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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

"L'armée française a été exemplaire" au Rwanda, selon Edouard Balladur Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Afrique

@rib News, 28/02/2010 – Source AFP

Edouard  BalladurEdouard Balladur, Premier ministre français de 1993 à 1995, assure que "l'armée française a été exemplaire" au Rwanda et défend l'opération Turquoise qui était, selon lui, "strictement humanitaire" et visait à "protéger le plus de Rwandais possible contre les massacres" en 1994.

"Les erreurs qu'a commises la France ont consisté à pratiquer une coopération, une connivence trop étroite avec le gouvernement rwandais de l'époque antérieure à mon arrivée au gouvernement, qui était un gouvernement hutu", déclare l'ex-Premier ministre au journal Le Figaro publié samedi.

"Lorsque le nouveau gouvernement que j'ai dirigé en 1993 est arrivé au pouvoir, il a pris toutes les mesures pour distendre cette coopération. Il a favorisé les accords d'Arusha (1993) entre les Hutu et les Tutsi pour mettre fin aux oppositions des communautés, l'armée française s'est retirée et j'ai veillé à ce qu'on arrête toutes les livraisons d'armes", a poursuivi M. Balladur.

Jeudi à Kigali, Nicolas Sarkozy a reconnu "de graves erreurs d’appréciation" de la France et "une forme d'aveuglement", affirmant notamment que Paris n’avait pas "vu la dimension génocidaire" du régime du président hutu Juvénal Habyarimana qu'il soutenait alors.

Le régime rwandais actuel, issu de la rébellion tutsi qui a renversé les partisans hutu de Habyarimana, accuse la France d'avoir entraîné et armé les futurs génocidaires, par son soutien notamment militaire au pouvoir de l'époque, une accusation que récuse catégoriquement la France.

Par ailleurs, en 2008, un rapport d'enquête rwandais accuse une trentaine de chefs politiques et militaires français en poste de 1990 à 1994 -- dont Edouard Balladur -- d'avoir "participé à l'exécution" du génocide et d'avoir ensuite favorisé la fuite des génocidaires au Zaïre voisin en se servant de l'opération Turquoise.

Après l'attentat contre le président Habyarimana, qui a marqué le début du génocide, M. Balladur a fait valoir que la "question était de savoir: faut-il que la France intervienne pour s'interposer entre les combattants ?".

"C'est là, a-t-il dit, que j'ai proposé l'opération Turquoise, qui était strictement humanitaire et avait pour objet de protéger le plus de Rwandais possible contre les massacres".

"A-t-elle été décidée trop tard et n'était-elle pas assez importante ? (...) Il ne faut pas oublier que nous devions avoir l'accord des Nations Unies, et que pour cela je me suis rendu à New York en compagnie d'Alain Juppé (alors ministre des Affaires étrangères). Donc nous ne pouvions pas aller plus vite, et d'ailleurs nous avons été les premiers à dire qu'il s'agissait d'un génocide, nous Français, par la voix du gouvernement", a-t-il plaidé.

 
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