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Politique
@rib News, 22/02/2014 – Source Présidence DECLARATION DU GOUVERNEMENT EN REACTION A LA PRETENDUE CATASTROPHE HUMANITAIRE EN PERSPECTIVE AU BURUNDI PRECONISE PAR « ADC-IKIBIRI » UNE ORGANISATION NON RECONNUE PAR LES LOIS BURUNDAISES En date du 06 février 2014, Monsieur Léonce NGENDAKUMANA, Président du Parti FRODEBU qui n’a recueilli que 5% de voix lors des dernières élections, et qui se réclame également Président d’une Coalition de partis qui se sont retirés de la course électorale de 2010 appelée « ADC-IKIBIRI », a adressé une lettre au Secrétaire Général des Nations Unies intitulée « Prévention d’une catastrophe humanitaire en perspective au Burundi ». A part que cette association n’est pas reconnue par les lois burundaises, la correspondance lui attribuée contient une multitude de fausses affirmations et des mensonges sciemment orchestrés et même des injures cachant mal une nervosité d’un politicien en perte de vitesse. |
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Jeune Afrique, 18/02/2014 Burundi : quand le président Nkurunziza s'immisce dans les affaires de l'Uprona L'Union pour le progrès national (Uprona), principal allié du CNDD-FDD, au pouvoir au Burundi, est au bord de l'explosion. À la manœuvre, le camp du président Pierre Nkurunziza déterminé à affaiblir une formation politique qui s'est prononcée contre un troisième mandat de son champion. Ils ont dirigé le Burundi avec Pierre Nkurunziza, mais ils ne sont pas prêts à lui laisser briguer un troisième mandat. Depuis la destitution du vice-président, Bernard Busokoza, début février, l'Union pour le progrès national (Uprona), principal allié du Conseil national de la démocratie-Forces pour la défense de la démocratisation (CNDD-FDD, parti au pouvoir), se range dans le camp de l'opposition. |
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RFI, 18-02-2014 Burundi : nouvel épisode dans la crise entre le pouvoir et l’Uprona Le président burundais Pierre Nkurunziza a procédé ce lundi soir au remplacement des ministres de l’Uprona qui avaient démissionné après le limogeage du premier vice-président de la République. Ils ont été remplacés par trois membres du même parti, mais qui les a déjà désavoués. La crise politique qui frappe le Burundi depuis plus de deux semaines se poursuit. Ce lundi 17 février, le bras de fer entre le pouvoir aux mains de l’ex-rébellion hutue du Cndd-Fdd (logo, à gauche) et le principal parti tutsi du Burundi l’Uprona (logo, à droite), a connu un nouvel épisode. |
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PANA, 18 février 2014 Bujumbura, Burundi - Le président Pierre Nkurunziza (photo) a procédé à un léger remaniement du gouvernement burundais, suite au récent limogeage du premier vice-président de la République chargé des questions politiques, sécuritaires et administratives, Bernard Busokoza. Selon le décret publié lundi dans la soirée, cinq nouveaux ministères ont changé de titulaires. |
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@rib News, 18/02/2014 Le président burundais Pierre Nkurunziza a procédé lundi soir à un léger remaniement ministériel au sein de son Gouvernement en désignant de nouveaux patrons à cinq départements. Sur les cinq ministres nommés trois issus de l’Uprona en remplacement des ministres qui avaient démissionné après le limogeage du Premier vice-président de la République Bernard Busokoza. Les cinq nouveaux ministres sont : |
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RFI, 17-02-2014 Burundi : manœuvre de diversion de l’Uprona pour élire ses dirigeants Au Burundi, le bras de fer se poursuit entre le régime de Pierre Nkurunziza et son principal partenaire le principal parti tutsi Uprona. Après avoir tenté d’imposer à la tête de ce parti un président qui lui est proche, le pouvoir burundais a essayé dimanche d’empêcher une réunion du parti qui devait élire ses nouveaux dirigeants. La manœuvre était joliment pensée. Une centaine de militants de l’Uprona se sont présentés devant le siège de leur parti, où des dizaines de policiers avaient été déployés dès l’aube pour empêcher la réunion d’avoir lieu. |
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@rib News, 16/02/2014 « Nous demandons au Président Pierre NKURUNZIZA d’agir en bon père de famille et de faire tout son possible pour engager un dialogue franc avec les différents partenaires politiques et sociaux afin de trouver des solutions concertées aux différents problèmes auxquels le peuple Burundais dans son ensemble est confronté. Il est plus qu’important que le processus électoral de 2015 se déroule dans un climat socio-politique apaisé. […] « Nous invitons tous les partis politiques Burundais à préconiser le dialogue et la tolérance politique plutôt que la confrontation entre les membres des différents partis. La démocratie suppose le combat des idées et non des armes. Du choc des idées jaillit toujours la lumière. », lit-on dans un Communiqué des membres de Belgique du Mouvement pour la Solidarité et Démocratie (MSD), parti d’opposition au Burundi. Lire le Communiqué
