Sites touristiques
Pyramide "Source du Nil" Les chutes de Karera La "Faille des Allemands" Pierre 'Stanley-Livingstone
Info pratique
|
Justice
@rib News, 27/01/2017 – Source Xinhua La justice burundaise a condamné à 30 ans de prison 18 personnes poursuivies pour "tentative de vol en bande organisée et de détention illégale d'armes à feux" dirigées le 24 janvier dernier contre le camp militaire de Mukoni basé en province de Muyinga (nord-est). Parmi ces condamnés principalement originaires des communes Mutaho et Itaba relevant de la province de Gitega (centre), figure 10 civils, 7 militaires et 1 policier, a rapporté vendredi le correspondant local de l'Agence Burundaise de Presse (ABP). |
Lire la suite...
|
|
RFI, 24 janvier 2017 Au Burundi, le gouvernement a entamé la libération de 2 500 prisonniers en accord avec une vaste mesure de grâce présidentielle visant notamment à désengorger les prisons surpeuplées du pays ; 435 ont déjà été libérés (photo). Selon la ministre de la Justice, l'ensemble des graciés devraient avoir été libérés d'ici la mi-février au plus tard. Si la mesure concerne des droits communs, et notamment des femmes allaitantes et des mineurs, pour la première fois, des prisonniers politiques figurent parmi les détenus concernés par ces libérations. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 23/01/2017 – Source AFP Le Burundi a entamé lundi la libération du quart de sa population carcérale dans le cadre d'une grâce présidentielle, mais la société civile en exil de ce pays en crise craint que le pouvoir ne cherche ainsi à faire de la place pour de nouveaux prisonniers politiques. Lundi, un premier groupe de 300 prisonniers (photo) a été libéré de la prison centrale de Mpimba, à Bujumbura, par la ministre de la Justice Aimée Laurentine Kanyana. A terme, 2.500 prisonniers doivent être libérés par les autorités, qui ont toujours nié détenir des prisonniers politiques. |
Lire la suite...
|
|
BBC Afrique, 23 janvier 2017 Le gouvernement burundais a remis en liberté des centaines de prisonniers lors d'une cérémonie symbolique pour marquer l'application d'une grâce présidentielle annoncée à la fin de l'année. Parmi les détenus libérés (photo) figurent des membres d'un parti d'opposition qui ont été arrêtés en 2015 lors d'une opération de répression contre leur manifestation dans la capitale Bujumbura. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 23/01/2017 – Source Xinhua Le ministère de la Justice a libéré lundi 568 détenus de la prison centrale de Mpimba en mairie de Bujumbura qui ont bénéficié de la grâce présidentielle annoncée à la veille de la célébration de la fête du nouvel an 2017. Selon la ministre de tutelle, Aimée Laurentine Kanyana (photo), cet acte louable du chef de l'Etat concerne au total 2.500 condamnés pour des infractions diverses et d'autres qui verront leurs peines commuées. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 07/01/2017 – Source Xinhua Six auteurs présumés, dont deux femmes et quatre hommes, ont été déjà appréhendés dans le cadre du récent assassinat du ministre burundais de l'Eau, de l'Environnement, de l'Aménagement du territoire et de l'Urbanisme (EEATU), Emmanuel Niyonkuru. C'est qu'a déclaré samedi à Bujumbura dans un point de presse M. Sylvestre Nyandwi, procureur général de la République du Burundi. |
Lire la suite...
|
|
RFI, 05-01-2017 Burundi : peine clémente pour l’un des piliers de la répression, le major Uwamahoro Le colonel Désiré Uwamahoro (photo) est l’un des piliers de la violente répression qui sévit au Burundi. Depuis 2008, son nom apparaît systématiquement dans les rapports qui font état de violations des droits de l’homme au Burundi. De bonne source, il se trouve sur la liste des personnes suspectées par l’ONU de crimes contre l’humanité. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 08/12/2016 – Source AFP Le Burundi et le Gabon ont promis jeudi des sanctions à l’encontre de leurs Casques bleus (respectivement 25 et 16) soupçonnés d’abus sexuels en Centrafrique par les Nations unies si les faits étaient confirmés. « S’il y a des cas avérés d’abus sexuels qui impliquent nos soldats, il n’y aura pas d’impunité, la justice va s’appliquer dans ces cas là », a déclaré à l’AFP le porte-parole adjoint de l’armée burundaise, le major Côme Ndayiragije. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 01/12/2016 – Source ATS Dépouille de l'ex-roi du Burundi : le TF tranchera Genève - L'inhumation à Meyrin (GE) de Mwambutsa IV, ordonnée par la justice genevoise, a fait l'objet d'un recours. Le TF aura le dernier mot. Le sort de la dépouille de l'ex-roi du Burundi est désormais entre les mains du Tribunal fédéral (TF). Un recours a été déposé fin novembre contre la décision de la Cour de justice de Genève donnant raison à la nièce du défunt qui s'opposait au transfert des restes en Afrique. |
Lire la suite...
