Sites touristiques
Pyramide "Source du Nil" Les chutes de Karera La "Faille des Allemands" Pierre 'Stanley-Livingstone
Info pratique
|
Justice
RFI, 08-06-2016 Au Burundi 11 lycéens sont inculpés d'outrage à chef d'Etat pour avoir griffonné sur des photos de Pierre Nkurunziza dans leurs manuels scolaires. Six d’entre eux, âgés de 15 à 17 ans, ont été remis hier mardi en liberté provisoire dans l’attente de leurs procès. Quant aux cinq majeurs, ils restent pour l’instant en prison. Ils ont été arrêtés vendredi dernier par le Service national de renseignement et encourent des peines allant de 6 mois à 5 ans de prison et des amendes de 10 000 à 50 000 Francs burundais selon leur avocat, soit 5 à 30 euros. Une somme conséquente au Burundi. Des sanctions disproportionnées qui suscitent l’émoi. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 07/06/2016 – Source AFP Six lycéens mineurs, incarcérés et inculpés d'outrage à chef d'Etat pour avoir dégradé des photos du président Pierre Nkurunziza, dans le centre du Burundi, ont bénéficié de la liberté provisoire mardi, a-t-on appris de sources judiciaires. "Six des onze lycéens incarcérés à la prison de Muramvya viennent de passer devant la chambre du Conseil (équivalent en France du juge des libertés et de la détention, ndlr), qui a décidé de leur accorder la liberté provisoire", a déclaré une source judiciaire, sous couvert d'anonymat. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 07/06/2016 – Source Xinhua La porte-parole de la Cour Suprême, Agnès Bangiricenge, a annoncé mardi que six élèves mineurs accusés d'outrage envers le chef de l'Etat, Pierre Nkurunziza, et qui avaient été incarcérés, ont été remis en liberté provisoire au moment où le dossier de cinq autres qui sont majeurs va suivre le cours normal. "Aujourd'hui, à l'issue d'une audience de contrôle de la régularité de leur détention, le juge des mineurs les a remis en liberté provisoire", a annoncé Agnès Bangiricenge, qui a indiqué que leur dossier a été instruit selon la procédure particulière aux mineurs délinquants en conflit avec la loi. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 03/06/2016 – Source AFP Onze lycéens burundais ont été incarcérés et inculpés vendredi d'outrage à chef d'Etat pour avoir abîmé des photos du président Pierre Nkurunziza, a-t-on appris de source policière, alors que trois personnes ont été blessées par balles lors de manifestations contre l'arrestation de ces élèves. "Le procureur de Muramvya (centre du Burundi, ndlr) vient de décider d'en incarcérer onze (...) pour outrage à chef d'Etat", a déclaré une source policière, sous couvert d'anonymat. "Ces enfants, 6 filles et 5 garçons tous âgés de plus de 14 ans, ont été écroués à la prison centrale de Muramvya en milieu d'après-midi". |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 03/06/2016 – Source Xinhua Le gouvernement burundais s'est déclaré contre un "examen préliminaire" que la Cour pénale internationale (CPI) pourrait effectuer à propos de la situation au Burundi sur fond de crise politique-sécuritaire qui a éclaté en avil 2015. Le ministre burundais des Relations extérieures et de la Coopération internationale, Alain-Aimé Nyamitwe, a réagi vendredi, lors d'une conférence de presse, à la récente annonce de la procureure de la CPI, Fatou Bensouda, sur la perspective d'ouvrir un tel examen. |
Lire la suite...
|
|
Le Pays, 11 mai 2016 Condamnation en appel de putschistes au Burundi : Le verdict de raison ou de paranoïa ? Le procès en appel de putschistes au Burundi, a livré son verdict. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les juges ont eu la main lourde. De 30 ans de prison, certains putschistes ont vu leur peine passer à la prison à perpétuité et des personnes relaxées en première instance, ont été condamnées. Ces peines ont également été assorties de dommages et intérêts relativement colossaux, contrairement au verdict rendu en première instance. |
Lire la suite...
|
|
La Croix, 10/05/2016 La Cour suprême a condamné à la prison à vie, 21 des 28 personnes qui comparaissaient devant elle pour leur implication dans le putsch de mai 2015. Les violences se poursuivent au Burundi. Prison à vie pour 21 officiers de l’armée et de la police ayant participé à la tentative de coup d’État des 13 et 14 mai 2015, il y a presque un an jour pour jour. En prononçant cette peine à Gitega, lundi 9 mai, la Cour suprême du Burundi s’est montrée plus sévère qu’en première instance. Elle a même condamné des prévenus qui avaient été relaxés lors du premier jugement. |
Lire la suite...
|
|
RFI, 10-05-2016 Burundi : peines alourdies pour les putschistes en appel Au Burundi, 21 officiers de l’armée et de la police ont été condamnés, ce lundi 9 mai, à la prison à vie pour leur implication dans la tentative de coup d’Etat contre Pierre Nkurunziza, en mai 2015. L’arrêt, en appel, de la Cour suprême rendu à Gitega, au centre du pays, condamne également cinq soldats et policiers à deux ans de prison et en acquitte deux autres. [Photo : Le général Cyrille Ndayirukiye, principal instigateur du coup d'Etat des 13 et 14 mai 2015 arrive à la cour d'appel de Gitega, le 11 avril 2016.] |
Lire la suite...
