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Politique
@rib News, 06/12/2008 DECLARATION DU SOMMET DES CHEFS D’ETATS ET DE GOUVERNEMENTS DE L’INITIATIVE REGIONALE SUR LE PROCESSUS DE PAIX AU BURUNDI LE 4 DECEMBRE 2008 Les Chefs d’Etats et de Gouvernements de la Région des Grands Lacs se sont rencontrés à Bujumbura (Burundi) le jeudi 4 décembre 2008, sur invitation de Son Excellence Yoweri Museveni, Président de l’Initiative Régionale pour le Processus de Paix au Burundi. L’objectif de ce sommet était de débloquer l’impasse qui a frappé le Processus de Paix au Burundi, dans le but de trouver une solution durable. […] Il a été convenu ce qui suit : Le PALIPEHUTU – FNL représenté par son Président M. Agathon Rwasa reconnaît qu’avec le nom actuel du parti, celui-ci ne peut être enregistré comme parti politique, étant donné que la Constitution du Burundi ne le permet pas. De ce qui précède (1), le PALIPEHUTU-FNL entreprend d’expliquer les obligations constitutionnelles en rapport avec l’accréditation du parti politique à ses membres, et de mener des concertations en vue de trouver une nouvelle appellation qui n’est pas offensive et qui est susceptible d’être reconnu conformément à la Constitution. L’explication et les concertations devraient être à terme avant la date butoir du 31 décembre 2008.
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RFI, le 05/12/2008 Peut-être la fin de 13 ans de guerre civile qui a fait plus de 300 000 morts au Burundi. Ce jeudi, la dernière rébellion encore active, les Forces nationales de libération et le gouvernement burundais se sont engagés à appliquer l'accord de paix signé il y a 2 ans. Le chef de l'Etat Pierre Nkurunziza et le chef des FNL, Agathon Rwasa ont annoncé que le désarmement et la démobilisation des rebelles commencerait rapidement. L'accord prévoit que des membres de la désormais ex-rébellion reçoivent des postes au gouvernement et le FNL doit à présent se transformer en parti politique. |
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PANA, 04/12/2008 Bujumbura, Burundi - Un sommet des chefs d'Etat et de gouvernements de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi s'est achevé, jeudi soir, sur une entente entre le pouvoir central de Bujumbura et le Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU-FNL, rébellion). Ce sommet contribuera à lever les derniers obstacles qui empêchaient encore la mise en application effective de l'accord de cessez-le-feu en souffrance depuis le 7 septembre 2006, a-t-on appris de source officielle dans la capitale burundaise. |
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@rib News, 04/12/2008 – Source AFP La dernière rébellion active au Burundi a accepté jeudi de lever les ultimes obstacles qui empêchaient la mise en œuvre d'un processus de paix depuis plus de deux ans, au terme d'un sommet régional à Bujumbura consacré à la crise dans le pays. Le gouvernement et les rebelles des Forces nationales de libération (FNL) avaient signé en septembre 2006 un accord global de cessez-le-feu, resté lettre morte. L'application de l'accord achoppait sur le partage des pouvoirs politique et militaire et sur la reconnaissance du mouvement rebelle sous le nom de "Palipehutu-FNL", deux questions désormais réglées, selon le communiqué final du sommet. |
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PANA, 22/11/2008 Bujumbura, Burundi - La peine de mort va être abolie au Burundi, suite à l'adoption dans la nuit de vendredi à samedi par l'Assemblée nationale, du nouveau projet de code de procédure pénale soumis par le gouvernement, a constaté la PANA. Le nouveau code de 620 pages doit encore être approuvé par le Sénat et promulgué par le chef de l'Etat avant d'être applicable. |
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@rib News, 22/11/2008 – Source AFP Le parlement du Burundi a adopté samedi un nouveau code pénal prévoyant notamment l'abolition de la peine de mort pour la première fois dans ce pays d'Afrique centrale. "Je voudrais remercier les honorables députés burundais qui viennent d'accomplir un travail historique en adoptant le nouveau code pénal du Burundi par 90 voix pour, 0 voix contre et 10 abstentions", a déclaré le président de l'Assemblée nationale, Pie Ntavyohanyuma, à l'issue d'une séance marathon qui s'est achevée aux premières heures de samedi. |
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PANA, 16/11/2008 Bujumbura, Burundi - Le Conseil national pour la défense de la démocratie/Forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD) a célébré dans le recueillement, dimanche, une Journée nationale dédiée aux combattants morts sur le champ de bataille. Le président du CNDD-FDD, Jérémie Ngendakumana, a parlé d'une journée du souvenir et d'un hommage mérité à ceux des combattants qui ont sacrifié leurs vies pour la cause de la démocratie. |
