisations s’inquiètent de ces découvertes macabres et appellent les autorités rwandaises et burundaises à inviter une Commission internationale d’enquête indépendante à faire la lumière sur l’identité, l’origine et les circonstances dans lesquelles ces personnes ont été tuées. Depuis la mi-juillet, les riverains du lac Rweru rapportent avoir vu flotter sur les eaux une quarantaine de corps dénudés, ligotés et/ou enfermés dans des sacs de jute laissant penser qu’ils ont été torturés avant d’être exécutés. |
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@rib News, 23/09/2014 - Source Xinhua L'avortement devrait être légalisé et médicalisé au Burundi pour mettre fin aux pratiques clandestines effectuées dans un environnement sanitaire inadéquat par des personnes non qualifiées avec des conséquences néfastes sur la santé des femmes et jeunes filles burundaises, plaide l'ONG burundaise "Centre Ombre de la Femme" (COFEM) créée par "l' Association Solidarité des Femmes Burundaises pour la lutte contre le sida et le paludisme (SFBLSP_Burundi). "Comme l'avortement n'est pas légale au Burundi au regard du contenu du code pénal en vigueur, le constat amer déjà fait par notre organisation est que de nombreux avortements sont pratiqués dans les réseaux de la clandestinité. |
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@rib News, 23/09/2014 - Source Xinhua La Police Nationale du Burundi et les intervenants de la société civile dans la lutte contre les Violences Basées sur le Genre (VBG) ont validé lundi un plan d'action de lutte contre ces violences. "Notre plan d'action est basé sur trois axes : axe du renforcement institutionnel, axe du renforcement des capacités opérationnelles des membres de la police et l'axe sur les mécanismes de contrôle et de suivi", a indiqué Christine Nsabiyumva, commandant de la police des mineures, de la protection des mœurs et de la lutte contre les VBG. |
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@rib News, 19/09/2014 « Les parlementaires condamnent fermement la détention du défenseur des droits de l'homme Pierre Claver Mbonimpa, arrêté le 15 mai 2014 et toujours en détention provisoire depuis son interpellation, et demandent sa libération immédiate. Ils pressent le gouvernement burundais de prendre des mesures pour contrôler la ligue des jeunes du parti au pouvoir (le CNDD-FDD) et de l'empêcher d'attaquer les personnes considérées comme des opposants. Le Parlement rappelle que le Burundi est lié par la clause sur les droits de l'homme de l'accord de Cotonou et invite la Commission européenne à envisager de lancer des consultations avec le Burundi, conformément à l'article 96 de l'accord de Cotonou, en vue de son retrait éventuel de l'accord. », lit-on dans un Communiqué de presse publié jeudi par le Parlement européen. Lire l’intégralité du Communiqué |
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@rib News, 18/09/2014 – Source AFP Un ressortissant vietnamien a été arrêté mardi dans le nord du Burundi et inculpé de "pratiques homosexuelles", ont annoncé jeudi des sources concordantes. S’il était déclaré coupable, il deviendrait la première personne condamnée pour un tel chef, prévu par le nouveau code pénal adopté en 2009 au Burundi, qui réprime "les relations sexuelles avec une personne de même sexe", passibles de trois mois à deux ans de prison. |
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RFI, 6 septembre 2014 Burundi : l'inquiétante situation de Pierre Claver Mbonimpa Au Burundi, la situation du défenseur des droits de l’homme, Pierre Claver Mbonimpa, préoccupe plusieurs organisations qui lancent la sonnette d’alarme. Emprisonné depuis le mois de mai 2014, la santé du président de l’Association pour la protection des personnes détenues et des droits humains s’est détériorée. Agé de 65 ans, souffrant de diabète et d’hypertension, il a été transféré dans un hôpital samedi 30 août. Ses avocats réclament sa libération immédiate. Ecoutez le Reportage sur RFI |
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RFI, 05-09-2014 La rue burundaise sensible au sort de Pierre Claver Mbonimpa Au Burundi, le plus célèbre défenseur des droits de l'homme du pays est en détention préventive depuis le mois de mai 2014 pour avoir dénoncé des entraînements militaires que suivraient des jeunes du parti au pouvoir dans l'est de la RDC. Très âgé et malade, Pierre Claver Mbonimpa est aujourd'hui dans un état critique. Une situation qui provoque une vive inquiétude au Burundi. |
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@rib News, 04/09/2014 Violette, une femme enceinte de huit mois, selon les dires de son mari Merthus, et sa fillette de près de 3 ans sont introuvables et seraient détenues par le Service national des Renseignements (SNR, le service secret de la police présidentielle). Arrêtées jeudi de la semaine dernière, elles ont d'abord été conduites dans les cachots de la Police à Nyanza-Lac, une commune Sud du Burundi, avant d’être déplacée vers un endroit jusqu’ici inconnu. Violette et Merthus sont d’anciens responsables du parti CNDD-FDD sur la colline Nyabigina, dans la commune de Nyanza-lac, province Makamba. Leur faute, selon le mari de la femme arrêtée, c'est d'avoir quitté les rangs du parti au pouvoir CNDD-FDD depuis 2008 pour être indépendants. |
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@rib News, 01/09/2014 ● Politique - Le comité provincial du parti Uprona élu en 2009 dans la province de Muramvya vient de prendre une décision de suspendre 7 membres de ce parti originaires de cette même province y compris Concilie Nibigira reconnue par le ministère de l’intérieur comme représentante légale de ce parti ainsi que le ministre Tharcisse Nkezabahizi en charge de la Communication. Selon le représentant de ce comité, ces personnes ont été accusées d’avoir mené une campagne de déstabilisation du parti Uprona dans cette province. |