|
|
BBC Afrique, 19 novembre 2016 L'Assemblée des Etats parties à la Cour pénale internationale (CPI) se poursuit à La Haye. Depuis l'annonce du retrait du Burundi, de l'Afrique du Sud et de la Gambie, le président de l'Assemblée, Sidiki Kaba, l'Onu, et de nombreux Etats membres de la Cour appellent les Etats africains à "dialoguer". Les plus réfractaires des pays africains semblent désormais donner une dernière chance à la CPI. [Photo : Fatou Bensouda, procureure de la CPI] |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 16/11/2016 - Source AFP Le président russe Vladimir Poutine a signé mercredi un décret déclarant que son pays ne deviendrait pas membre de la Cour pénale internationale. Il a en effet retiré la signature russe du Statut de Rome, le traité international qui a créé la CPI, lui reprochant de ne pas être "véritablement indépendante" et de ne pas avoir été à la hauteur des espoirs placés en elle. Le ministre russe des Affaires étrangères a été chargé d'informer les Nations unies de cette décision. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 16/11/2016 - Source AFP Ne partez pas", a déclaré mercredi le président de l'Assemblée des Etats parties au statut de Rome, traité fondateur de la Cour pénale internationale, dans un "message solennel" aux trois pays africains ayant récemment annoncé leur retrait de la CPI. Le "puissant sentiment d'injustice" des Etats africains qui accusent la Cour de persécution envers les Africains "a pris les contours d'une crise qu'il faut vite circonscrire depuis le retrait de trois Etats", a constaté Sidiki Kaba à l'ouverture de la quinzième Assemblée des Etats parties à La Haye. |
Lire la suite...
|
|
RFI, 03-11-2016 Le corps du roi Mwambutsa IV ne sera pas transféré au Burundi Après quatre ans de bataille juridique en Suisse, un tribunal de Genève a finalement décidé que les restes du roi Mwambutsa IV ne seraient pas transférés au Burundi. Le corps de l'ancien monarque, déposé par son fils en 1966, repose dans son pays d'accueil, la Suisse. Le pays où il est mort en 1977. Mais il y a quatre ans, une procédure a été lancée pour faire rapatrier le défunt au Burundi. [Photo : La tombe de Mwambutsa IV au cimetière de Meyrin en Suisse, avant son exhumation en 2012.] |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 01/11/2016 – Source ATS La dépouille de l'ex-roi du Burundi bientôt à Meyrin La dépouille mortelle de l'ex-roi du Burundi devrait retrouver le cimetière de Meyrin (GE). Les restes de Mwambutsa IV avaient été exhumés, en 2012, pour être rapatriés en Afrique. Une nièce du roi défunt s'était opposée à ce transfert. Elle a obtenu gain de cause devant la Cour de justice de Genève. |
Lire la suite...
|
|
TV5MONDE, 30 OCT 2016 Burundi, Afrique du Sud, Gambie… La Cour pénale internationale navigue en eaux troubles Ces trois pays ont émis leur souhait de quitter la CPI en arguant que celle-ci concentre uniquement ses enquêtes sur le continent africain. Ces retraits laissent planer la menace d’une vague de départs de pays du continent qui affaiblirait ce tribunal permanent et unique fondé en 2002. Les jours de la Cour sont-ils comptés ? |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 27/10/2016 - Source AFP Le Burundi a notifié formellement aux Nations unies sa décision de se retirer de la Cour pénale internationale (CPI), a annoncé jeudi le porte-parole de l'ONU Stéphane Dujarric. La lettre officielle a été remise aux services du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon par la ministre burundaise de la Justice Laurentine Kanyana lors d'une visite à New York. [Photo : remise officielle de la Lettre de retrait du Burundi de la CPI] |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 27/10/2016 - Source AFP Après les décisions similaires du Burundi et de l'Afrique du Sud, la Gambie est le troisième pays à annoncer son retrait de la Cour pénale internationale (CPI). Ce nouveau départ constitue un revers personnel pour la procureure de la CPI, Fatou Bensouda (photo), de nationalité gambienne, qui a été ministre de la Justice du président Yahya Jammeh. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 24/10/2016 - Source AFP Le président de l'Assemblée des Etats parties au traité fondateur de la CPI a appelé lundi à "trouver un consensus" avec les Etats africains critiques, soulignant que le retrait annoncé par l'Afrique du Sud et le Burundi ne serait effectif que dans un an. "Aujourd'hui plus que jamais, il y a un gigantesque besoin de justice universelle", a déclaré le président de l'Assemblée des Etats parties au statut de Rome, fondateur de la Cour pénale internationale (CPI), Sidiki Kaba, évoquant "les tragédies qui se déroulent sous nos yeux". |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 22/10/2016 - Source AFP président de l'Assemblée des Etats parties au statut de Rome, traité fondateur de la Cour pénale internationale, a appelé samedi l'Afrique du Sud et le Burundi à "reconsidérer leurs positions", au lendemain de l'annonce par Pretoria de son retrait de la CPI. "Bien que l'option de se retirer d'un traité relève de la souveraineté de l'État, je regrette ces décisions et invite l'Afrique du Sud et le Burundi à reconsidérer leurs positions", a écrit dans un communiqué M. Sidiki Kaba. |
Lire la suite...