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PANA, 14/11/2008 Bujumbura, Burundi - Le ministre burundais de l'Intérieur et du Développement communal, Venant Kamana, a déploré, vendredi, le manque de transparence dans la gestion administrative et financière des partis politiques, expliquant que sur les 36 formations politiques agréées, seulement 10 produisent et lui transmettent régulièrement leurs rapports financiers et d'activité. M. Kamana, qui s'exprimait lors d'une rencontre avec les leaders des formations politiques burundaises, a indiqué que les sanctions prévues pour ce genre d'infractions vont du rappel à l'ordre à la suspension en passant par le retrait d'agrément. |
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PANA, 13/11/2008 Bujumbura, Burundi - La société burundaise serait aujourd’hui ouverte à une plus grande participation de la femme dans les sphères de prise de décision, à en croire une récente enquête de l’Observatoire de l’action gouvernementale (OAG, indépendant) sur la politique nationale de l’égalité des genres entreprise depuis 2003. Dans la société traditionnelle burundaise, la femme occupait une place de seconde zone, spécialement en ce qui concerne la vie publique puisqu’elle ne pouvait même pas s’exprimer en public, rappelle l’enquête. |
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PANA, 11/11/2008 - Inculpation d'un opposant politique au Burundi Bujumbura, Burundi - Le président du Mouvement pour la sécurité et la démocratie (MSD), Alexis Sinduhije, a rejoint, mardi, la prison centrale de Bujumbura après avoir été reconnu coupable d'"outrage à chef d'Etat", a-t-on appris de sources judiciaires dans la capitale burundaise. Le patron du MSD avait été arrêté par la police pour, avait-on argué dans un premier temps, "avoir organisé et tenu une réunion non autorisée avec une trentaine de militants et sympathisants de ce parti politique d'opposition en attente d'agrément". |
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PANA, 07/11/2008 Bujumbura, Burundi - Les dernières propositions de sortie de crise de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi continuaient, vendredi encore, à diviser le pouvoir central à Bujumbura et le Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU-FNL, rébellion) qui ont jusqu'au 31 décembre prochain pour mettre en application effective leur accord de cessez-le-feu en souffrance depuis plus de trois ans. Le médiateur principal dans le conflit burundais et ministre sud-africain de la Défense nationale, Charles Nqakula, a fait le déplacement de Bujumbura, jeudi, en compagnie des chefs de la diplomatie ougandaise et tanzanienne, deux pays qui assurent respectivement la présidence et la vice-présidence de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi, avec des propositions aux belligérants qui se battent depuis plus de 14 ans. |
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PANA, 04/11/2008 Bujumbura, Burundi - Le président du Mouvement pour la sécurité et la démocratie (MSD), Alexis Sinduhije et une quarantaine de militants de ce parti d’opposition en attente d’agrément, ont passé la nuit de lundi à mardi dans différents commissariats de la Police nationale à Bujumbura pour avoir tenu une réunion "non autorisée", apprend-on de sources proches des prévenus. La permanence du MSD a été également perquisitionnée par la Police et des documents ont été emportés, selon les mêmes sources. |
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PANA, 01/11/2008 Bujumbura, Burundi - Le fonds de promotion des organes de presse et de communication du Burundi sera élevé à au moins un million de dollars US d'ici 2010, apprend-on de source officielle à Bujumbura. La promesse initiale datait de 2003 et portait sur une enveloppe financière de quelque 200.000 dollars, mais qui n'a toujours pas été officiellement débloquée pour des raisons inconnues. |