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@rib News, 30/08/2014 – Source HRW (Nairobi, le 28 août 2014) – Human Rights Watch a diffusé aujourd’hui une courte vidéo sur l’éminent défenseur burundais des droits humains Pierre Claver Mbonimpa, incarcéré depuis mai 2014. |
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RFI, 30-08-2014 Burundi : Pierre Claver Mbonimpa hospitalisé La société civile et les organisations internationales tirent la sonnette d’alarme sur son état de santé, sans être entendues jusqu'à présent : la principale figure du combat pour les droits de l’homme au Burundi, Pierre Claver Mbonimpa, est gravement malade. Agé de 66 ans, il a été admis, vendredi 29 août 2014, dans un hôpital de Bujumbura. Le défenseur historique des droits de l'homme au Burundi est au plus mal. Pierre Claver Mbonimpa a été admis, vendredi en début d'après-midi, dans une clinique réputée de Bujumbura. Selon des témoignages recueillis auprès de ses codétenus de la prison centrale de Mpimba, sa santé s'est brusquement dégradée depuis une semaine. « Il n'avalait plus rien », expliquent-ils. |
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Human Rights Watch, 29 août 2014 La répression des opposants au Burundi ne doit pas être passée sous silence Author(s): Carina Tertsakian Published in: The Guardian Le gouvernement réprime les militants comme Pierre Claver Mbonimpa dans la perspective des élections, et les bailleurs de fonds doivent réagir. Plusieurs années se sont écoulées depuis la fin de la guerre civile du Burundi, qui a duré douze ans et a coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes. La période qui a suivi la fin du conflit en 2005 a été marquée par un immense sentiment de soulagement tandis que la paix revenait petit à petit dans le pays. |
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PANA, 24 août 2014 Un défenseur des droits de l’Homme totalise 100 jours de détention préventive au Burundi Bujumbura, Burundi - Le président de l’Association de défense des droits de la personne humaine et des détenus (Aprodh), Pierre Claver Mbonimpa, a totalisé, ce dimanche, 100 jours de détention préventive à Mpimba, la prison centrale de Bujumbura, sous le chef d’accusation d’"atteinte à la sécurité intérieure et extérieure de l’Etat", apprend-on de source proche du prévenu. Le chef d’accusation est lié à des dénonciations du doyen des défenseurs des droits de l’Homme d’"entraînements paramilitaires" de jeunes affiliés au parti au pouvoir au Burundi en République démocratique du Congo voisine, à des fins qui n’ont toutefois pas encore été élucidées. |
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@rib News, 24/08/2014 Pierre Claver Mbonimpa est un prisonnier d'opinion 22 août 2014Le vendredi 22 août 2014, Amnesty International a officiellement intégré Pierre Claver Mbonimpa à la campagne Personnes en danger, qui a pour but de protéger dans le monde entier les droits des personnes touchées par des atteintes aux droits humains. Défenseur des droits humains respecté et internationalement reconnu, Pierre Claver Mbonimpa a été incarcéré pour avoir exercé pacifiquement ses convictions légitimes, dictées par sa conscience. Il s'agit d'un prisonnier d'opinion, et les autorités burundaises doivent le mettre en liberté sans délai et sans condition. |
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RFI, 23-08-2014 Burundi : Pierre Claver Mbonimpa prisonnier de conscience selon Amnest Le militant des droits de l'homme au Burundi et président de l'Aprodh (Association pour la protection des droits humains et des personnes détenues) a été ajouté à la liste des «personnes en danger» par l'organisation internationale. Pierre Claver Mbonimpa a été arrêté le 15 mai dernier, accusé d'atteinte à la sûreté de l'Etat et usage de faux pour avoir demandé des enquêtes sur les allégations d'entraînements de jeunes Burundais en République démocratique du Congo. Amnesty International a lancé une campagne pour obtenir sa libération. |
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@rib News, 20/08/2014 L'Assemblée nationale burundaise a élu mercredi deux nouveaux commissaires à la Commissions Nationale Indépendante des Droits de l’Homme (CNIDH) en remplacement de deux autres en fin de mandat, apprend-on de source sur place à Bujumbura. Il s’agit M. Gamaliel Nkurunziza (photo à g), Tutsi originaire de Ngozi, et Mme Joséphine Niyonzima (photo à d), Hutu originaire de la province de Gitega. Gamaliel Nkurunziza a recueilli 76 voix "pour" sur 88 votants, tandis que Mme Joséphine Niyonzima a été élue avec 75 voix "pour" sur 87 votants. |
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@rib News, 20/08/2014 – Source Xinhua L'Assemblée nationale burundaise a adopté à l'unanimité mercredi un projet de loi portant prévention et répression de la traite des personnes et protection des victimes de la traite. Clothilde Niragira, ministre burundais de la Solidarité nationale, des Droits de la Personne Humaine et du Genre, a expliqué que la traite des personnes constitue "une infraction grave et une violation des droits humains", qui a justifié l'adoption par les Nations Unies de la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée et son Protocole additionnel visant à prévenir, réprimer et punir la traite des personnes, en particulier des femmes et des enfants. |
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Deutsche Welle, 14.08.2014 Les victimes de Gatumba attendent toujours En 2004, le camp de réfugiés de Gatumba, au Burundi, était attaqué. Bilan : plus de 160 réfugiés congolais tués et une centaine de blessés. Dix ans après, les auteurs présumés n'ont toujours pas été traduits en justice. Au lendemain du massacre, des membres des Forces nationales de libération, les FNL, composées principalement de Hutus, avaient endossé la responsabilité. Leur porte-parole de l'époque, Pasteur Habimana, avait justifié l'attaque en prétendant que le camp abritait des combattants, que les réfugiés étaient armés et qu'il s'agissait d'une réponse aux meurtres de civils burundais. |
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