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@rib News, 14/02/2014 Le nouveau Premier Vice-président de la République du Burundi, Prosper Bazombanza (photo), a prêté serment ce vendredi 14 février au Palais des Congrès de Kigobe, a-t-on constaté sur place à Bujumbura. « Devant le peuple burundais, seul détenteur de la souveraineté nationale, moi, Prosper Bazombanza, Premier Vice-Président de la République du Burundi, je jure fidélité à la Charte de l’Unité Nationale, à la Constitution de la République du Burundi et à la Loi et m’engage à consacrer toutes mes forces à la défense des intérêts supérieurs de la Nation, à assurer l’unité et la cohésion du peuple Burundais, la paix et la justice sociales. |
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RFI, 14-02-2014 Burundi : le nouveau premier vice-président contesté Le Parlement burundais a élu le 13 février un nouveau premier vice-président, après le limogeage du précédent, issu de l'Uprona le principal parti tutsi, au début du mois. Prosper Bazombanza est bien issu des rangs de l'Uprona, mais il ne fait pas l'unanimité au sein du parti qui avait proposé une liste d'autres candidats. Cette élection risque donc d’aggraver la crise entre le parti au pouvoir le Cndd-Fdd et son principal allié, l’Uprona. |
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@rib News, 13/02/2014 Prosper Bazombanza a été approuvé jeudi par les deux Chambres du Parlement burundais au poste de Premier Vice-président de la République, a-t-on constaté sur place à Bujumbura. Conformément à la Constitution en son article 128, un Vice-président destitué doit être remplacé par un autre de la même formation politique et de la même ethnie. M. Prosper Bazombanza est donc un Tutsi issu de l’UPRONA. Ingénieur civil, Prosper Bazombanza travaillait actuellement au sein de la Commission Nationale des Terres et autres Biens (CNTB). Il a également été, de 2008 à 2011, Gouverneur de la province de Mwaro (centre du pays) dont il est originaire. |
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@rib News, 12/02/2014 COMMUNIQUE DE PRESSE DE L'ADC-IKIBIRI A L'ETRANGER. 1. Ce lundi 10 février 2014, le Burundi s'est réveillé devant un spectacle macabre d'une centaine de vies humaines emportées par des pluies diluviennes d'une violence sans nom. L'ADC-IKIBIRI présente ses condoléances les plus attristées aux familles durement éprouvées. 2. L'ADC-IKIBIRI à l'étranger en appelle à la solidarité nationale et internationale en ce moment précis où le Burundi n'a pas de gouvernement. |
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@rib News, 10/01/2014 « Les partis politiques regroupés au sein de l’ADC-IKIBIRI (Alliance des Démocrates pour le Changement) ont l’insigne honneur de nous adresser à Votre très haute autorité, en Votre qualité de Secrétaire Général des Nations Unies et garant du processus de paix au Burundi pour lancer encore une fois un cri d’alarme sur une catastrophe humanitaire en perspective dans notre pays. En effet, Excellence Monsieur le Secrétaire Général, la destitution du Premier Vice-Président de la République, Honorable Bernard BUSOKOZA est une option suicidaire prise par le Président de la République qui risque de polariser les groupes politico-ethniques avec comme corollaire la paralysie générale des institutions conduisant ainsi à l’anarchie et au chaos au Burundi. », peut-on lire dans une lettre adressée à Ban Ki-Moon par l’opposition burundaise réunie au sein de la coalition ADC-Ikibiri. Lire l’intégralité de la Lettre
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@rib News, 09/02/2014 « Le Conseil des Sections du Parti UPRONA à l’étranger demande au Président de la République de promouvoir personnellement la concertation entre les différents partenaires politiques du Burundi, et plus particulièrement avec les autorités légitimes du parti UPRONA. […] « Le Conseil des Sections du Parti UPRONA à l’étranger demande enfin au Président de la République de reconnaître Charles NDITIJE en sa qualité légitime de Président du Parti UPRONA et de réhabiliter dans leurs fonctions le Vice-Président de la République Bernard BUSOKOZA avec tous les Ministres qui ont dû démissionner de leurs responsabilités suite au limogeage du Vice-Président. », peut-on lire dans une lettre adressée au Chef de l’Etat Pierre Nkurunziza, par la Coordination des Sections du Parti UPRONA à l’étranger. Lire l’intégralité de la Lettre
