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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Burundi : les aiguilles non stérilisés cause majeure de l'hépatite C dans les années '80 Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Santé

@rib News, 20/11/2014 - Source Xinhua

Au Burundi, l'utilisation des aiguilles et des instruments médicaux non stérilisés au cours des années 1980 est la cause majeure de l'amplification du virus d'hépatite C, a affirmé le Pr Evariste Ndabaneze, professeur de médecine interne et de gastroentérologie à la faculté de médecine à l'Université du Burundi (UB), spécialiste d'hépato- gastroentérologie et médecin consultant au Centre-Hospitalo Universitaire de Kamenge (CHUK).

Dans une interview accordée jeudi, le Pr Ndabaneze a indiqué que les premières contaminations d'avant les années 1990 au Burundi étaient essentiellement dues aux transfusions de sang effectuées à l'époque.

"Lors de ces transfusions aux malades, on éliminait essentiellement le sang qui avait des marqueurs de l'hépatite B et de la syphilis. Mais on n'avait pas les tests pour l'hépatite C. Alors, on a infecté beaucoup de gens sans le savoir puisque ce virus n'était pas connu", a-t-il révélé.

Ce mode de transmission est pratiquement inexistant aujourd'hui parce que tout sang destiné à être transfusé est d'abord examiné pour éliminer tout sang qui serait porteur de ce virus, a-t-il nuancé.

Même si la contamination du virus par les aiguilles n'est plus d'actualité au Burundi, il faut reconnaître que jusque très récemment, les aiguilles à usage unique n'étaient pas partout dans les centres burundais de santé, a fait remarquer le Pr Ndabaneze.

"Alors on vaccinait parfois des enfants en chaîne avec la même aiguille au Burundi particulièrement, ce qui signifie que la contamination par le virus pouvait intervenir à l'occasion de l'utilisation des aiguilles non stérilisées ou insuffisamment stérilisées", a-t-il souligné.

Selon le Pr Ndabaneze, au Burundi, les rares études menées sous forme d'enquête épidémiologique montrent que la prévalence de l'hépatite C est estimée à 1,2%, alors que ce portail est beaucoup plus élevé pour le virus de l'hépatite B, la prévalence oscille entre 8 et 10%.

"Même si les deux virus partagent le dénominateur commun d'attaquer le foie, quand on attrape l'hépatite B, sauf chez les enfants, le développement de cette maladie se solde finalement par une négativation du virus dans presque 90% des cas", a-t-il expliqué.

"Or, pour l'hépatite C, dans la tranche d'âge des adultes, en cas d'une infection aiguë, seulement 15 à 35% sont potentiellement guérissables. Cela signifie que 65 à 85% des adultes porteurs du virus d'hépatite C, peuvent développer des hépatites chroniques dont 20% qui peuvent devenir dans 10 ou 20 ans des cirrhoses du foie, qui sont des stades mortels de la maladie à cause des complications de celle-ci", a indiqué le Pr Ndabaneze.

En ce qui concerne le taux de mortalité, il a déclaré qu'on observe aujourd'hui un grand pourcentage d'évolution de l'hépatite C vers le stade mortel à travers le développement d'une cirrhose ou d'un cancer du foie.

Mais pour le Pr Ndabaneze, plus grave au Burundi est que sans dépistage précoce et suite au manque d'une tradition pour faire des bilans de santé, beaucoup de Burundais ignorent qu'ils sont porteurs d'hépatite C.

 
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