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Politique
@rib News, 01/02/2014 – Source AFP Le président burundais Pierre Nkurunziza a destitué samedi soir son premier vice-président, Bernard Busokoza, en conflit avec le ministre de l'Intérieur sur la question sensible de la présidence du principal parti tutsi, l'Uprona. M. Busokoza avait désavoué vendredi le ministre de l'Intérieur, qui avait limogé la veille le président du principal parti tutsi, l'Uprona, au profit d'un proche du parti au pouvoir [Lire la Lettre du 1er Vice-président Busokoza au ministre Edouard Nduwimnana]. Mais le ministre de l'Intérieur, Edouard Nduwimana, a rejeté cette décision, et le président Nkurunziza a donné raison à son ministre de l'Intérieur, en destituant M. Busokoza, en désaccord sur plusieurs sujets politiques et constitutionnels avec lui. |
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@rib News, 01/02/2014 – Source Xinhua Le chef d'Etat burundais, Pierre Nkurunziza (photo, à droite), a signé samedi soir à Bujumbura un décret portant la destitution de son premier vice-président, M. Bernard Busokoza (photo, à gauche), apprend-on du porte-parole du chef de l'Etat, M. Léonidas Hatungimana.[Lire le Décret portant Destitution du 1er Vice-président] Dans les motifs de cette destitution, le décret présidentiel indique que depuis sa nomination au poste du premier président de la République, M. Busokoza n'a jamais pu distinguer ses fonctions et celle d'un président d'un parti politique. |
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RFI, 01 février 2014 Burundi : le nouveau leader de l'UPRONA imposé par le gouvernement Au Burundi, le ministre de l’Intérieur a pris l’habitude de s’arroger le droit de désigner les dirigeants de partis d’opposition, en invoquant la loi à chaque fois qu’ils traversent une crise. Cette fois, c’est le tour de l’Union pour le progrès national, l’Uprona, l’ancien parti unique et principal parti issu de la minorité tutsi du pays, pour lequel il s’est basé sur décision de justice, malgré la fin de la crise qui le minait. Cette initiative du ministère de l'Intérieur ne passe pas auprès des militants de ce parti, dont quelque 200 militants ont passé des dizaines d’heures dans un face-à-face tendu avec des policiers dépêchés à la permanence du parti hier vendredi, pour permettre l’installation du président désigné par le pouvoir. |
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@rib News, 30/01/2014 – Source AFP Le Gouvernement burundais a débarqué de son poste le président du principal parti tutsi du Burundi (UPRONA) au profit d'un ex-président du parti jugé proche du pouvoir, une décision perçue comme une tentative de noyautage à l'approche d'échéances électorales majeures. Le ministre burundais de l'Intérieur, Edouard Nduwimana, s'est déjà dans le passé arrogé le droit de trancher des différends au sein de partis politiques, estimant, en dépit des contestations de l'opposition, que la loi lui en donne le pouvoir. |
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@rib News, 30/01/2014 « Franchir le Rubicon », voici l'expression pour qualifier ce que le Ministre de l'Intérieur Edouard Nduwimana, vient de faire au parti Uprona, qui est aussi membre de la coalition au sein Gouvernement en place à Bujumbura. Désormais, l’actuel président du parti Uprona Charles Nditije, bien qu'élu au congrès de 2012 à Gitega, n'est plus reconnu par le Gouvernement et, de surcroit, il est remplacé par son prédécesseur, le Député Bonaventure Niyoyankana (photo), dont le mandat avait pris fin lors du congrès de 2012 mais a les faveurs du parti au pouvoir CNDD-FDD et du président de la République Pierre Nkurunziza. |
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@rib News, 29/01/2014 Le parti Uprona a annoncé mardi la réunification de tous les membres de l'« Uprona institutionnel » et ceux du groupe dénommé « Courant de réhabilitation du parti Uprona ». Pr Charles Nditije, président de l'Uprona, et Pr Evariste Ngayimpenda président du Courant de Réhabilitation de l'Uprona, se sont assis ensemble pour animer une conférence de presse au siège du parti, une première depuis 2010. Qualifiant Gaston Sindimwo, Secrétaire général du parti Uprona et Pr Bonaventure Niyoyankana, ancien président de l'Uprona, de « traitres au service du parti au pouvoir », Charles Nditije a souligné qu'aucune personne ne sera plus tolérée si elle se lance dans les actes de déstabilisation du parti de l'indépendance. |