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@rib News, 08/02/2014 - Source AFP Le pouvoir burundais a été contraint de reculer dans le conflit l'opposant au principal parti tutsi, à l'origine d'une crise menaçant de briser le fragile équilibre politico-ethnique du pays, mais rien n'est encore réglé, selon les observateurs. Vendredi, le ministre de l'Intérieur, qui avait tenté fin janvier d'imposer un nouveau dirigeant à la tête de l'Union pour le progrès national (UPRONA), allié du parti au pouvoir au sein du Gouvernement, a dû faire marche arrière après que le candidat pressenti, Bonaventure Niyoyankana, proche du pouvoir, eut finalement décliné l'offre. |
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RFI, 08 février 2014 Burundi : la crise politique se mue en crise institutionnelle Une semaine après la décision du ministre burundais de l’Intérieur de limoger le président de l’Uprona, le pays ne parvient pas à se doter d’un nouveau premier vice-président - qui doit provenir de l’Uprona -, malgré plusieurs tentatives, dont la dernière s’est soldée par un échec cuisant pour le pouvoir du président Pierre Nkurunziza. Il y a une semaine, le ministre de l’Intérieur a limogé le président du principal parti tutsi du Burundi, l’Union pour le progrès national (Uprona). Puis, dans la foulée, le président a limogé son vice-président, issu de ce même parti, avant que tous les ministres issus de ce parti ne quittent le gouvernement. |
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@rib News, 07/02/2014 Imposé la semaine dernière à la tête du parti Uprona par le Ministre de l'Intérieur, Bonaventure Niyoyankana (photo) vient de rendre son tablier ce vendredi matin en accusant le Ministre de l'Intérieur Edouard Nduwimana, de l'avoir « induit en erreur ». « Me référant à votre lettre N°530/127/cab/2014 adressée à l'Honorable Nditije Charles et dont la copie m'a été réservée, j'ai l'honneur de vous informer, après avoir consulte les spécialistes du droit administratif, que je constate que les prérogatives qui m'avaient été reconnues dans votre lettre précitée sont tombées en annulation avec la lettre de réformation de votre décision émanant du Premier Vice-président de la République selon le principe de la théorie de l'acte contraire.», peut-on lire dans la lettre adressée par Niyoyankana au Ministre Nduwimana. |
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@rib News, 05/02/2014 – Source AFP Les trois ministres du Gouvernement burundais issus du principal parti tutsi du pays, l'UPRONA, ont démissionné mardi et mercredi, enfonçant un peu plus le pays dans la crise politique, a annoncé cette formation. Le ministre chargé du Développement communal, Jean-Claude Ndihokubwayo, avait démissionné mardi après-midi, et a été suivi dans la soirée puis mercredi par ceux de la Communication, Léocadie Nihaza, et du Commerce, Victoire Ndikumana, sur fond de différend entre l'UPRONA et le camp du président burundais Pierre Nkurunziza. |
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@rib News, 05/01/2014 – Source Reuters Le ministre burundais du Commerce et du Tourisme, Mme Victoire Ndikumana (photo) a démissionné mercredi pour protester contre le limogeage de l'un des vice-présidents, ce qui pourrait exacerber les tensions interethniques. Le départ du ministre, qui s'ajoute à celui de deux autres membres de l'exécutif cette semaine, ne met pas en cause la survie du gouvernement mais pose la question de la cohabitation entre Hutus et Tutsis. |
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RFI, 05 février 2014 Burundi : la crise entre le parti au pouvoir et l’Uprona s’intensifie Au Burundi, nouvel épisode d'une crise politique entre le pouvoir hutu de Bujumbura et son principal allié politique, le parti tutsi Union pour le progrès national (Uprona) : le ministre du Développement communal, Jean-Claude Ndihokubwayo, membre de l'Uprona a démissionné. Le président de la formation politique avait appelé les membres de l'Uprona présents au gouvernement à le quitter le plus rapidement possible. [Photo : Les militants de l'Uprona face aux policiers dans la rue, devant le siège de leur parti à Bujumbura.] |
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PANA, 04 février 2014 Défection du ministre du Développement communal au Burundi Bujumbura, Burundi - Le ministre burundais du Développement communal, Jean-Claude Ndihokubwayo, a soumis, mardi, sa démission volontaire au chef de l’Etat burundais, Pierre Nkurunziza, sur fond de crise institutionnelle qui avait été ouverte 72 heures avant par le limogeage du premier vice-président de la République, en charge des questions politiques, sécuritaires et administratives, Bernard Busokoza, pour "conduite partisane" des affaires publiques. Les deux personnalités étaient au gouvernement sous les couleurs de l’Unité pour le progrès national (UPRONA, ex-parti unique) qui a, depuis samedi dernier, une nouvelle direction controversée, mais reconnue par le ministère de l’Intérieur ayant dans ses attributions, la gestion des associations à caractère politique. |
