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Droits de l'Homme
RFI, 11 novembre 2011 Burundi : trois radios privées sommées de fournir leurs sources de financement Avec notre correspondant à Bujumbura Le bras de fer est de nouveau engagé entre la justice du Burundi et les trois principaux médias indépendants de ce pays, accusés régulièrement par le pouvoir d'être proches de l'opposition. Les responsables de ces trois stations ont été pour la première fois convoqués en même temps, hier jeudi 10 novembre, et sommés de fournir leurs sources de financement, ce qu'ils ont refusé de faire. Les responsables des trois stations privées sont arrivés presque en même temps devant le parquet de Bujumbura. Puis ils ont été interrogés tour à tour, par des substituts du procureur, qui les ont sommés de fournir le règlement d’ordre intérieur, les statuts, ainsi que les sources de financement de leur station, sans aucune autre forme d’explication. |
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@rib News, 10/11/2011 – Source AFP Les responsables des trois principales stations indépendantes du Burundi, accusées par le pouvoir d'être proches de l'opposition, ont été sommées de fournir leurs sources de financement par le procureur de Bujumbura jeudi, ce qu'ils ont refusé de faire. Il s'agit des directeurs des stations privées Bonesha Fm, Isanganiro et Radio publique africaine (RPA), qui ont été interrogés pendant plusieurs heures, a-t-on constaté sur place. |
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Marianne | 9 Novembre 2011 Rwanda : SOS débouté pour la 3è fois contre Péan La Cour de cassation vient de confirmer la victoire de Pierre Péan dans l’affaire qui l’a opposé à SOS Racisme depuis 5 ans. Cinq ans pour confirmer que son livre n’a rien de raciste. Cette fois, c’est définitif. La Cour de cassation vient de confirmer la victoire de Pierre Péan dans son procès intenté par SOS Racisme pour diffamation raciale et provocation à la haine raciale. Péan avait déjà gagné ses procès en première instance et en appel. La plus haute juridiction française vient donc clore une affaire qui dure depuis 5 ans. |
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@rib News, 09/11/2011 Déclaration des organisations de la Société civile trente-un mois après l’assassinat d’Ernest MANIRUMVA La justice burundaise doit cesser les manoeuvres dilatoires et compléter les enquêtes sur l’assassinat d’Ernest MANIRUMVA. Trente-un mois après l’assassinat de Monsieur Ernest MANIRUMVA, ancien Vice-président de l’Observatoire de Lutte contre la Corruption et les Malversations Economiques, OLUCOME, la justice burundaise peine à faire la lumière sur ce crime et les enquêtes piétinent. A cette occasion, les organisations engagées dans la Campagne Justice pour Ernest MANIRUMVA : |
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@rib News, 27/10/2011 – Source Xinhua Le secrétaire général du Conseil national de la défense de la démocratie (CNDD, opposition), William Munyembabazi, a été arrêté mercredi soir par les éléments du Service national de renseignement (SNR) burundais, ont annoncé jeudi les médias burundais. Selon cette source, une fouille-perquisition a été opérée au domicile de cette personnalité dont la formation politique appartient à l'Alliance des démocrates pour le changement (ADC), une coalition regroupant une dizaine de partis politiques d'opposition, formée le 31 mai 2010 pour protester contre les résultats des élections communales du 24 mai 2010 dont le parti présidentiel CNDD/FDD est sorti vainqueur. D'après le président de la l'Association pour la protection des droits de l'homme et des détenus (APRODH), Pierre-Claver Mbonimpa, qui a confirmé cette information, à ses connaissances, la police présidentielle n'aurait rien trouvé au terme de la fouille- perquisition au domicile du secrétaire général du CNDD.
