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Droits de l'Homme
Reporters sans frontières, 12 Mar 2025 Burundi : RSF saisit la Rapporteure spéciale sur la liberté d’expression et l’accès à l’information en Afrique et appelle à la libération immédiate de Sandra Muhoza Alors que l’audience du procès en appel de la journaliste Sandra Muhoza vient encore d’être reportée pour un motif fallacieux, Reporters sans frontières (RSF) saisit la Rapporteure spéciale sur la liberté d’expression et l’accès à l’information en Afrique afin d’interpeller les autorités burundaises sur le sort de la journaliste. |
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Global Voices, 06/03/2025 Au Burundi, l'absence d'une vraie liberté d'expression de la presse conduit de nombreux journalistes à l'auto-censure ou à l'exil Le paysage médiatique burundais reflète les difficultés extrêmes rencontrées par les journalistes dans ce pays d'Afrique centrale: ils sont souvent exposés aux menaces de mort et à une insécurité quasi permanente. Le classement de Reporters sans frontières (RSF) sur la liberté de presse et la liberté d'expression pour l'année 2024 positionne le Burundi à la 108e place sur les 180 pays, ce qui constitue une petite avancée comparativement au classement de l'année 2023 où le pays occupait la 114e place. |
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APA News, 05 mars 2025 APA-Bujumbura (Burundi) | À la veille de la célébration de la Journée internationale des droits des femmes, le président de la République du Burundi, Evariste Ndayishimiye qui veut renforcer la cohésion familiale et la promotion féminine, a reçu en audience, ce mardi au Palais Ntare Rushatsi, les membres du bureau exécutif du Forum national des femmes du Burundi. Cette rencontre a été une occasion pour le Forum de présenter le rapport des activités réalisées depuis 2020. |
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L'Humanité, 4 mars 2025 Burundi : la journaliste Sandra Muhoza maintenue en détention après le report de son procès en appel Sandra Muhoza reste en prison : le procès en appel de la journaliste burundaise, condamnée pour avoir relayé une information sur WhatsApp, a été reporté sans explication alors qu'il devait se dérouler mardi 4 mars. |
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Reporters sans frontières, 04.03.2025 Burundi : RSF continue de plaider en faveur de la libération immédiate de Sandra Muhoza Alors que la première audience de procès en appel de Sandra Muhoza devait se tenir ce 4 mars, elle a été reportée sans justification. Reporters sans frontières (RSF) réitère sa demande de libérer immédiatement la journaliste burundaise, abusivement condamnée pour un message privé dans un groupe Whatsapp. |
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@rib News, 28/02/2025 – Source Belga Des organisations internationales et burundaises de défense des droits de l'Homme ont appelé vendredi à la libération immédiate d'une journaliste écrouée au Burundi, affirmant que la justice dans ce pays des Grands Lacs était devenue un "outil de persécution de toutes les voix discordantes". La journaliste burundaise Sandra Muhoza, qui travaillait pour le média en ligne La Nova Burundi, a été condamnée mi-décembre à 1 an et 6 mois de prison pour atteinte à l'intégrité du territoire national et à 3 mois pour avoir discrédité l'image du pays. |
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Reporters sans frontières, 17.12.2024 Burundi : RSF dénonce la condamnation à 1 an et 9 mois de prison de la journaliste Sandra Muhoza Le verdict du délibéré du procès de Sandra Muhoza a été prononcé ce 16 décembre. Détenue depuis le 13 avril, la journaliste a été condamnée à 21 mois de prison. Reporters sans frontières (RSF) dénonce une décision politique injuste et appelle la justice burundaise à faire marche arrière. |
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Reporters sans frontières, 13.11.2024 Burundi : une peine de 12 ans de prison scandaleuse requise contre la journaliste Sandra Muhoza Sandra Muhoza, qui est en détention depuis plus de sept mois, risque une peine de 12 ans de prison pour avoir retransmis une information dans un groupe privé WhatsApp. Elle est accusée d’“atteinte à l’intégrité du territoire national” et d’“aversion ethnique”. Reporters sans frontières (RSF) dénonce des réquisitions injustes. La journaliste doit être acquittée et libérée immédiatement. |
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La Croix, 31/10/2024 Au Burundi, les dissidents, sous la menace de détentions arbitraires, vivent dans la peur L’Union européenne a prorogé jusqu’en octobre 2025 ses sanctions envers le Burundi pour violations persistantes des droits humains. Mais les détentions arbitraires se poursuivent dans le pays afin de museler toutes les voix dissidentes. L’Union européenne a prolongé jusqu’en octobre 2025 ses sanctions envers le Burundi, qui continue de mener une politique de détentions arbitraires et de violations persistantes des droits de l’homme. Dans le pays le plus pauvre du monde, ces détentions seraient même devenues la norme, selon un rapport de l’organisation SOS-Torture Burundi, qui dénonce le musellement de toute voix dissidente. |