|
|
Voice of America, 19 octobre 2016 Le retrait du Burundi de la Cour Pénale Internationale (CPI) ne va pas interrompre le travail de la Procureur déjà entamé sur les crimes commis dans le pays depuis avril 2015, déclare le conseiller spécial des Nations Unies sur la prévention du génocide, Adama Dieng (photo), dans une interview avec VOA Afrique. M. Dieng soutient que la décision de Bujumbura de se retirer de la CPI "ne change pas la donne sur les poursuites éventuelles". |
Lire la suite...
|
|
BBC Afrique, 18 octobre 2016 Le président de l'assemblée chargée des délibérations de la Cour pénale internationale, Sidiki Kaba (photo), s'est dit "préoccupé" par la décision du Burundi de se retirer de cette juridiction. "Le retrait d'un Etat (…) constituerait un recul dans la lutte contre l'impunité", a averti M. Kaba dans une déclaration publiée sur le site Internet de la Cour. |
Lire la suite...
|
|
RFI, 14 octobre 2016 CPI: le retrait annoncé du Burundi ne met pas fin aux poursuites internationales Au Burundi, tout est allé très vite après la volonté des autorités de se retirer de la CPI, la Cour pénale internationale, accusée d'être un « instrument politique d'oppression ». Après l'Assemblée, le Sénat a voté pour ce texte qui doit maintenant être promulgué par le président Nkurunziza. Ce serait une première pour l’instance judiciaire, mais concrètement cela ne met pas le Burundi à l'abri de la justice internationale. |
Lire la suite...
|
|
Jeune Afrique, 14 octobre 2016 Burundi : pourquoi le retrait de la CPI n’aura aucun effet sur les poursuites internationales déjà initiées Le régime burundais, qui s'apprête à se retirer de la Cour pénale internationale (CPI) après avoir obtenu l'aval du Sénat et de l'Assemblée nationale, n'en a pas fini pour autant avec la Cour de La Haye. Explications en quatre points. Comment le Burundi justifie-t-il sa sortie de la CPI ? Membre de l’instance depuis sa ratification du statut de Rome en 2004, Bujumbura a justifié sa décision en mettant en cause la partialité de la CPI. |
Lire la suite...
|
|
La Croix, 14/10/2016 Le parlement burundais a rompu mercredi avec la Cour pénale internationale. Les violations des droits de l’homme sont massives au Burundi. Pourquoi le Burundi a-t-il rompu avec la CPI ? Il a fallu moins de 24 heures au parlement burundais pour rompre avec la Cour pénale internationale (CPI). |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 08/10/2016 - Source Xinhua Les "premiers pas" de la phase du recueil des dépositions des victimes des diverses crises "sanglantes" du Burundi post-indépendant sont satisfaisants, a affirmé Mgr Jean Louis Nahimana, président de la Commission Vérité Réconciliation (CVR). Au cours d'une interview accordée samedi à Xinhua pour faire le point sur l'état des lieux au sein de la CVR burundaise, Mgr Nahimana a précisé que trois semaines après le lancement de la phase du recueil des dépositions avec un focus particulier sur les victimes des diverses crises "sanglantes" du Burundi postcolonial, le pas déjà franchi est à saluer dans la mesure où plus d'une vingtaine de personnes ont déjà déposé individuellement leurs témoignages auprès de la CVR. |
Lire la suite...
|
|
| << Début < Précédente 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Suivante > Fin >>
| Résultats 201 - 225 sur 763 |
|
Les Grands Hommes
Mirerekano/Ngendandumwe
Les Monuments
Place de l'Indépendance Monument de l'Unité
Mausolée de Rwagasore
Présidence Assemblée nationale
Sénat
|