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@rib News, 27/01/2014 Rwasa Agathon, leader historique du FNL, appelle à l'unité de son parti Par Anatole Bacanamwo Les élections de 2015 approchent à grands pas, car 14 mois seulement nous séparent de ces élections tant attendues par tout un peuple qui, depuis quelques années observe avec inquiétude les tentatives de torpillage du processus démocratique burundais, par des pratiques contraires à l'idéal démocratique: Mauvaise gouvernance, paupérisation des masses paysannes et de la classe moyenne, un taux de chômage jamais égalé, régression de la qualité de l'enseignement, imposition de lois arbitraires, discrimination à l'embauche, emprisonnements abusifs ou pour motifs purement politiques.... |
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@rib News, 21/01/2014 MEMORANDUM DU CNDD SUR LA SITUATION SOCIOPOLITIQUE ET DES DROITS DE L’HOMME AU BURUNDI SOUS LE REGIME DU CNDD-FDD. Par le Département de la communication du CNDD. Janvier 2014 Introduction Le Burundi est un véritable paradoxe. Habité par un peuple laborieux et doté de ressources qui, si elles étaient judicieusement exploitées, feraient de ce pays, une terre où il fait bon vivre ; le Burundi a eu le destin tragique d’avoir des classes politiques médiocres et égoïstes. De l’indépendance à nos jours, de la monarchie à la République, des régimes kaki du parti unique au régime « born again » de Nkurunziza, c’est toujours l’incompétence, l’oligarchie, la violence et les massacres, la corruption, l’exclusion, le déni des droits et la misère. |
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PANA, 10 janvier 2014 Bujumbura, Burundi - Une quinzaine de partis politiques "inactifs" depuis plusieurs années sont sous la menace d'une dissolution judiciaire, à l'approche des prochaines élections générales de 2015 au Burundi, apprend-on de source proche du ministère burundais de l’Intérieur. Dans une correspondance, le ministre burundais de l’Intérieur, Edouard Nduwimana (photo), demande à la Cour suprême d’appliquer l’article 69 de la loi régissant les partis politiques au Burundi pour en dissoudre 15 d’entre eux qui n’ont plus d’existence réelle et visible sur le terrain, ou sont minés pas des divisions internes pour le leadership. |
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@rib News, 01/01/2014 – Source Xinhua Le Chef de l'Etat burundais, Pierre Nkurunziza, a annoncé ce mardi au cours de son message à la nation que l'année 2014 sera celle des corrections qui ont été constatées en 2013, sans toutefois dire lesquelles. "Au cours de l'année 2014 que nous commençons, nos efforts seront concentrés sur les erreurs que nous avons constatées au fur et à mesure en 2013. Les membres du gouvernement vont présenter chacun le programme de son ministère, mais d'ores et déjà, nous ferons tout pour que la paix et la sécurité règnent dans le pays et nous osons espérer que même le projet de loi relatif à la Commission Vérité et Réconciliation sera analysé et adopté", a annoncé le Président Pierre Nkurunziza. |
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Le Pays, 30 décembre 2013 Attention M. le Président, le Burundi revient de loin ! L’opposition burundaise est sur le pied de guerre. A l’origine de cette agitation, la décision du président en exercice, le Pasteur Pierre N’kurunziza, de modifier la Constitution du pays, afin de pouvoir briguer un troisième mandat. Rappelons que le mandat actuel du pasteur Pierre Nkurunziza prend fin, selon la Constitution burundaise, en 2015. Il faut dire d’ailleurs que depuis un certain temps, l’opposition politique burundaise "sentait venir les choses", mais se refusait de prendre les devants en mettant en doute la bonne foi du président-pasteur. Le climat politique dans ce pays est si délicat que la moindre impertinence verbale est susceptible de mettre le feu aux poudres et ramener le pays aux heures sombres de son passé récent. |
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RFI, 30 décembre 2013 Burundi : l’Assemblée nationale se penche sur un délicat projet de révision de la Constitution Après trois mois de débats houleux et de fortes tensions, l’Assemblée nationale est appelée à examiner puis à adopter ce lundi un projet de révision de la Constitution très contesté, initié par le gouvernement de Pierre Nkurunziza en catimini. Ses objectifs sont notamment de lui permettre de se représenter pour un troisième mandat successif, d’enlever au Sénat son pouvoir de veiller aux équilibres ethniques, ou encore de passer de la majorité des deux tiers à la majorité simple pour l’adoption des lois à l’Assemblée nationale, au risque d’exclure du jeu politique la minorité tutsie. |
