Quelques précisions correctives à l'article de Jacqueline Nibaruta
Opinion

@rib News, 14/08/2014

Réaction à l’article « Ces ministres burundais des finances naviguant entre incompétence et malhonnêteté »

Cet article qui vient de paraître sur le site Arib news mérite honnêtement réaction pour qu’à l’avenir un site comme celui-ci, aussi respecté par ses lecteurs ne soit pas transformé en une tribune d’articles impertinents.

Sans remettre en cause le beau titre et le contenu d’une manière générale de l’article, je voudrais relever certains éléments qui ne reflètent pas du tout la réalité :

1. Tabou Abdallah MANIRAKIZA n’a jamais été ministre de l’éducation nationale, donc, lui attribuer des fonctions qu’il n’a pas  exercées en vue de lui coller au dos le dossier des cahiers ougandais, ce n’est pas juste. Il aurait récidivé dans d’autres mensonges mais pas comme ministre de l’éducation. A moins qu’une confusion soit entretenue entre ce dernier et Saïd KIBEYA. Oui, ils sont tous deux côtiers (originaires de la côte du lac Tanganyika)  et musulmans,  mais deux personnalités différentes ;

2. Denise SINANKWA n’est pas quelque part dans le monde, mais elle est bel et bien Conseillère Principale en charge des questions économiques à la présidence de la république du Burundi.

Enfin, je voudrais souligner de propos très tendancieux utilisés à l’égard de Dieudonné NGOWEMBONA, je cite par exemple « Dieudonné NGOWEMBONA coule des jours heureux dans son énorme demeure du nouveau quartier chic de kigobe en Mairie de Bujumbura, et qu’il fait profiter ses richesses à sa 2ème famille, celle qu’il a fondé avec l’argent du contribuable Burundais en 2006 »

Fait à Bruxelles, le 14 Août 2014

Abdoul NZEYIMANA

NdlR : Nous remercions M. Abdoul Nzeyimana pour ses précisions correctives qui n’enlèvent cependant rien au fond de cet article de libre opinion. Pour rappel, les opinions exprimées dans les articles publiés sur ARIB.INFO n'engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement les vues de l’Association ou de ses membres. Notre devise demeure toujours intacte et se reflète dans cette citation : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire. » [Voltaire]