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@rib News, 01/11/2008 CONFERENCE DE PRESSE DU PARTI CNDD SUR LA QUESTION ELECTORALE : A LA RECHERCHE D’ASSISES ET DE GARANTIES Bujumbura le 29 octobre 2008 Par Léonard NYANGOMA Député et président du parti CNDD 1. A la lumière des irrégularités qui ont entaché les élections de 2005 au Burundi; le CNDD interpelle le gouvernement, la classe politique burundaise, le peuple burundais et la communauté internationale sur les obstacles actuels à la tenue d’élections libres, transparentes, justes et impartiales et enfin propose des mesures nécessaires pour l’organisation prochaine d’élections crédibles. I. Aperçu critique sur les élections de 2005 : Des élections ni libres ni honnêtes 2. Les élections communales de juin 2005 n’ont été ni libres ni honnêtes. Des élections libres sont caractérisées par l’absence de pression et d’intimidation. Elles sont marquées par l’entière liberté d’opinion, de réunion, d’expression et de manifestation. Le système judiciaire doit être neutre, indépendant, non corrompu et avoir la latitude décisionnelle et fonctionnelle en termes d’autonomie de moyens et d’action. Or les communales de juin 2005 ont été caractérisées par la terreur : elles se sont déroulées sur fond de guerre dans au moins deux provinces du pays. 3. Des élections honnêtes supposent le respect des dispositions légales, l’égalité des citoyens quant à la capacité d’élire et d’être élus. Cela suppose aussi la connaissance des règles de jeu par les électeurs. |
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PANA, 28/10/2008 Bujumbura, Burundi - Le gouvernement burundais a "énergiquement" condamné, mardi, les manifestations attribuées la veille au Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU- FNL, rébellion) à Bujumbura, la capitale du Burundi et dans plusieurs autres villes du pays, sur fond de revendications politiques. Deux manifestants auraient été tués par balles dans les environs de l'aéroport international de Bujumbura, d'autres non encore connus molestés ou arrêtés par la Police, à en croire le porte-parole du dernier mouvement rebelle encore actif dans le pays, Pasteur Habimana. |
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PANA, 27/10/2008 Bujumbura, Burundi - Le Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU-FNL, rébellion) a refusé du bout des lèvres, la paternité des marches-manifestations qui ont troublé quelque peu, lundi matin, la quiétude des habitants de Bujumbura, la capitale du Burundi et de plusieurs autres grandes villes du pays, sur fond de revendications à caractère politique. Des tracts et graffitis hostiles à l'Etat burundais et aux ingérences extérieures dans les affaires nationales sont également apparus dans les rues et sur les murs des grandes villes du pays. |
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@rib News, 27/10/2008 DECLARATION DU CNDD À PROPOS DE LA PRIVATISATION SAUVAGE DES ENTREPRISES PUBLIQUES 1. Face au bradage du domaine public et des entreprises de l’Etat par le régime en place, le CNDD porte à la connaissance de l’opinion nationale et internationale ce qui suit : A. Historique du mouvement de privatisation 2. Les principes de privatisation systématique ont pour origine ce qu'on appelle le consensus de Washington (CW), une doctrine soutenue par les institutions de Bretton Woods et imposée dans le monde entier. Le consensus de Washington repose sur les principes suivants : |
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@rib News, 26/10/2008 - Source MISNA Constatant l'impasse dans laquelle se trouvent les négociations sur l'accord de paix au Burundi entre le gouvernement et les rebelles du Front national de libération (Fnl), l'Initiative de Paix régionale a décidé d'intervenir par l'intermédiaire de ses propres envoyés, aux côtés du ministre sud-africain de la Défense, Charles Nqakula, médiateur officiel dans le cadre du dialogue entre les parties au conflit. Le Département sud-africain des Affaires étrangères a communiqué vendredi que M Nqakula se rendrait à nouveau au Burundi, accompagné des ministres des Affaires étrangères de l'Ouganda, de la Tanzanie et de l'Afrique du Sud, conformément aux conclusions d'une réunion de l'Initiative de paix régionale, le 20 octobre dernier. |
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PANA, 24/10/2008 Bujumbura, Burundi - Le médiateur dans le conflit burundais et ministre sud-africain de la Défense, Charles Nqakula, est reparti jeudi de Bujumbura sans avoir fait bouger les positions des parties belligérantes sur les points encore litigieux dans leur accord de cessez-le-feu, en souffrance depuis plus de trois ans, apprend-on de source diplomatique dans la capitale burundaise. M. Nqakula avait réuni, la veille, pendant six heures, le chef de l'Etat burundais, Pierre Nkurunziza, et le leader du parti pour la Libération du peuple hutu/front national de libération (PALIPEHUTU- FNL), Agathon Rwasa, mais sans parvenir à rapprocher leurs positions toujours rigides, notamment, en ce qui concerne le changement d'appellation du dernier mouvement rebelle encore actif dans le pays pour mériter l'agrément en tant que parti politique, œuvrant dans la légalité constitutionnelle. |
