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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Burundi : Après les opposants, sus aux journalistes ! Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Droits de l'Homme

Le Pays, 08/09/2010

Le 28 juin dernier, le président burundais, Pierre Nkurunziza, a remporté haut la main l’élection présidentielle de son pays, après avoir mis en quarantaine tous ceux qui constituaient à ses yeux des trouble-fêtes, en l’occurrence les opposants.

Mais Nkurunziza n’a pas voulu s’arrêter là. Pour régner en maître absolu et jouir pleinement et tranquillement de son pouvoir jusqu’à la fin de ce mandat, l’occupant actuel du palais de Bujumbura ouvre l’œil à présent sur le "quatrième pouvoir" : la presse. Ainsi, depuis le 17 juillet dernier, le directeur de publication du journal en ligne, "Net Press", Jean-Claude Kavumbagu, croupit dans les geôles de la capitale burundaise. Son "péché" ? Avoir douté de la capacité de son pays à prévenir des attentats comme ceux perpétrés à Kampala par les Shebab somaliens.

Plutôt que de donner tort au journaliste en le rassurant de la capacité du pays à faire face aux "fous de Dieu", le pouvoir de Bujumbura a préféré jeter celui-ci en prison. Et, comble de malheur, l’on ne sait pas quand aura lieu son jugement puisque le Tribunal de grande instance de la capitale a confirmé le 6 septembre dernier son maintien en détention provisoire.

Puisque le chef d’accusation porté contre lui a pour nom "trahison" (accusation que le code pénal burundais ne reconnaît seulement qu’en temps de guerre), Jean-Claude Kavumbagu serait-il si apatride au point de trahir son pays ? Si oui, qu’a-t-il contre le Burundi ? À vrai dire, la déclaration de Kavumbagu n’est rien moins qu’une simple inquiétude qui, sous d’autres cieux, aurait tenu lieu d’alerte, sinon d’invite à la réflexion dans le souci de mieux sécuriser le pays afin de parer à toute éventualité.

En tout état de cause, les raisons avancées pour arrêter Kavumbagu cachent à peine la volonté réelle de Nkurunziza d’asseoir incontestablement son pouvoir dictatorial. Sinon, dans quel pays le simple doute n’est-il pas permis ?

C’est à croire que si Nkurunziza était Louis XIII, Roi de France, Réné Descartes, celui-là même qui a préconisé le doute comme méthode de recherche de la vérité, serait passé immédiatement au poteau.

A vrai dire, sous les tropiques africains, des traquenards de tous genres, visant des journalistes, on en compte à profusion. Les régimes autocratiques, qui prennent la précaution de s’entourer de juges acquis à leur cause, se réfugient derrière des termes fourre-tout du genre "offense envers chef d’Etat", "trahison", "diffamation", etc., pour mener la vie dure aux journalistes dérangeants.

C’est au nom d’une certaine "diffamation" que Alexis Remangaï a été, lui aussi, jeté en prison en République centrafricaine vendredi dernier. Manifestement, certains dirigeants africains ont fini par comprendre qu’ils confondent dangereusement les journalistes avec les opposants politiques. Une bien curieuse façon de concevoir le métier de journaliste.

Boulkindi COULDIATI

 
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