|
|
PANA, 09 mai 2016 21 putschistes condamnés à la prison à vie au Burundi Bujumbura, Burundi - Le procès fleuve des présumés putschistes de mai 2015 est entré, lundi, dans sa dernière ligne droite par la condamnation en appel à la prison à vie de 21 des 28 officiers supérieurs de la Police et de l’Armée nationale qui ont encore une dernière chance de se pourvoir en cassation devant la Cour suprême du pays, dans deux mois, apprend-on de source proche des prévenus. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 09/05/2016 – Source AFP La Cour suprême du Burundi a condamné lundi en appel à Gitega (centre) 21 officiers de l'armée et de la police à la prison à vie pour avoir organisé ou participé à la tentative de coup d'Etat des 13 et 14 mai 2015, durcissant les peines infligées en première instance. Le 15 janvier, cette même Cour - qui dispose de juridictions de première instance, d'appel et de cassation - avait condamné une première fois quatre généraux à la prison à vie pour avoir organisé la tentative de putsch, neuf officiers à 30 ans de prison pour y avoir pris part, huit hommes de troupe à 5 ans, et acquitté sept personnes. Mais le parquet avait fait appel. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 03/05/2016 – Source Xinhua Le major Richard Ndayizeye, commandant du camp militaire de Ngagara dans la commune urbaine de Ntahangwa au nord de la capitale burundaise, a été arrêté mardi soir dans le cadre du dossier lié à l'assassinat du général de brigade Athanase Kararuza le 26 avril dernier. Il a été transféré à la prison centrale de Mpimba située dans la commune urbaine de Muha, selon des sources bien informées. Son arrestation a été précédée dernièrement par celle de quatre hommes de troupe du camp qu'il dirigeait. |
Lire la suite...
|
|
RFI, 26-04-2016 Burundi : la CPI ouvre un examen préliminaire sur les violences La procureure de la CPI, la Cour pénale internationale, vient d'ouvrir un examen préliminaire sur les violences et crimes commis au Burundi qui, depuis maintenant un an, est plongé dans une grave crise politique. Cet examen préliminaire devrait permettre de déterminer s'il y a lieu ou non d'ouvrir une enquête. Après un an de crise politique et plusieurs plaintes reçues, la Cour pénale internationale a décidé de se pencher sur les crimes commis dans le pays. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 25/04/2016 – Source Reuters La Cour pénale internationale (CPI) va ouvrir une enquête préliminaire sur les violences liées à la crise politique qui a éclaté il y a un an au Burundi, à l'annonce de la candidature du président Pierre Nkurunziza à un troisième mandat. "Dans le cadre de la crise qui secoue le pays, plus de 430 personnes auraient été tuées, 3.400 personnes au moins auraient été arrêtées et plus de 230.000 Burundais auraient été contraints de se réfugier dans des pays voisins", déplore Fatou Bensouda, procureur de la CPI dans un communiqué. |
Lire la suite...
|
|
BBC Afrique, 25 avril 2016 La procureure de la Cour Pénale Internationale (CPI) Fatou Bensouda (photo) a annoncé lundi l'ouverture d'un examen préliminaire sur les violences commises au Burundi depuis avril 2015. Cette phase ouvre la voie à une possible enquête. Après avoir examiné des rapports "faisant état de meurtres, d'emprisonnements, d'actes de torture, de viols et autres formes de violence sexuelle", Fatou Bensouda a conclu que ces actes "semblent relever de la compétence de la Cour". |
Lire la suite...
|
|
RTBF, 23 avril 2016 Burundi : des avocats des victimes portent plainte devant la CPI Un collectif d'avocats défendant les familles de victimes d'exécutions extrajudiciaires présumées au Burundi, comptant dans ses rangs le Belge Bernard Maingain (photo), a déposé plainte à l'encontre du procureur général burundais, Valentin Bagorikunda, devant le bureau du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) pour "entrave à la justice de la Cour", a-t-il annoncé vendredi. |
Lire la suite...
|
|
PANA, 21 avril 2016 Vers une coopération judiciaire plus accrue contre l’impunité dans les Grands Lacs africains Bujumbura, Burundi - Les procureurs généraux des pays membres de la Conférence internationale de paix pour la région des Grands Lacs (Cirgl) se sont réunis mardi et mercredi à Nairobi, la capitale kényane, pour adopter une approche de coopération judiciaire régionale "plus efficace et pratique" dans la lutte contre l'impunité transfrontalière, apprend-on de source diplomatique à Bujumbura. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 21/04/2016 – Source SOS Médias Burundi Les avocats de la partie civile dans le procès du putsch manqué du 13 mai 2015 ont été entendus ce mercredi par la Cour d'appel de Gitega (photo). Le ministère de la défense exige une somme de plus de 362 millions en dédommagement des armes volées et des 9 militaires tués. Celui de la sécurité publique demande plus de 790 millions pour des maisons détruites, des armes volées et 41 policiers tués. La radio-télévision Rema demande plus de 4 milliards pour les bâtiments et le matériel détruit ainsi que des voitures brulées. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 20/04/2016 – Source Xinhua L'Assemblée Nationale burundaise (Chambre basse du Parlement) a voté mercredi (photo) un projet de loi portant protection des victimes, des témoins et d'autres personnes en situation de risque dans le but de lutter contre l'impunité des crimes. C'est la ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Aimée Laurentine Kanyana, qui a défendu ce projet de loi pour convaincre les députés à l'adopter. |
Lire la suite...
