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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

En Tanzanie, l’opposition est de nouveau la cible du gouvernement Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Afrique

La Croix, 13/08/2021

Analyse Les arrestations d’opposants se multiplient en Tanzanie. Plusieurs partisans du chef de l’opposition, Freeman Mbowe, ont été interpellés jeudi 5 août par la police antiémeute tanzanienne, alors que son procès pour « terrorisme » pourrait se tenir vendredi 13 août.

Freeman Mbowe, le chef de l’opposition tanzanienne, est toujours en détention à la prison d’Ukonga, située à la périphérie de Dar es Salaam. Le tribunal d’instance de Kisutu a décidé de repousser l’audience, le 6 août dernier, à la date du vendredi 13 août. En marge du procès, plusieurs partisans du principal parti d’opposition, Chadema, ont été arrêtés par la police antiémeute.

Freeman Mbowe a été arrêté le 21 juillet avec dix de ses compagnons à Mwanza, une ville du nord-ouest où ils prévoyaient un rassemblement pour demander des réformes constitutionnelles. Un tribunal tanzanien a décidé de le poursuivre pour « financement du terrorisme » et « complot terroriste », des infractions qui ne permettent pas de libération sous caution.

« La situation est alarmante »

Le parquet tanzanien a affirmé que ces accusations de « terrorisme » contre Freeman Mbowe n’étaient pas liées à ses activités prévues à Mwanza, mais à des infractions présumées survenues l’an dernier dans une autre partie du pays. « L’arrestation intervient un an après les faits, et à un moment où le chef de l’opposition demande des réformes constitutionnelles. Où étaient la police et les autorités gouvernementales depuis tout ce temps ? », interroge Roland Ebole, chercheur au sein de l’organisation de défense des droits de l’homme.

Pour la présidente du pays, Samia Suluhu Hassan, les réformes constitutionnelles voulues par l’opposition pour tenter de rééquilibrer le partage de pouvoir sont séditieuses. Le parti Chadema, pour sa part, accuse la dirigeante de reproduire la même dictature que son prédécesseur, John Magafuli, décédé en mars 2021.

L’arrestation récente de Freeman Mbowe fait écho à son interpellation, en 2020, avec une centaine de personnes, alors qu’ils avaient dénoncé des fraudes massives lors des élections générales. « La situation est alarmante au vu des dérives de la présidente. Elle avait promis de défendre la liberté et le droit à l’expression », explique Roland Ebole.

Désillusion d’un renouveau politique

Depuis l’interpellation du chef de l’opposition, la première présidente de la Tanzanie, pilier du Chama Cha Mapinduzi (CCM), le parti au pouvoir, est qualifiée de « dictatrice » par les critiques. Samia Suluhu Hassan a d’abord été saluée pour sa lutte contre la corruption, ses projets d’infrastructure ou l’expansion de l’école gratuite. Elle s’est démarquée de la politique autoritaire de John Magufuli en promettant de défendre les libertés et la démocratie.

Ce nouveau procès suscite également des inquiétudes internationales. Washington a exhorté la présidente à garantir les libertés des Tanzaniens. Amnesty International a appelé la Tanzanie à « fournir rapidement des preuves pour étayer les accusations portées contre Mbowe, sous peine de le libérer ».

Pascaline Akamba Mbono

 

 
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