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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Au Burundi, des élèves au ban de l'école Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Education

Deutsche Welle, 21.09.2016

Une nouveauté attend les élèves du fondamental, cette année: ils n'auront plus droit au redoublement en cas d'échec au concours de fin de cycle. De quoi en mettre certains de facto au ban de l'école.

Au Burundi, les élèves des écoles privées ont retrouvé les salles de classe, mais pas encore ceux des établissements publics. Tous sont par contre concernés par une réforme qui fait déjà grogner : ceux qui échoueront à l'examen qui sanctionne la fin du fondamental, n'auront plus droit au redoublement.

Par conséquent, près de 80.000 élèves risquent de se retrouver dans la rue, après la 9ème ou la 10èmeannée, rejetés de facto par le système scolaire. Antéditeste Niragira, notre correspondant à Bujumbura, a recueilli les inquiétudes des élèves, parents et défenseurs des droits des enfants:écoutez son reportage en cliquant sur l'image ci-dessus.

Les écoliers, premiers lauréats de l’école fondamentale sont embarrassés. Certains n’ont plus d’accès au redoublement quoi que ce soit leur droit, ce que déplore le porte parole de la “Solidarité pour la jeunesse chrétienne pour la paix et l’enfance“. Inquiet, le pédagogue David Ningaza fait une analyse pédagogique et critique de la situation

"Par exemple, les enfants qui ont réussi en classe qui n’ont pas réussi le concours, ces enfants ont été refusé de reprendre l’année. Mais les enfants qui avaient échoué en classe qui ont réussi le concours, ce sont ces enfants qui vont monter la classe. Est-ce que c’est le concours vraiment qui prime sur l’évaluation de toute l’année? Parce que l’évaluation, pédagogiquement, il y a les interrogations, les devoirs, les examens, les travaux pratiques, l’éloquence, la discipline aussi inclus. Refuser celui-là qui a réussi dans toutes ces branches et accepter quelqu’un qui vient de tomber sur le concours national, peut-être qu’il a triché ou pas. C‘est-à-dire que ce sont les faibles qui ont été privilégiés."

Quel avenir pour les enfants ?

Le nouveau système éducatif dit école fondamentale privilégie en principe l’éducation pour tous. Mais à sa seule première promotion, 80 000 élèves sont chiffrés avoir échoué et par conséquent sans latitude de continuer les études post-fondamentales.

Leurs parents sont anxieux quant à l’avenir de leurs enfants. Inquiétude de Pierre Claver : son fils a perdu le privilège de continuer les études. Il craint les conséquences néfastes sur la société.

"Les enfants n’avaient de temps de se livrer à la débauche, qu’est-ce qui va se passer maintenant? Pour les garçons, à un moment où le banditisme bat son plein, que feront-ils s’ils n’ont rien à faire, s’ils ne vont plus à l’école? Tout cela me fait peur et m’inquiète vraiment."

D’autres vont plus loin dans leurs analyses. La situation s’empire disent-ils, alors que le Burundi connaissait déjà un taux de chômage trop élevé. Avis inquiétant partagé par les partenaires éducatifs.

Le gouvernement burundais a mis en place l'école fondamentale par une réforme, en 2013-2014, comme une prolongation, de la 7ème à la 9ème année, du cycle primaire. Un concours sanctionne le passage dans le secondaire. La promotion 2016 est donc la première de l'école fondamentale.

 
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