|
|
Voice of America, 11 avril 2016 Le général Cyrille Ndayirukiye, présenté comme le cerveau du putsch manqué du mai 2015 contre le régime du président Pierre Nkurunziza, a été le seul accusés à être entendu lundi à la reprise du procès sur ce coup d’Etat. Adolphe Manirakiza, substitut du procureur général de la République a indiqué qu’une des raisons d’interjeter l’appel était que la Cour suprême n’a pas montré une corrélation entre les manifestations et les putschistes. [Photo : Le Général Cyrille Ndayirukiye indique une direction lors des opérations du coup d'Etat manqué à Bujumbura, 13 mai 2015] |
Lire la suite...
|
|
RFI, 11-04-2016 Au Burundi, le procès en appel des présumés putschistes de mai 2015 a repris, ce lundi 11 avril, à Gitega. En janvier dernier, quatre généraux avaient été condamnés à perpétuité dont le numéro deux du putsch manqué, Cyrille Ndayirukiye, ancien ministre de la Défense du Burundi. Le leader de cette tentative, le général Nyombaré, avait, lui, réussi à fuir. Depuis, il a pris la tête des Forces républicaines du Burundi (Forebu), l’un des deux mouvements armés d’opposition actifs au Burundi. |
Lire la suite...
|
|
PANA, 31 mars 2016 Une autopsie envisagée pour élucider la mort inopinée d’un détenu rwandais au Burundi Bujumbura, Burundi - Le ministère burundais de la Justice a envisagé, jeudi, de faire pratiquer une autopsie sur le corps d’un ancien ministre rwandais, Jacques Bihozagara, au lendemain de sa mort en détention préventive à Mpimba, la prison centrale de Bujumbura, sous le chef d’accusation d’"espionnage" pour le compte du pays d’origine, rapporte la radio nationale (publique). |
Lire la suite...
|
|
PANA, 30 mars 2016 Bujumbura, Burundi - Le Parquet général de la République du Burundi a accusé, mercredi, un collectif d’avocats d’avoir faussé délibérément les procédures judiciaires légales en s’en remettant directement à la Cour pénale internationale (Cpi) pour le compte de 60 familles burundaises victimes d’exactions extrajudiciaires liées à bientôt un an d’une grave crise socio-politique dans le pays. [Photo : Des avocat burundais manifestant en août 2011 devant le le palais de justice de Bujumbura] |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 30/03/2016 – Source AFP Le procureur général du Burundi a appelé les familles de victimes d'exécutions extrajudiciaires présumées, qui viennent de saisir la Cour pénale internationale (CPI) et l'ONU, à plutôt déposer leurs plaintes auprès de ses services car ils seraient en train de se faire "manipuler". M. Valentin Bagorikunda (photo) réagissait à la saisine de la CPI et du Haut-commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme vendredi par un collectif d'avocats agissant au nom de 60 familles, dont certains membres ont selon elles été victimes d'exécutions extrajudiciaires. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 30/03/2016 – Source Xinhua Burundi : l'actuelle crise est conséquente d'un douloureux passé "non éclairé" (INTERVIEW) L'actuelle crise burundaise est conséquente d'un douloureux passé "non éclairé", estime Mgr Jean-Louis Nahimana (photo), président de la Commission Vérité Réconciliation (CVR). "Année après année, épreuve après épreuve, les réminiscences de ce passé non éclairé et les impunités qu'il couvre, ont affecté de manière sournoise, les perceptions, les attitudes et les comportements des millions de Burundais, acteurs politiques et citoyens ordinaires confondus", a précisé mardi à Bujumbura Mgr Nahimana au cours d'une interview accordée à Xinhua. |
Lire la suite...
|
|
RFI, 28-03-2016 Burundi : à Ruyigi, des prisonniers manifestent pour demander à voir un juge Au Burundi, des prisonniers ont manifesté leur mécontentement dans une prison de l'est du pays, à Ruyigi. Les détenus en colère sont montés ce lundi matin sur les toits de tôle du bâtiment carcéral et ont jeté des pierres (photo). Le calme est finalement revenu dans la soirée. Ces détenus demandent tout simplement à voir un juge, car cela fait cinq mois que certains attendent de comparaître. |
Lire la suite...
|
|
| << Début < Précédente 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Suivante > Fin >>
| Résultats 226 - 250 sur 755 |
|
Les Grands Hommes
Mirerekano/Ngendandumwe
Les Monuments
Place de l'Indépendance Monument de l'Unité
Mausolée de Rwagasore
Présidence Assemblée nationale
Sénat
|