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PANA, 30 décembre 2013 Bujumbura, Burundi - Une nouvelle loi renforcée sur la gestion et le règlement des conflits liés à la possession illégale des terres et autres biens d’autrui continuait, lundi, à soulever des vagues au sein de la classe politique nationale et de la Société civile locale à Bujumbura. Les litiges fonciers prennent leur source dans des guerres civiles cycliques au Burundi et se sont exacerbés avec le retour massif de centaines de milliers de réfugiés burundais pressés de retrouver leurs biens qui ont été, entre temps, occupés par des sédentaires. |
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RFI, 29 décembre 2013 Burundi: un nouveau projet de loi pour la résolution des conflits fonciers L’Assemblée nationale du Burundi a adopté ce samedi 28 décembre à une très large majorité un projet de loi portant révision de celle qui a créé en 2009 la très décriée Commission nationale terres et autres biens (CNTB), chargée de régler notamment les conflits fonciers nés des différentes guerres civiles qui ont frappé ce pays. Le projet a été adopté en deux heures, pratiquement sans débat. Dix-sept députés pour le principal parti tutsi l’Uprona ; 81 pour l’ex-rébellion hutue du CNDD-FDD au pouvoir au Burundi : la messe était déjà dite bien avant la plénière de ce samedi. |
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@rib News, 28/12/2013 – Source AFP Les députés burundais ont adopté samedi un projet de loi controversé qui donne plus de pouvoirs à la commission chargée de régler les conflits fonciers (CNTB), et risque, selon ses détracteurs, de saper la réconciliation nationale. « L'Assemblée nationale vient d'adopter par 84 sur 84 députés présents le projet de loi portant révision de la loi créant la Commission nationale terres et autres biens (CNTB) », a déclaré son président, Pie Ntavyohanyuma. |
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@rib News, 22/12/2013 - Source Xinhua Les assises sur le projet de révision de certaines dispositions de la constitution du Burundi ont été sanctionnées par un bilan mitigé, a reconnu le président du l'ONG nationale "Centre National d'Alerte pour la Prévention des conflits" (CNAP), Charles Ndayiziga, qui jouait le rôle de facilitateur de ces travaux tenus les 19 et 20 décembre dans les enceintes de l'hémicycle du palais des congrès de Kigobe. S'exprimant à l'issue de ces assises vendredi soir, M. Ndayiziga a précisé que seulement trois points ont fait l'objet de consensus au terme de cet atelier, qui avait regroupé principalement les acteurs politiques de la mouvance gouvernementale et de l'opposition, les représentants des organisations de la société civile (OSC) et ceux des confessions religieuses. |
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RFI, 20 décembre 2013 Burundi : apaisement autour du débat sur les réformes constitutionnelles L’heure semble à l’apaisement au Burundi, alors que la tension ne cessait de monter depuis trois mois et l’adoption en catimini par le gouvernement d’un projet très contesté de révision de la Constitution issue de l’accord de paix signé à Arusha en 2000 et qui a permis le retour de la stabilité dans ce pays. Soumis à une forte pression interne et externe, le pouvoir a dû lâcher du lest. [Photo : les participants à l’atelier] |
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PANA, 19 décembre 2013 Bujumbura, Burundi - Les différents acteurs politiques burundais ont entamé jeudi un premier round de discussions de deux jours sur un projet de révision de la Constitution de 2005 encore en vigueur dans le pays, à l’initiative de l’Assemblée nationale, apprend-on de source officielle dans la capitale burundaise. Le président de l'Assemblée nationale, Pie Ntavyohanyuma (photo), a rassuré les participants sur l'objectif de la rencontre qui vise à doter le pays d'une Constitution "inclusive" de toutes les idées et tendances sociopolitiques nationales. |
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RFI, 19 décembre 2013 Deux jours de débats décisifs pour l'avenir du Burundi Au Burundi, l’Assemblée nationale organise depuis ce jeudi 19 décembre une large concertation sur le projet de révision de la Constitution, très contesté, porté par le pouvoir et qui pourrait s’il était adopté, permettre à l’actuel président de briguer un troisième mandat de suite. Ou encore de passer d’une majorité des deux tiers à une majorité simple au Parlement, au risque d’exclure la minorité tutsie qui est représentée à 40% au Parlement. Cette réunion verra la participation de tous ceux qui comptent au Burundi, et même l’opposition radicale, regroupée au sein de l’ADC-Ikibiri, qui projetait de descendre dans la rue. |
