Le Figaro, 21 octobre 2019 «Esclavage moderne»: les époux Mpozagara condamnés à deux ans de prison avec sursis
L’ancien ministre burundais [Gabriel Mpozagara, Photo] et sa femme risquaient dix ans de prison pour «traite d’être humain» et «travail dissimulé» «J’ai été réduit en esclavage.» Le 9 septembre dernier, au tribunal de grande instance de Nanterre (Hauts-de-Seine), Méthode S. a clamé haut et fort que ses anciens employeurs l’avaient exploité pendant des années. |
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@rib News, 20/10/2019 – Source Xinhua Le tribunal correctionnel de Nanterre rend lundi sa décision concernant un ex-ministre du Burundi et son épouse accusés d’avoir exploité pendant 10 ans un compatriote à leur domicile de Ville-d’Avray (Hauts-de-Seine). |
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Deutsche Welle, 10.10.2019 La justice a condamné mardi (9 octobre) quatre membres des Imbonerakure, la ligue des jeunes du parti au pouvoir. Ils sont accusés d’avoir assassiné en août dernier un militant du parti de l’opposant Agathon Rwasa. |
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RFI, 10-10-2019 Au Burundi, quatre personnes ont été condamnées mardi 8 octobre à la prison à perpétuité pour l'assassinat en août dernier d'un militant du parti d'opposition CNL (Congrès national pour la liberté). Les condamnés sont tous les quatre membres des Imbonerakure, le mouvement des jeunes du parti au pouvoir, le CNDD-FDD. |
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@rib News, 09/10/2019 - Source Agence Anadolu Le Tribunal de grande instance de Muyinga (220 km de Bujumbura), nord-est du Burundi, a condamné à perpétuité quatre personnes poursuivies pour «meurtre» d’un militant du parti Congrès national pour la liberté(CNL), principal parti de l’opposition, a appris Anadolu mercredi du ministère de la Justice et de la protection civique. |
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RFI, 08-10-2019 Procès des assassins présumés de Melchior Ndadaye, premier président démocratiquement élu du Burundi Au Burundi, un procès historique a débuté ce mardi. Celui des « auteurs » présumés de l'assassinat de Melchior Ndadaye, premier président démocratiquement élu. Sa mort, il y a 26 ans, avait contribué à entraîner le pays dans une guerre civile qui a duré dix ans et fait 300 000 morts. |
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BBC Afrique, 10 septembre 2019 Le diplomate qui fut ancien ministre au Burundi et son épouse sont jugés par le tribunal de Nanterre sur plusieurs accusations dont "traite d'être humain" Gabriel Mpozagara et son épouse ont été poursuivis pour « traite d'être humain », « travail dissimulé », « emploi d'un étranger sans titre » et « aide au séjour irrégulier ». |
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RFI, 10-09-2019 Ce lundi 9 septembre s'est tenu au tribunal de Nanterre, en région parisienne, le procès d'un ancien ministre burundais, ex-haut fonctionnaire de l'Unesco et de son épouse. Poursuivis notamment pour traite d'êtres humains, ils sont accusés d'avoir exploité dix ans durant un compatriote burundais dans leur villa de l'ouest parisien. Compte-rendu d'audience. |
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France Inter, 9 septembre 2019 "Ils m'ont volé dix ans de ma vie, à travailler 19 heures par jour, sans salaire" Le procès pour esclavage moderne qui s'ouvre, ce lundi à Nanterre, est celui d'un couple de hauts dignitaires burundais, déjà poursuivis par la justice française, qui les avait en partie innocentés. Ils vont comparaître pour de nouveaux faits, cette fois sur un homme qui affirme avoir été leur esclave pendant 10 ans. |
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RFI, 08-09-2019 Ce lundi 9 septembre débute devant le tribunal de grande instance de Nanterre le procès de Gabriel Mpozagara, ancien ministre et diplomate, ainsi que sa femme, accusés d'avoir réduit un compatriote en esclavage domestique une décennie durant. |
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Libération, 8 septembre 2019 Esclavage moderne : du Burundi à Ville-d’Avray, dix ans d’enfer pour Méthode Sindayigaya De 2008 à 2018, cet homme aujourd’hui âgé de 39 ans a été séquestré dans un pavillon des Hauts-de-Seine où des dignitaires de Bujumbura lui avaient proposé un «emploi». «Libération» l’a rencontré. |
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Human Rights Watch, 13 août 2019 Burundi : 15 ans plus tard, toujours pas de justice pour les victimes du massacre de Gatumba L’attaque en 2004 contre des civils congolais avait fait plus de 150 morts (Goma) – Les victimes d’une attaque à main armée contre un camp de réfugiés au Burundi, ainsi que leurs familles, attendent toujours, 15 ans plus tard, que justice leur soit rendue et que des indemnités leur soient versées. Cette attaque contre le camp de réfugiés de Gatumba avait fait plus de 150 morts et 106 blessés parmi les résidents civils congolais. |
