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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Rwanda-France : situation toujours "bloquée" après la rencontre Kagame-Sarkozy Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Afrique

La Croix, 25/09/2008 - Discrète rencontre Sarkozy-Kagamé à New York

Alors que les relations diplomatiques sont rompues entre les deux pays depuis bientôt un an, Kigali menace de poursuivre de hauts responsables français si la France ne lève pas ses propres mandats d'arrêt visant l’entourage du président rwandais

Nicolas Sarkozy a rencontré son homologue rwandais Paul Kagamé en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, a appris La Croix. Au cours de cette rencontre à laquelle participaient aussi Bernard Kouchner et le secrétaire d’Etat à la coopération Alain Joyandet, les deux présidents se sont expliqués sur le contentieux politico-judiciaire qui oppose les deux pays. Selon une source proche du dossier, l’échange a été «franc», ce qui est généralement synonyme d’«orageux» en langue diplomatique.

À l'Elysée, on confirme que les deux chefs d'Etat ont fait «un point de la situation». «Le Président a dit à son homologue qu'il n'acceptait pas la qualification de "génocide" s'agissant du rôle de la France au Rwanda, a déclaré à La Croixun porte-parole de la présidence. La France considère que de mauvaises relations entre les deux pays ne sont dans l'intérêt de personne.»

Le Rwanda a rompu ses relations diplomatiques avec la France le 24 novembre 2006, après que le magistrat antiterroriste Jean-Louis Bruguière a lancé des mandats d’arrêt contre neuf proches du président Paul Kagamé, dont le chef d’état-major et le chef de l’armée de terre. Dans son ordonnance, le juge exprimait aussi le souhait que le Tribunal pénal international pour le Rwanda poursuive Paul Kagamé, protégé en France par l’immunité présidentielle.

Jean-Louis Bruguière accusait les dix hommes d’avoir planifié l’attentat contre l’avion du président Juvénal Habyarimana le 6 avril 1994, qui marqua le déclenchement du génocide des Tutsis. Les poursuites par la justice française tiennent au fait qu’outre Juvénal Habyarimana, son homologue burundais, Cyprien Ntaryamira, et leurs suites, les trois membres d’équipage français de l’appareil mis à la disposition par la France avaient trouvé la mort.

Les Rwandais évoquaient des mandats d’arrêt internationaux

Le contentieux s’est envenimé avec la création par le gouvernement rwandais d’une commission « chargée de rassembler les preuves montrant l’implication de l’État français » dans le génocide, selon son intitulé officiel. Longtemps brandi comme une épée de Damoclès, finalement rendu public en août dernier, ce rapport accumule les accusations contre les militaires et les responsables politiques français pour leur rôle présumé dans la préparation et la mise en oeuvre du génocide.

Après un temps de pause, le pouvoir rwandais a fait savoir au début du mois qu’il comptait demander à la France la mise en place d’une commission rogatoire visant à enquêter sur treize personnalités françaises citées dans le rapport, parmi lesquelles Edouard Balladur, Alain Juppé, Hubert Védrine et plusieurs officiers supérieurs.

Doutant de la possibilité d’une coopération judiciaire, les responsables rwandais évoquaient déjà l’idée d’émettre des mandats d’arrêt internationaux, en demandant la collaboration d’Interpol. «Sur le plan judiciaire, les Français ont établi un précédent, notait Paul Kagamé. Si eux l’ont fait, – lancer des mandats d’arrêt contre des dirigeants rwandais – nous pouvons le faire aussi à leur égard.» Entre la France et le Rwanda, «les choses sont allées trop loin, ajoutait le président rwandais. En fait, ce sont les Français eux-mêmes, par leur attitude, qui ont rendu tout cela beaucoup plus difficile.»

Nicolas Sarkozy serait resté «ferme»

Sous l’impulsion notamment de Bernard Kouchner, qui s’est rendu à Kigali le 26 janvier, Paris s’est pourtant efforcé de désamorcer les tensions, notamment en relançant les poursuites contre des génocidaires présumés réfugiés en France.

En marge du sommet Europe-Afrique de décembre 2007, Nicolas Sarkozy avait évoqué le Rwanda et « son génocide qui nous oblige à réfléchir, France comprise, à nos faiblesses ou nos erreurs ». Cette première reconnaissance d’une possible responsabilité française n’était pas allée jusqu’à la « repentance » et ne s’était pas assortie d’une levée des mandats d’arrêt, ce qui avait déçu Kigali.

Lors de l’entretien tenu mardi à New York, Nicolas Sarkozy serait resté «ferme» sur l’impossibilité d’une intervention politique dans le dossier bouclé par le juge Bruguière. Et l’on réfléchit déjà dans les milieux diplomatiques aux moyens légaux de contrer l’émission par le Rwanda de mandats d’arrêt internationaux contre plusieurs anciens premiers ministres français.

Laurent d'ERSU

 
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