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@rib News, 18/12/2013 – Source Xinhua Le président du Front pour la Démocratie au Burundi (Frodebu) et président de l'opposition rassemblée au sein de l'ADC-Ikibiri (Alliance des Démocrates pour le Changement), Léonce Ngendakumana (photo), a annoncé mercredi que cette coalition répondra à l'invitation du Parlement pour débattre sur certains amendements de la Constitution du 19 au 20 décembre 2013. "L'ADC-Ikibiri étant une coalition cherchant un large consensus national et une parfaite harmonie sociale et dé mocratique pour le pays, nous annonçons solennellement que l'ADC- Ikibiri répondra présente à l'invitation du bureau du parlement", a annoncé M. Ngendakumana mercredi au cours d'une conférence de presse. |
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APA, 16-12-2013 Bujumbura (Burundi) - Quelque 519 organisations de la société civile burundaise engagées dans une campagne intitulée "Ne touchez pas au consensus d’Arusha" ont annoncé lundi, au cours d’une conférence de presse, qu’elles répondront à l’appel lancé par l’Assemblée nationale pour participer à un atelier sur le projet de loi portant révision de certaines dispositions de la constitution. Un accord de paix pour le Burundi a été signé le 28 août 2000 à Arusha, en Tanzanie, sous l’égide de Nelson Mandela, rappelle-t-on. |
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@rib News, 09/12/2013 – Source Xinhua Le gouvernement burundais lance un vibrant appel à toute la population pour s'engager dans la lutte contre la corruption sans tergiverser dans la mesure où l' avenir du pays en dépend, a indiqué lundi à Bujumbura le ministre burundais à la Présidence chargé de la Bonne Gouvernance et de la Privatisation, Issa Ngendakumana. Lisant une déclaration du gouvernement à l'occasion de la Journée Internationale de Lutte contre la Corruption, célébrée le 9 décembre de chaque année, le ministre burundais a précisé que "cet appel est d'autant plus nécessaire que la corruption est devenue malheureusement aujourd'hui une réalité qui crève les yeux dans la plupart des secteurs de la vie nationale". |
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RFI, 08 décembre 2013 Burundi : la manifestation contre la modification de la Constitution reportée La tension est de plus en plus palpable depuis que le pouvoir a initié une révision de la Constitution, largement inspirée de l’accord pour la paix et la réconciliation pour le Burundi, signé en 2000 à Arusha sous la médiation de Nelson Mandela. La société civile et l’opposition accusent le pouvoir de vouloir remettre en cause les équilibres ethniques inscrits dans cet accord et qui ont permis de ramener la paix après plus d’une décennie de guerre civile. Et tous craignaient que les choses ne dégénèrent depuis que l’opposition avait décidé d’occuper la rue à partir de lundi, dans le but de contraindre le pouvoir à faire marche arrière. |
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@rib News, 07/12/2013 Dans de correspondances adressées au Président de la République Française et au Ministre Président du Royaume des Pays Bas, les représentants à l’étranger de l’opposition burundaise leur demande de faire pression sur le Président burundais Pierre Nkurunziza, en visite actuellement en Europe, qu’ils accusent d’être « un véritable dictateur qui tient à se maintenir au pouvoir en modifiant la constitution sans aucune concertation avec les autres forces vives de la nation burundaise, en l’occurrence l’opposition extra-parlementaire ». « A seize mois des élections de 2015, un climat politique délétère s’installe au Burundi et les manœuvres du pouvoir de réduire au silence toutes les forces vives de la nation burundaise n’augurent rien de bon car le risque que les élections de 2015 ne soient pas libres, transparentes et démocratiques ne cesse de s’accentuer », affirme la Coordination de l’ADC-Ikibiri à l’étranger. Lire la Lettre à Monsieur Le Président de la République Française Lire la Lettre à Monsieur Le Ministre Président du Royaume des pays Bas
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@rib News, 06/12/2013 République du Burundi Conseil National pour la Défense de la Démocratie Bujumbura le 06 Novembre 2013 A Son Excellence Jacob ZUMA Président de la République Sud-Africaine. Objet : Message de Condoléances Excellence, Les militants du CNDD ont appris hier soir avec beaucoup de tristesse la mort du premier président noir de la République de l’Afrique du Sud libre, mais aussi reconnu incontestablement dans le monde entier comme le symbole du combat et de la résistance pour la liberté, de la vérité et de la réconciliation, celui qui a mis fin à l’apartheid, l’un des systèmes les plus inhumains de l’histoire. |
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Les Grands Hommes
Mirerekano/Ngendandumwe
Les Monuments
Place de l'Indépendance Monument de l'Unité
Mausolée de Rwagasore
Présidence Assemblée nationale
Sénat
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