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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Rwasa, ancien rebelle en quête d'honorabilité Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Politique

Jeune Afrique | 22/12/2009

Par : Tshitenge Lubabu M. K.

Agathon Rwasa sous la protection de Casques Verts de l'Union africaineLe leader des Forces nationales de libération (FNL), l’ancienne rébellion, défendra les couleurs de son parti à la présidentielle de 2010. Une première participation qui lui permettra de tester sa popularité.

Depuis son retour définitif au Burundi, en mai 2008, mettant ainsi fin à une guerre qui durait depuis le début des années 1990, Agathon Rwasa croit aux vertus du dialogue. Dans le cadre des accords de paix signés avec le gouvernement, un poste plutôt modeste lui a été confié: la direction de l’Institut national de sécurité sociale. Quant à savoir si cette fonction lui convient, il se contente de dire: « Cela me plaît car je suis au service de mon pays. » Ces derniers mois, son parti a connu une querelle de leader­ship, qu’il a fini par remporter.

Né en janvier 1964 dans la province de Ngozi (nord du Burundi), ex-étudiant à la faculté de psychologie de l’université de Bujumbura, dans les années 1980, Agathon Rwasa a vécu dangereusement pendant longtemps. Tout bascule à partir d’août 1988 lorsque, à la suite d’une attaque lancée par le Parti pour la libération du peuple hutu (Palipehutu, fondé par Rémi Gahutu en 1980) dans les localités de Ntega et de Marangara, des Tutsis sont tués. La répression de l’armée burundaise à l’égard des Hutus est terrible.

Un croyant réputé cruel

Rwasa, comme beaucoup d’autres membres de cette communauté, s’enfuit en Tanzanie. Après avoir vécu dans un camp de réfugiés, il revient clandestinement dans son pays au début des années 1990. C’est le début de la lutte armée. Secrétaire de la commission chargée de l’information, il sera ensuite promu commandant. « La guerre, se justifie-t-il, était le seul moyen de faire plier un pouvoir oppresseur. » Dans la confusion qui suit l’assassinat du président du Palipehutu, en 1990, Rwasa, habile, s’empare des rênes du parti. Et pour ses détracteurs le transforme en une sorte de « secte évangélique ».

De sa vie de guérillero, Agathon Rwasa a appris que « la vie est rude mais facile s’il y a cohésion et esprit d’équipe ». Elle lui a permis de bien connaître son pays, sa société et « la puissance de Dieu ». Selon lui, « se battre pour une cause juste n’est pas contradictoire avec la foi ». La religion et un passé de chef rebelle, c’est ce que Rwasa a en commun avec son rival, Pierre Nkurunziza. « Je ne le connais pas beaucoup, ne l’ayant vu que deux ou trois fois », commente Agathon Rwasa. Les deux hommes, qui combattaient pourtant le même adversaire, n’ont jamais sympathisé et se sont même affrontés. La raison? « Nous n’avions pas la même vision de la lutte ni la même idéologie », répond le leader des FNL.

En 2005, il est contesté et évincé de la direction du mouvement. Ses amis lui reprochent sa cruauté, notamment l’élimination physique de ses adversaires et le massacre de réfugiés tutsis congolais, à Gatumba, en 2004. « Je n’ai jamais pratiqué la culture de la cruauté. Au lieu de diaboliser, il faut plutôt enquêter. »

Après avoir repris le contrôle de la situation, Rwasa opte pour le dialogue avec Nkurunziza en 2006. En briguant la magistrature suprême, il promet, s’il est élu, de « cimenter la réconciliation des Burundais ». Cet amateur de gospel se marie cette année, au lendemain de Noël, le 26 décembre.

 
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