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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Vers un marché commun en Afrique de l'Est en juillet 2010 Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Cooperation

@rib News, 20/11/2009 – Source AFP

Cinq pays d'Afrique de l'Est se sont engagés vendredi à la mise en place d'ici juillet d'un marché commun, premier du genre sur le continent, prévoyant la libre circulation de la main-d’œuvre, des marchandises, et des capitaux.

Réunis à Arusha en Tanzanie, les chefs d'Etat des pays membres de la Communauté d'Afrique de l'Est (East african community, EAC), réunissant le Burundi, le Kenya, l'Ouganda, le Rwanda et la Tanzanie, ont signé un "protocole d'accord", a-t-on constaté.

Ce document prévoit la mise en place dès juillet prochain d'un marché commun au sein de l'EAC, marchepied vers une éventuelle union monétaire dans un bloc régional de près de 126 millions d'habitants.

Il prévoit d'autoriser la libre circulation, dans les Etats membres, de la main d'œuvre, des marchandises, des capitaux ainsi que le droit d'établissement des entreprises.

Un tel marché commun serait le premier du genre en Afrique.

"C'est un grand pas en avant", s'est félicité le président tanzanien, Jakaya Kikwete, à l'issue de la cérémonie de signature.

Ce protocole devra encore être ratifié par les différents Etats pour permettre l'entrée en vigueur du marché commun. Une union douanière est déjà en place depuis 2005 au sein de l'EAC.

Sa signature marquait le point d'orgue des cérémonies de commémoration du 10e anniversaire de cette organisation, dont le secrétariat est installé en Tanzanie.

Les négociations sur le marché commun se sont terminées en septembre dernier à Kampala, en Ouganda. A la même date ont débuté des "consultations préliminaires sur le projet d'Union monétaire d'Afrique de l'Est".

Un rapport final sur ce sujet, prévu pour janvier 2010, va arrêter une stratégie vers l'Union monétaire d'Afrique de l'Est. L'objectif est d'arriver à une monnaie unique dès 2012, même si certains responsables reconnaissent en privé que la date de 2016 est certainement plus raisonnable.

Présents vendredi à Arusha, des opérateurs économiques se sont félicités de la signature de ce protocole d'accord.

"De 36 millions de consommateurs sur le marché kényan, nous passons à 126 millions. L'impact va être énorme", s'est ainsi réjoui Vimal Shah, président d'une grande société kényane d'agro-alimentaire.

Un marché commun au sein de l'EAC devrait "stimuler les échanges" dans la région et "améliorer la compétitivité des entreprises locales", selon un responsable de la bourse de Dar-es-Salaam, George Fumbuka.

"Nous n'avons pas le choix", expliquait récemment le secrétaire général de l'EAC, le Tanzanien Juma Mwapachu. "Entrons dans un marché commun et faisons face aux défis".

La mise en place d'un tel marché pose de nombreux défis, dans une région souffrant notamment de l'insuffisance et du mauvais état des infrastructures.

L’EAC a lancé plusieurs projets de construction de routes et de chemins de fer pour faciliter les échanges entre les Etats membres, dont un projet de voie ferrée qui relierait les cinq pays membres (parmi lesquels le Rwanda et le Burundi, presque totalement enclavés).

L'organisation a été créée en 1967 par le Kenya, l'Ouganda et la Tanzanie, trois anciennes colonies britanniques, mais a cessé de fonctionner dix ans plus tard en raison de divergences politiques et économiques.

Au moment de la rupture, l'EAC était parvenue à un certain niveau d'intégration notamment dans les domaines des politiques monétaires et fiscales, des douanes, de l'enseignement supérieur, de la gestion des chemins de fer et des ports.

La communauté a été officiellement reconstituée en novembre 1999, et le Rwanda et le Burundi, deux anciennes colonies belges, l'ont rejoint en 2007.

 
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