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PANA, 21/10/2008 Bujumbura, Burundi - Les héritiers de Melchior Ndadaye, le premier président démocratiquement élu au Burundi, ont choisi la célébration, mardi, du 15ème anniversaire de son assassinat pour relancer le débat sur l'impunité des crimes politiques abondants dans le pays. Le président-fondateur du Front pour la démocratie au Burundi (FRODEBU, principal parti d'opposition) avait été assassiné le 21 octobre 1993 dans une tentative de coup d'Etat militaire au bout de seulement trois mois de pouvoir. |
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PANA, 20/10/2008 Bujumbura, Burundi - Le médiateur sud-africain dans le conflit burundais, Charles Nqakula, est arrivé lundi à Bujumbura où il va tenter de faire avancer les laborieuses négociations d'un cessez-le-feu global et définitif entre le pouvoir central et le Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU-FNL, rébellion), a-t-on appris de source diplomatique dans la capitale burundaise. Peu après son arrivée à Bujumbura, le médiateur a fait savoir à la presse qu'il va rencontrer le président burundais, Pierre Nkurunziza et le leader du dernier mouvement rebelle encore actif dans le pays, Agathon Rwasa, pour faire le point sur l'état d'avancement du processus inter-burundais de paix. |
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@rib News, 18/10/2008 Le CNDD exige la révocation de l'ordonnance sur les réunions et manifestations des partis politique DECLARATION DU CNDD AU SUJET DE L'ORDONNANCE MINISTERIELLE N° 530 DU 06 OCTOBRE 2008 PORTANT REGLEMENTATION DES REUNIONS ET MANIFESTATIONS DES PARTIS POLITIQUES ET AUTRES ASSOCIATIONS AU BURUNDI 0. Suite à la publication par le Ministre de l’intérieur et du développement communal de l’ordonnance n° 530 du 06 octobre 2008, le parti CNDD porte à la connaissance de l'opinion nationale et internationale ce qui suit: A. Motivations 1. Attendu que la Constitution de la République du Burundi consacre le multipartisme et qu'en vertu de l'article 32 de la dite Constitution, "La liberté de réunion et d’association est garantie, de même que le droit de fonder des associations ou organisations conformément à la loi". |
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PANA, 14/10/2008 Bujumbura, Burundi - Le Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU-FNL) est monté au créneau, mardi, pour annoncer clairement qu'il ne renoncera pas à son appellation actuelle à consonnance ethnique avant au moins les prochaines échéances électorales de 2010 au Burundi. La communauté majoritaire des hutus pèse plus de 85% de l'électorat national et le Secrétaire général du dernier mouvement rebelle encore actif dans le pays, Jonas Nshimirimana, a pressenti un risque de perte des voix si le PALIPEHUTU-FNL venait à renoncer brusquement à son identité historique. |
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PANA, 13/10/2008 Bujumbura, Burundi - Les Burundais ont célébré, lundi, dans le recueillement, le 47ème anniversaire de l'assassinat du "héros de l'indépendance nationale", le Prince Louis Rwagasore et reviendront se souvenir, le 21 octobre prochain encore, de la disparition tragique du "martyr de la démocratie", Melchior Ndadaye, en tant que premier président démocratiquement élu de l'ère post-coloniale du pays. Dans le premier cas, nombreux sont les historiens et politologues qui sont revenus, lundi, sur le parcours politique "exceptionnel" du fils du Roi Mwambutsa, en rappelant qu'il avait gagné haut la main les premières élections législatives de septembre 1961 sous la houlette du parti pour le progrès national (UPRONA) qui militait pour l'indépendance immédiate vis-à-vis du pouvoir colonial belge. |
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@rib News, 13/10/2008 – Source AFP Le parti Front pour la démocratie au Burundi (Frodebu), a désigné dimanche l'ex-président Domitien Ndayizeye comme son candidat à l'élection présidentielle prévue en 2010. Sur 268 participants au Conseil des délégués nationaux, M. Ndayizeye a obtenu 86,5% des suffrages devançant dans l'ordre les deux autres prétendants Pierre Claver Nahimana et Rose Nduwayo. |
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Les Grands Hommes
Mirerekano/Ngendandumwe
Les Monuments
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Mausolée de Rwagasore
Présidence Assemblée nationale
Sénat
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