topleft
topright

Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Covid-19 : la Tanzanie s'en remet à Dieu et refuse de sacrifier son économie Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Afrique

@rib News20/04/2020 - Source AFP

Le président tanzanien, John Magufuli, a appelé ses concitoyens à se tourner vers Dieu et à continuer de faire marcher la machine économique mais, à mesure que les cas de coronavirus se multiplient, les appels à prendre des mesures plus strictes se font plus pressants.

Tandis que de nombreux pays africains ont placé tout ou partie de leur territoire en confinement, ou imposé des couvre-feux, la Tanzanie n'a pas choisi cette voie. Le système scolaire est bien fermé, mais les gares routières et les marchés sont toujours noirs de de monde.

M. Magufuli, surnommé le bulldozer ("tingatinga" en swahili), fait partie d'une poignée de dirigeants dans le monde qui doutent encore de la dangerosité de la pandémie de Covid-19, à tout le moins en public.

"C'est l'heure de consolider notre foi et de continuer à prier Dieu, plutôt que de dépendre de masques sur le visage. N'arrêtez pas d'aller dans les églises et les mosquées pour prier", avait-il déclaré le mois dernier dans une église de la capitale politique tanzanienne, Dodoma.

"Je suis sûr que c'est juste le vent qui tourne et que (le virus) disparaîtra comme d'autres avant lui ont disparu", avait-il ajouté.

Lors du Vendredi Saint, le 10 avril, il a tenu des propos similaires, expliquant que Dieu protègerait les Tanzaniens du virus.

Le pays d'Afrique de l'Est de près de 60 millions d'habitants a déclaré son premier cas de coronavirus le 16 mars, et le nombre de personnes infectées est passé en une semaine de 32 à 147 cas et cinq morts lundi.

"Je suis mécontent du manque de sérieux du gouvernement, du manque de transparence sur le nombre de cas et de décès, et du déni du président par rapport à l'épidémie", a déclaré à l'AFP Zitto Kabwe, qui dirige l'un des partis d'opposition en Tanzanie, l'Alliance pour le changement et la transparence (ACT).

- 'Dieu nous protègera' -

M. Kabwe plaide pour la mise en place d'un confinement de la capitale économique Dar es Salaam et des villes d'Arusha (nord), Mwanza (nord-ouest) et Dodoma (centre), ainsi que pour un confinement total de l'archipel touristique de Zanzibar.

Mais le président Magufuli n'est pas de son avis, lui qui a certes appelé les Tanzaniens à éviter les "rassemblements non nécessaires" mais qui les encourage dans le même temps à continuer à travailler normalement.

"Continuons de travailler dur pour construire notre nation. Le coronavirus n'est pas et ne devrait pas être une raison pour arrêter le travail. Les agriculteurs doivent mettre à profit les pluies actuelles, le secteur industriel doit continuer à produire et je ne vois pas les projets de développement s'arrêter", a-t-il déclaré.

"En fait, le coronavirus ne devrait en aucun cas être une raison pour détruire notre économie", a-t-il martelé.

L'économie du pays a déjà durement été affectée par la pandémie, le flux de touristes venus visiter les parc nationaux ou profiter des plages s'étant complètement tari. Le secteur est le premier pourvoyeur de devises étrangères pour le pays.

Dans les rues de Dar es Salaam, les habitants disent craindre le virus et faire ce qu'ils peuvent pour l'éviter pendant qu'ils continuent de gagner leur pain quotidien.

Hemedi Masoud, conducteur de moto-taxi, s'arrange pour que ses clients "se lavent les mains avant de monter sur la moto". "Le problème, ajoute-t-il, c'est que je n'ai qu'un casque que mes clients doivent partager".

Lui et ses collègues attendent le chaland dans un lieu très fréquenté, au milieu des vendeurs de rue.

"J'ai vraiment peur du coronavirus et c'est risqué (d'être) ici mais je ne peux pas faire autrement que de venir. Ma famille a besoin de manger et c'est ici que je gagne ma vie".

Le gouvernement a interdit aux bus de prendre plus de passagers que leur nombre de sièges, mais cela a entraîné plus de files d'attente aux arrêts de bus à l'heure de pointe.

Comme pour de nombreuses personnes modestes sur le continent, la perspective d'un confinement est inenvisageable.

"Je ne prie pas pour un confinement car on se retrouverait sûrement à éviter le coronavirus mais à mourir de faim à la maison. La vie doit continuer et Dieu nous protègera", confie Anna John, vendeuse de rue à Dar es Salaam.

Miriam, vendeuse de chaussures, explique, elle, que certains de ses clients ne veulent pas se laver les mains, mais elle n'a "pas le choix" car elle a "besoin de leur argent".

Le chef de l'opposition Freeman Mbowe a vilipendé la politique du chef de l’État, l'accusant de se préoccuper uniquement "de sauver l'économie et ses projets d'infrastructures emblématiques".

Des experts s'interrogent sur la pertinence de confinements stricts en Afrique, où des millions de citadins miséreux vivent au jour le jour, et plaident pour des politiques de tests en masse et d'aide directe aux plus vulnérables.

Le Burundi voisin a lui-aussi décidé de laisser la vie suivre son cours quasi normal. Les deux pays organisent des élections présidentielles cette année, en mai pour le Burundi et octobre pour la Tanzanie.

 
< Précédent   Suivant >

Les Grands Hommes

Paul MIREREKANO, Martyr de la lutte pour l’émancipation des masses paysannes & Pierre NGENDANDUMWE, Martyr de la lutte pour l’unité nationale
Mirerekano/Ngendandumwe

Les Monuments

La Place de l'Indépendannce à Bujumbura

Place de l'Indépendance

 

Monument de l'Unité nationale, à Bujumbura

Monument de l'Unité


Mausolée du prince Louis RWAGASORE, sépulture du héros de l'Indépendance nationale

Mausolée de Rwagasore

Les bureaux de la Présidence du Burundi

Présidence

Palais de Kigobe, siège de l'Assemblée nationale

Assemblée nationale

Siège du Sénat

Sénat

Les partis politiques

Majorité
Opposition
Maintenance: Synexis Agence Web
www.arib.info - Site web de l’ARIB
Copyright © ARIB.INFO 2002 - 2021

parking aéroport pas cher