topleft
topright

Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Burundi : pour le camp présidentiel, la mort du Général "Adolphe" constitue un choc Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Sécurité

@rib News, 02/08/2015 - Source AFP

Le bras droit du président burundais Pierre Nkurunziza et patron de facto de la sécurité intérieure, le Général Adolphe Nshimirimana, a été tué dimanche à Bujumbura dans une attaque à la roquette, relançant les craintes d'une escalade des violences qui frappent le Burundi depuis trois mois.

Ancien chef d'état-major et souvent présenté comme le numéro deux du régime, le général Nshimirimana a été victime d'une attaque contre sa voiture en début de matinée dans la capitale burundaise, ont indiqué des témoins. Selon eux, son véhicule a été touché par deux roquettes, puis arrosé à l'arme automatique. La police a fait état de sept arrestations.

Sa mort a été confirmée peu après par le chef de la communication de la présidence, Willy Nyamitwe : "J'ai perdu un frère, un compagnon de lutte, la triste réalité c'est que le général Adolphe Nshimirimana n'est plus de ce monde", a-t-il indiqué dans un message sur Twitter.

Dans un communiqué, l'Union européenne s'inquiète de cette "dangereuse escalade de la violence au Burundi". "Le recours à la violence, quels qu'en soient les auteurs, ne pourra jamais contribuer à sortir le pays de l'impasse politique actuelle", écrit-elle, appelant à la "retenue" et à une reprise du "dialogue".

Pour le camp présidentiel, la mort de l'officier supérieur, un intime de Nkurunziza, constitue clairement un choc.

"La situation est très grave. Le général Adolphe était quelqu’un d'indispensable dans le système. On est en train de tout mettre en œuvre pour gérer la situation, mais ce n’est pas facile. Nos garçons ont envie de se venger", a affirmé un haut cadre de la présidence.

"Vous n'imaginez pas ce qu'Adolphe représentait pour nous", a expliqué une source au sein du Service national de renseignement (SNR).

Déclaration de guerre

"Ils viennent de déclarer la guerre et ils vont voir ce qu'ils vont voir", a averti sous couvert d'anonymat un général de l'armée burundaise.

A la suite de cet assassinat, le journaliste burundais, et correspondant de l'AFP dans ce pays, Esdras Ndikumana, a été arrêté par les forces de sécurité gouvernementales et roué de coups.

Esdras Ndikumana, qui collabore également avec la radio française RFI, prenait des photos sur les lieux de l'attaque quand il a été arrêté par des membres du Service national de renseignement (SNR). Retenu deux heures dans leurs locaux, il dit avoir été violemment frappé au dos, aux jambes et sur les plantes des pieds, avant d'être relâché et hospitalisé. La directrice de l'Information de l’AFP Michèle Léridon s'est déclarée "très choquée" par cette agression.

Le général Nshimirimana, officiellement "chargé de mission à la présidence", faisait partie d'un groupe de généraux issus de l'ancienne rébellion hutu CNDD-FDD (aujourd'hui parti présidentiel ultra-majoritaire) sur lesquels s'appuyait le président Nkurunziza.

Il avait été évincé de la tête du pouvoir dans le cadre d'un conflit au sein de la hiérarchie militaire, tout en restant incontournable. Il avait ainsi gardé en sous-main le contrôle de l'appareil sécuritaire du pouvoir.

L'officier supérieur avait dirigé la Documentation nationale (service de renseignement) et était l'ex-chef d'état-major des Forces pour la Défense de la Démocratie (FDD).

Sa disparition intervient une semaine après la proclamation de la victoire à la présidentielle du sortant Pierre Nkurunziza, pour un troisième mandat dénoncé par l'opposition, la société civile et plusieurs pays occidentaux.

L'opposition s'organise

L'opposition burundaise a de son côté annoncé dimanche s'être dotée pour la première fois d'un organe représentatif et d'un président unique, à l'issue de deux jours de discussions dans la capitale éthiopienne Addis Abeba.

Opposition et société civile ont "créé un Conseil national pour le respect de l'accord d'Arusha et pour la restauration de l'état de droit au Burundi, le Cnarec", avec à sa tête Léonard Nyangoma, le chef historique de la résistance armée au Burundi, une coalition d'une dizaine de partis d'opposition.

Le mouvement de contestation contre un troisième mandat du président Pierre Nkurunziza, élu en 2005 et 2010, est né fin avril après l'annonce de sa candidature, en violation, selon ses adversaires, de la Constitution et de l'Accord d'Arusha qui avait mis fin à la guerre civile.

Les violences qui ont émaillé ces trois derniers mois ont fait une centaine de morts et poussé quelque 170.000 personnes, selon l'ONU, à fuir dans les pays voisins. Après avoir déjoué mi-mai une tentative de coup d’État, les autorités burundaises ont brutalement réprimé les manifestations, empêchant tout nouveau rassemblement.

Le général Nshimirimana avait joué un rôle-clé au sein des forces de sécurité pour déjouer la tentative de coup d'Etat et mettre un terme aux manifestations.

Par ailleurs, début juillet, des combats ont opposé l'armée à des rebelles dans le nord du pays.

 
< Précédent   Suivant >

Les Grands Hommes

Paul MIREREKANO, Martyr de la lutte pour l’émancipation des masses paysannes & Pierre NGENDANDUMWE, Martyr de la lutte pour l’unité nationale
Mirerekano/Ngendandumwe

Les Monuments

La Place de l'Indépendannce à Bujumbura

Place de l'Indépendance

 

Monument de l'Unité nationale, à Bujumbura

Monument de l'Unité


Mausolée du prince Louis RWAGASORE, sépulture du héros de l'Indépendance nationale

Mausolée de Rwagasore

Les bureaux de la Présidence du Burundi

Présidence

Palais de Kigobe, siège de l'Assemblée nationale

Assemblée nationale

Siège du Sénat

Sénat

Les partis politiques

Majorité
Opposition
Maintenance: Synexis Agence Web
www.arib.info - Site web de l’ARIB
Copyright © ARIB.INFO 2002 - 2021

parking aéroport pas cher