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Deutsche Welle, 17.05.2019 La justice burundaise a ordonné la saisie des biens immobiliers d'une trentaine d'opposants en exil et des responsables présumés du coup d'Etat manqué de 2015. Ces biens seront incorporés au patrimoine de l’Etat. Sont concernés par cette saisie immobilière, tous ceux qui se sont opposés à la candidature du président Pierre Nkurunziza à un troisième mandat en 2015, et qui font l'objet de mandats d'arrêt internationaux. |
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PANA, 17 mai 2019 Bujumbura, Burundi, - Des biens meubles et immeubles appartenant à une trentaine d’auteurs présumés du mouvement insurrectionnel contre le troisième mandat présidentiel de 2015, jugé « anticonstitutionnel », et la tentative de putsch militaire manqué qui a suivi, ont été saisis, sur ordre du président de la Cour suprême, François Nkezabahizi, a-t-on appris, jeudi, de source judiciaire à Bujumbura. |
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RFI, 17-05-2019 A un an des élections générales, les autorités donnent le sentiment de vouloir accentuer la pression sur l’opposition. Les saisies annoncées visent neuf militaires condamnés à la perpétuité pour leur participation au coup d’État de 2015, mais aussi une trentaine de personnalités accusées de complicité de coup d’État. Des personnes qui n’ont pas pour l’heure été jugées. |
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Jeune Afrique, 16 mai 2019 Le président de la Cour Suprême et le procureur général de la République burundaise ont annoncé la saisie des biens d'opposants en exil et de militaires condamnés pour complicité dans la tentative de coup d'État des 13 et 14 mai 2015. |
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@rib News, 16/05/2019 – Source AFP La justice burundaise a ordonné la saisie des biens notamment immobiliers d’une trentaine d'opposants en exil et de neuf militaires condamnés à la perpétuité pour leur participation au coup d'État de 2015, selon une déclaration consultée jeudi par l'AFP. |
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@rib News, 11/04/2019 – Source Belga Le président burundais Pierre Nkurunziza a interjeté appel du rejet par le tribunal correctionnel de Paris de la plainte qu’il avait déposé pour diffamation déposée contre un journaliste et la présidente de France Télévisions, l’avocat belge Bernard Maingain ainsi que l’écrivain burundais David Gakunzi, a annoncé jeudi Me Maingain. |
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@rib News, 05/04/2019 – Source Belga Burundi : la justice française rejette la plainte du président Nkurunziza contre France Télévisions et un avocat belge Le tribunal correctionnel de Paris a rejeté vendredi la plainte pour diffamation déposée par le président du Burundi contre un journaliste et la présidente de France Télévisions, contre l’avocat belge Bernard Maingain ainsi que contre l’écrivain burundais David Gakunzi. |
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@rib News, 30/03/2019 – Source AFP Le Burundi a entamé vendredi la libération de quelque 3.000 prisonniers dans le cadre d’une grâce présidentielle, essentiellement pour désengorger des prisons archi-bondées, selon la société civile en exil. |
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BBC Afrique, 26 mars 2019 Les trois écolières dont la détention pour avoir griffonné la photo du président Pierre Nkurunziza dans des manuels scolaires avait provoqué un tollé international sont sorties de prison. |
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Actualite-news, 26 mars 2019 Les trois écolières écrouées mercredi dernier pour avoir gribouillé la photo du président burundais Pierre Nkurunziza ont été libérées, a annoncé mardi la ministre burundaise de la Justice, Aimée Laurentine Kanyana. |
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Deutsche Welle, 22.03.2019 Au Burundi, trois adolescentes âgées de 15, 16 et 17 ans sont accusées d’avoir gribouillé une photo du président Pierre Nkurunziza. Cinq ans de prison et 250 euros d’amende. C’est la peine prévue par le code pénal burundais pour “outrage au chef de l’Etat“. Le 12 mars, six filles avaient été arrêtées puis tenues responsables de gribouillages sur une photo du président dans cinq livres de sciences humaines. Trois autres écolières arrêtées en même temps que leurs camarades de classe ont été libérées. |
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@rib News, 21/03/2019 – Source AFP Trois écolières de la province de Kirundo, dans le nord-est du Burundi, arrêtées pour des gribouillages sur une photo du président Pierre Nkurunziza la semaine dernière, ont été emprisonnées mercredi en attendant leur procès, a-t-on appris auprès d’une ONG et de source judiciaire. |
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