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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Burundi : les taxes explosent, « la ménagère » trinque Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Economie

La Tribune Afrique | 26/12/2016

Asphyxié par le gel des aides financières internationales et une croissance au point mort, le Burundi vient de décider une hausse tout azimut des taxes sur les produits de consommation. Télécoms, sucre, essence, sacs plastiques, automobile…, le spectre de la surtaxe couvre la majeure partie des secteurs d’activités.

Une politique fiscale qui suscite déjà les critiques de la société civile qui voit en cette nouvelle loi, une manière de faire porter aux contribuables les poids des dépenses publiques.

Face à une conjoncture économique critique, le Burundi vient de décider l'augmentation de plusieurs taxes. Une mesure impopulaire, que le gouvernement justifie par la perte d'une grande partie de l'aide extérieure que recevait le pays. La crise politique que traverse le pays a également impacté négativement la croissance.

Concrètement, le parlement burundais a donné son accord à l'application de loi budgétaire 2017 qui contrairement au texte ayant régi l'exercice 2016 sera alimenté à 70% par des ressources financières internes générées par la taxation de différents produits de consommation courante. Un réajustement qui vise à faciliter la concrétisation des prévisions globales du budget 2017 estimées à 1.152 milliards de francs burundais (FBU) contre 1.119 milliards en 2016 en 2016, ce qui représente une hausse de 2,9%.

Bujumbara s'attend également à une hausse des charges budgétaire pour l'exercice 2017. Ces dernières s'étaient établies à 1.260 milliards de FBU en 2016 et devraient atteindre 1.326 milliards en 2017, soit un accroissement de 5,2%. Des estimations qui coïncident avec le tarissement de l'aide financière provenant des bailleurs de fonds internationaux, notamment l'UE. Un gel de la coopération qui a fait chuter la part des aides extérieurs de 50% à moins de 30%.

Tout y passe même les sacs plastiques !

Cette nouvelle politique fiscale devra se traduire sur le terrain par une hausse de la taxe spécifique de téléphonie mobile sur le trafic national (qui passe de 42 à 52 FBU). Une majoration qui devrait injecter 16 milliards de FBU de recettes dans les caisses de l'Etat. S'y ajoutent, la taxe de consommation sur le carburant avec un impact estimé d'un peu plus de 13 milliards de FBU, la taxe spécifique sur le kilogramme de sucre qui sera augmentée de 200 FBU et apportera quelques 4 milliards de FBU au budget.

Ce renforcement fiscale aura également un volet environnemental. En témoigne, la taxe anti-pollution sur les véhicules usagés de plus de 10 ans, qui devrait rapporter des recettes de l'ordre de 200 millions de FBU au trésor publiques. Le budget récemment adopté comporte également une surtaxe de 50% de la valeur en douane sur les sachets de plastiques importés, ce qui devrait apporter 100 millions de FBU aux finances publiques.

Cette hausse presque généralisée des taxes courantes fait grincer des dents du côté de la société civile, notamment l'Observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques (OLUCOME). Pour cette ONG, cette orientation publique vise à éviter l'austérité au gouvernement en faisant supporter le poids de la conjoncture aux consommateurs. Une politique qui risque de déclencher un mouvement social au moment où le Burundi a enregistré un taux de croissance négatif de 4,1% en 2015, conjugué à la dépréciation de 60% de sa monnaie nationale ou encore une dette intérieur estimée à 700 milliards de FBU.

 
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