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Agence française de développement (AFD), 28 Octobre 2024 Ce projet "Toutes en Sport", mis en oeuvre par l'ONG Play International, vise à contribuer à la réduction des inégalités liées au genre par la pratique du sport par les filles et les femmes, afin qu’elles bénéficient d’un accès et d’une protection pour une pratique sportive inclusive à la fois digne, respectueuse et sécurisée. Descriptif Le Burundi et le Rwanda, bien que présentant des niveaux de développement différents, partagent des défis communs, notamment les inégalités de genre et l'accès limité à l'éducation, particulièrement en milieu rural. |
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Genethique, 10 octobre 2024 Le Burundi et le Tchad signent la Déclaration de consensus de Genève Les gouvernements du Burundi et du Tchad ont adhéré à la Déclaration de consensus de Genève (GCD), un « accord international qui stipule que les pays ont le droit et le devoir de défendre la famille et de protéger la vie in utero ». Ce qui porte désormais à trente-neuf le nombre total de signatures. « Le Burundi est prêt à collaborer avec tous les partenaires pour que chaque femme, chaque famille, chacun soit aidé tout au long de sa vie », a déclaré la Première dame du Burundi, Angeline Ndayishimiye. |
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Human Rights Watch, 10 octobre 2024 L’ONU reconnaît la nécessité de continuer à suivre de près la crise des droits humains au Burundi Le gouvernement burundais devrait coopérer avec l’ONU et mettre fin à l’impunité Le 10 octobre, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a adopté une résolution prorogeant le mandat du Rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des droits humains au Burundi. Le Conseil a exprimé des inquiétudes au sujet du bilan du pays en matière de droits humains, lequel, près de 10 ans après le début d’une crise politique et des droits humains, demeure accablant. |
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RFI, 20/09/2024 Burundi : des ONG dénoncent « la répression » contre l'ex-directeur d’un grand hôpital de Bujumbura Au Burundi, des ONG dénoncent la situation de l'ancien directeur général du Kira Hospital – Swiss clinic, l’un des plus grands hôpitaux de Bujumbura. Le Christophe Sahabo est en prison depuis plus de deux ans sous l'accusation « d’atteinte au bon fonctionnement de l’économie nationale ». Au Burundi, Human Rights Watch (HRW) et des associations locales dénoncent depuis quelques jours « la répression » qui frappe l'ancien directeur général de l'un des hôpitaux les plus en vue du pays, le Kira Hospital – Swiss clinic, Christophe Sahabo. |
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Amnesty International, 21 août 2024 Burundi. Quatre ans après le début de la présidence d’Évariste Ndayishimiye, la répression visant l’espace civique se poursuit sans relâche Quatre ans après le début du mandat du président Évariste Ndayishimiye, des défenseur·e·s des droits humains, des militant·e·s, des journalistes et des membres de l’opposition politique continuent de faire l’objet d’actes d’intimidation, de harcèlement, d’arrestations et de détentions arbitraires, ainsi que de poursuites judiciaires iniques, a déclaré Amnesty International mercredi 21 août à l’occasion de la publication d’une nouvelle synthèse sur la répression persistante contre l’espace civique au Burundi. |
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Le Monde, 21 août 2024 Intimidations, harcèlement, arrestations, procès iniques ont émaillé les quatre années de présidence d’Evariste Ndayishimiye après une brève période de libéralisation. La répression de la société civile continue au Burundi, quatre ans après l’arrivée au pouvoir du président Evariste Ndayishimiye. C’est ce que montre un rapport d’Amnesty International, publié mercredi 21 août, qui relève de « lourdes restrictions » parmi lesquelles des « actes d’intimidation et de harcèlement », des « arrestations », des « placements en détention » et des « procès iniques ». Selon l’ONG de défense des droits humains, « le Burundi assiste à l’implacable répression visant des membres actuels et passés de la société civile ». Amnesty appelle à mettre fin aux représailles et aux restrictions qui pèsent sur certaines associations et médias. |
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Amnesty International, 19 août 2024 Burundi, la libération de Floriane Irangabiye est une mesure bienvenue, mais qui n’a que trop tardé Le 16 août 2024, la journaliste burundaise Floriane Irangabiye a été libérée « Si nous nous réjouissons de la libération de Floriane Irangabiye, elle n’aurait cependant jamais dû passer une seule nuit derrière les barreaux simplement pour avoir exercé ses droits humains. Nous sommes heureux et soulagés qu’elle ait retrouvé sa famille après deux longues années de détention arbitraire, a déclaré Sarah Jackson, directrice régionale adjointe pour l’Afrique de l’Est et l’Afrique australe à Amnesty International. |
