@rib News, 29/06/2019

L’Egypte continue de vibrer au rythme du football africain. La CAN 2019 est la première qui se dispute à 24 équipes et elle a déjà livré certaines vérités. En effet, la première journée est finie, et certaines équipes ont réussi à marquer des buts. Dans le même temps, d’autres se sont illustrés par leur solidité défensive. Une solidité qui n’a rien à envier à celle d’un expert des mises sur www.netbet.fr.

Les pharaons d’Egypte

Les hôtes de cette édition de la CAN ont plutôt une bonne assisse défensive. Ceci s’explique surtout par la présence de joueurs expérimentés qui connaissent bien les joutes continentales.

De même, les camarades de Mohamed Salah bénéficient d’un fort soutien populaire. De plus, la partie offensive de l’équipe est bien en place, ce qui fait que les égyptiens ont souvent le ballon. Ils ne subissent donc pas les assauts réguliers de leurs adversaires.

Leur entame dans la compétition a été délicate, avec une victoire contre le Zimbabwe sur la plus petite des marques 1 but à zéro. Leur deuxième match s’est soldé par une autre victoire sur les léopards du Congo par 2 buts à 0. Même si les congolais ont touché la barre transversale a deux fois dans ce match, on n’a pas remarqué des errements défensifs chez les pharaons.

Les super eagles du Nigeria

Les poulains de Gernot Rohr sont déjà sûrs de disputer les huitièmes de finale de la CAN. Ils ont réussi cette prouesse en enchainant deux victoires en deux matchs.

Les nigérians ont gagné les deux premiers adversaires de poule, le Burundi et la Guinée, par le même score de 1 but à zéro. Les coéquipiers de John Obi Mikel comme à leur habitude sont très rugueux dans les duels et jouent sur leur solidité physique.

Les fennecs d’Algérie

Les Algériens ont joué pour l’instant un seul match dans la compétition. Au cours de cette rencontre, face au Kenya, ils n’ont pas encaissé de buts. Au contraire, ils sont sortis de vainqueurs de la confrontation par (2-0).

Sur cette rencontre, on a vu une équipe algérienne très forte offensive qui a beaucoup gardé le ballon. Il faut dire que leur adversaire, le Kenya, n’est pas vraiment une foudre de guerre. Cependant, l’armada offensive des algériens a quand même fait la différence en acculant les kenyans dans le camp pour éviter de subir leurs attaques.

Les lions de la Téranga

Les sénégalais étaient opposés aux tanzaniens pour leur entame dans la compétition. Même privés de leur star Sadio Mané, les sénégalais ont pu s’imposer assez aisément sur le score de 2 buts à zéro.

Les lions ont en fait, une bonne base défensive avec des joueurs très forts comme Koulibaly qui évolue du côté de Naples. Cependant, le jeu des sénégalais ne repose pas seulement sur la défense. Il faut dire que le milieu et l’attaque sont également bien fournis avec des éléments comme Sarr, Diatta, Keita Baldé, Mané, etc.

Les lions de l’Atlas

La première confrontation des marocains a vu les lions luttés contre les namibiens. Ce match a montré que le Maroc a beaucoup de talents offensifs et des atouts en défenses. Les coéquipiers de Ziyech ont pu disposer des namibiens par un but à zéro. Mais le match a été âprement disputé, les marocains qui ont bien tenu vont connaitre leur vrai test face aux ivoiriens.

Les éléphants de Côte d’Ivoire

L’équipe ivoirienne qui est présente à la CAN est assez équilibrée. Avec beaucoup de bons joueurs en attaque comme Pepe, Gradel ou Kodja. Le milieu est bien tenu avec Franck Kessié, Jean Mikael Sery et l’expérimenté Sery Dié. C’est en défense qu’on ressent quelques lacunes malgré la présence de Serge Aurier et d’autres grands noms. En fait, les ivoiriens pour leur premier match contre les sud-africains ont énormément souffert sur les coups de pieds arrêtés, avant de l’emporter par 1-0.

Les lions indomptables du Cameroun

Les tenants du titre sont très bien rentrés dans la compétition en l’emportant sur le score de 2-0. Il faut dire que la défense camerounaise a plutôt bien tenu le choc face à une Guinée-Bissau pas assez incisive. Les lions ont à leur actif des joueurs expérimentés comme Ngadeu ou André-Franck Zambo Anguissa.