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@rib News, 04/02/2014 – Source AFP Un membre supplémentaire du principal parti tutsi burundais, l'UPRONA, a quitté le Gouvernement mardi, nouvel épisode d'une crise politique entre le pouvoir hutu de Bujumbura et son principal allié politique, a-t-on appris de sources concordantes. Le ministre du Développement communal, Jean-Claude Ndihokubwayo, a démissionné en réponse à l'appel lancé en ce sens aux membres de l'UPRONA présents au Gouvernement par le président de la formation politique limogé vendredi par le gouvernement. Deux ministres de l'UPRONA encore au gouvernement sont appelés à « démissionner le plus rapidement possible », a précisé le porte-parole de la formation politique, Tatien Sibomana. |
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@rib News, 04/02/2014 – Source Xinhua Le ministre burundais du Développement communal Jean-Claude Ndihokubwayo, issu du parti Union pour le Progrès National (UPRONA), a déposé mardi sa lettre de démission à la présidence de la République, a rapporté la Radio Publique Africaine. M. Ndihokubwayo a ainsi répondu favorablement à l'appel du président de l'UPRONA, Charles Nditije, aux trois ministres issus de ce parti les invitant à quitter le gouvernement. La démission de ce ministre survient après la destitution samedi dernier du premier vice-président de la République, M. Bernard Busokoza, issu de cette formation politique.
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RFI, 04 février 2014 Burundi : la crise gouvernementale se durcit après l'éviction du président de l'Uprona Au Burundi, la crise politique se poursuit entre le parti au pouvoir, et le principal parti tutsi, Uprona. Les deux formations sont au bord de la rupture totale. Deux leaders de l'Uprona, dont l'ancien premier vice-président limogé, il y a quelques jours par le chef de l’Etat, accusent les autorités de vouloir les arrêter. Le pouvoir burundais dément. Le bras de fer entre le pouvoir burundais et le parti Uprona est en train de virer à la guerre ouverte. Charles Nditije (photo) que les militants de ce parti considèrent toujours comme leur leader, s’est mis à l’abri depuis trois jours. « Le pouvoir avait l’intention de l’arrêter », assurent ses proches. Il s’est exprimé en personne sur une radio locale et appelé les ministres issus de son parti à la démission. |
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PANA, 02 février 2014 Bujumbura, Burundi - Le premier vice-président de la République du Burundi, en charge des questions sécuritaires, politiques et administratives, Bernard Busokoza (photo), a été renvoyé, samedi soir, par un décret du chef de l’Etat, Pierre Nkurunziza, pour avoir confondu les fonctions gouvernementales et celles de cadre de l’Unité pour le progrès national (ex-parti unique dont il est originaire) au cours d’un éphémère mandat de moins de trois mois. Le limogeage intervient dans un contexte de tensions internes au parti UPRONA pour le leadership et de contestation d’un projet gouvernemental de révision de la Constitution actuellement en vigueur dans le pays par une aile à laquelle est resté fidèle jusqu'au bout, le vice-président sortant. |
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RFI, 02 février 2014 Burundi : la nomination du chef de l'UPRONA provoque une crise gouvernementale Au Burundi, le bras-de-fer engagé entre le pouvoir du président Pierre Nkurunziza et le principal parti tutsi du Burundi, l’Uprona, s’est poursuivi samedi, avec la destitution du premier vice-président Bernard Busokoza, issu de ce parti, après sa décision d’annuler unilatéralement la décision du ministre de l’Intérieur de limoger le président du parti Uprona vendredi. Premier acte, hier matin, samedi 1er février, vers 11h 00 locale. La police burundaise charge brusquement les quelque 200 militants de l’Uprona qui manifestaient devant le siège de leur parti depuis deux jours, sans être inquiétés. [Photo : Le président limogé de l'Uprona, Charles Nditije, entouré de quelques militants se heurte à un barrage de la police, le 1er février 2014.] |
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Mirerekano/Ngendandumwe
Les Monuments
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Mausolée de Rwagasore
Présidence Assemblée nationale
Sénat
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