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Reporters sans frontières, 16.08.2024 Burundi : RSF soulagée par la libération de la journaliste de la radio Igicaniro, Floriane Irangabiye Après près de deux ans d’emprisonnement, Floriane Irangabiye s’apprête à retrouver sa liberté. Graciée par le président burundais le 14 août, la journaliste purgeait une peine de 10 ans de prison pour “atteinte à l’intégrité du territoire national”. Reporters sans frontières (RSF) se réjouit de cette libération, mais rappelle que Floriane Irangabiye n’aurait jamais dû être arrêtée et enfermée pour avoir fait son travail de journaliste. |
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Reporters sans frontières, 25.04.2024 Burundi : RSF dénonce la détention arbitraire de la journaliste Sandra Muhoza qui risque la prison à perpétuité La journaliste Sandra Muhoza est placée sous mandat de dépôt depuis le 18 avril. Accusée d'"atteinte à la sécurité de l’État et d’aversion ethnique", elle risque la prison à vie. Reporters sans frontières (RSF) dénonce une détention arbitraire et exige des autorités sa libération immédiate. |
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@rib News, 19/04/2024 – Source AFP Une journaliste burundaise, détenue depuis cinq jours par les services de renseignement, a été inculpée pour "atteinte à la sûreté intérieure de l'Etat", des poursuites passibles de la prison à perpétuité, ont affirmé vendredi à l'AFP des sources judiciaires et sa famille. Sandra Muhoza, 42 ans, est journaliste pour La Nova Burundi, média en ligne réputé plutôt proche du pouvoir. Elle a été arrêtée samedi 13 avril et conduite le lendemain dans les locaux du Service national du renseignement (SNR) à Bujumbura, la capitale économique de ce pays d'Afrique de la région des Grands lacs. |
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RFI, 17 avril 2024 Burundi : une journaliste arrêté, Reporters sans frontières dénonce une détention « arbitraire » L’ONG Reporters sans frontières s'inquiète de la détention au Burundi de Sandra Muhoza, une inquiétude partagée par ses proches. Selon l’organisation, la journaliste qui travaille pour le site d'information Nova Burundi a été arrêtée samedi 13 avril alors qu'elle avait un rendez-vous professionnel, et aurait été transportée dans les locaux des services de renseignements. D'après les informations de RSF, Sandra Muhoza y serait toujours détenue dans le cadre d’une enquête. |
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@rib News, 15/04/2024 – Source AFP Une journaliste burundaise est détenue depuis dimanche par les services de renseignement à Bujumbura, a indiqué lundi sa famille à l'AFP, suscitant des inquiétudes pour la liberté de la presse dans ce pays d'Afrique de l'Est. Sandra Muhoza, 42 ans, est journaliste pour La Nova Burundi, média en ligne réputé plutôt proche du pouvoir. Mme Muhoza avait répondu samedi à l'invitation d'un riche homme d'affaires et membre influent du parti au pouvoir, le CNDD-FDD, ont affirmé à l'AFP des membres de sa famille. |
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FIDH, 22/02/2024 APPEL URGENT - Défenseurs des droits humains BUR 001 / 0823 / OBS 032.1 Condamnation / Détention arbitraire / Harcèlement judiciaire Burundi / 21 février 2024 L’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits humains, un partenariat de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) et de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT), a reçu de nouvelles informations et vous prie d’intervenir de toute urgence concernant la situation suivante au Burundi. |
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@rib News, 29/12/2023 – Source AFP Le mariage homosexuel "pratique abominable", des couples gay à "lapider" car ils ont "choisi le diable" et attirent la "malédiction" divine: le président burundais Evariste Ndayishimiye s'est livré vendredi à une virulente diatribe contre l'homosexualité. Le chef de l'Etat de ce pays de l'Afrique des Grands Lacs chrétien et conservateur, où les relations entre personnes de même sexe sont sanctionnées de peines allant jusqu'à deux ans de prison, s'exprimait lors d'une conférence publique dans la province de Cankuzo (est) retransmise à la radio et à télévision, répondant aux questions de la presse et de la population. |
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OMCT, 13/12/2023 Burundi : Impunité préoccupante quant au recours systématique à la torture par les services de renseignement, la police et les milices Lors de sa 78e session, les 31 octobre et 1er novembre 2023, le CAT a examiné le troisième rapport périodique du Burundi. Les rapporteurs sur le pays étaient MM. Sébastien Touzé et Abderrazak Rouwane. |
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Amnesty International, 06 décembre 2023 Burundi. La loi décisive sur la violence liée au genre doit être renforcée pour la rendre conforme aux normes régionales et internationales L’Assemblée nationale du Burundi doit remédier aux graves insuffisances de la loi historique adoptée en 2016 contre les violences liées au genre, ainsi qu’aux incohérences avec d’autres textes en la matière, afin de garantir une prévention, une protection et une justice efficaces pour les victimes, indique Amnesty International mercredi 6 décembre dans une nouvelle synthèse. |
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