L'Union européenne (UE) a déjà accepté de contribuer au renflouement des caisses de l'IRAZ pour un montant global de 300.000 euros, selon la même source.
Chaque Etat membre devra s'acquitter d'une contribution de 270.000 euros au titre du budget 2008 de l'IRAZ, ont décidé les ministres de l'Agriculture des trois pays, a encore fait savoir M. Toyi.
Le paiement des obligations pourrait se faire par tranches compte tenu des difficultés de trésorerie qu'éprouvent les différents Etats directement concernés par la recherche agricole dans la région des grands lacs, d'après toujours le secrétaire exécutif de la CEPGL.
L'instrument d'intégration sous-régionale s'enorgueillit, par contre, d'avoir déjà relancé d'autres projets communs du domaine énergétique.
La CEPGL s'apprête à faire de même de la Banque pour le développement dans la région des grands lacs (BDGEL) également en difficulté de fonctionnement normal, selon toujours M. Toyi.