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Libération, 09/10/2011 Le comité d’Oslo a couronné, vendredi, deux Libériennes et une Yéménite pour leur action en faveur de la paix. Durant des années, le Liberia a été synonyme d’une atroce guerre civile, où se sont illustrés notamment des contingents d’enfants soldats, drogués et arborant des perruques fantasques. Les temps changent : il est aujourd’hui à l’honneur grâce à sa présidente, Ellen Johnson-Sirleaf, couronnée vendredi par le prix Nobel de la paix, aux côtés d’une autre Libérienne, Leymah Gbowee, surnommée la «guerrière de la paix», et d’une troisième femme, la Yéménite Tawakkol Karman, première femme arabe à recevoir ce prix. |
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@rib News, 07/10/2011 – Source Reuters Le prix Nobel de la paix 2011 a été conjointement attribué vendredi à trois femmes, Ellen Johnson-Sirleaf, la présidente du Libéria, Leymah Gbowee, elle aussi libérienne, et à la Yéménite Tawakkul Karman pour leur lutte non violente pour la sécurité et les droits des femmes. Ellen Johnson-Sirleaf est la première femme à avoir été élue présidente d'un Etat africain. Agée de 72 ans, elle briguera mardi un deuxième mandat. |
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@rib News, 06/10/2011 Burundi : Il faut renforcer le soutien à la Commission nationale des droits de l'homme (Londres, le 6 octobre 2011) – Le gouvernement du Burundi devrait renforcer son soutien à la Commission nationale indépendante des droits de l'homme (CNIDH), récemment mise sur pied, ont déclaré jeudi 6 octobre Amnesty International, le Projet des défenseurs des droits de l’homme de l’Est et de la Corne de l’Afrique et Human Rights Watch. Ces organisations ont ajouté que cet appui du gouvernement était d’autant plus crucial que le Conseil des droits de l'homme de l’ONU avait prématurément mis fin au mandat de l’expert indépendant sur la situation des droits humains au Burundi. |
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● La Burundaise Barankitse lauréate du prix Chirac pour la prévention des conflits AFP, 27/09/2011 La Burundaise Marguerite Barankitse va recevoir le prix 2011 de la Fondation pour la prévention des conflits de l'ex-président Jacques Chirac, "pour son action en faveur des victimes des conflits ethniques au Burundi", a indiqué aujourd'hui la Fondation dans un communiqué. "Maggy" Barankitse recueille des orphelins hutus, tutsis et twas, victimes de la guerre civile qui a éclaté fin 1993 au Burundi. Cette enseignante de 55 ans a notamment créé trois maisons pour accueillir les orphelins, transformées par la suite en structures de réinsertion des enfants dans leur communauté. |
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@rib News, 23/09/2011 – Source Xinhua Le Haut commissariat aux droits de l'homme (HCDH) a appelé vendredi toutes les parties au Burundi à faire preuve de retenue après une attaque meurtrière dimanche dernier par des hommes armés dans un bar populaire de la ville Gatumba située à proximité de la capitale Bujumbura. Des hommes armés ont tué au moins 36 personnes dans un bar populaire le 18 septembre dernier. Personne n'a revendiqué la responsabilité de l'attaque. Ce massacre s'est déroulé dans un contexte de tension grandissante marqué par une série d'assassinats extrajudiciaires qui apparaissent principalement être le fait d'activistes de l'opposition du Front national de libération, a indiqué vendredi Ravina Shamdasani de la part du porte-parole du HCDH, Rupert Colville, dans un communiqué. |
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Jeune Afrique, 23/09/2011 Depuis mercredi, le gouvernement burundais interdit aux médias nationaux de parler du massacre de Gatumba qui a fait 40 victimes. Une censure en bonne et due forme que les journalistes ignorent pour le moment. De son côté, la ministre de l'Information et la Communication, Concilie Nibigira, interrogée le vendredi 23 septembre par Jeune Afrique, invoque la "sécurité nationale". Trois jours de deuil national et un président qui repousse son déplacement à New-York pour se rendre sur les lieux du drame… Cela donne un peu l’ampleur du traumatisme qu’a vécu le Burundi avec le massacre de Gatumba. Dimanche dernier, un groupe armé a attaqué à coups de kalachnikovs et de grenades un bar de cette localité située à 15 km de Bujumbura. Bilan encore provisoire : plus de quarante victimes. |
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RFI, 23 septembre 2011 Les radios privées burundaises refusent de se plier aux injonctions du gouvernement qui leur avait interdit, le mercredi 21 septembre 2011, de parler de l'attaque qui a fait 39 morts dimanche à Gatumba, une localité proche de la capitale Bujumbura. Ces radios et télévision dénoncent une décision qui viole la loi burundaise et engagent un bras de fer avec le pouvoir. Les stations indépendantes du Burundi ont décidé de braver, dès hier, l’interdiction d’évoquer sur les ondes le massacre de Gatumba. Cinq radios et télévisions ont travaillé en synergie tout au long de la journée mettant en commun leur rédaction et leur programme. Au menu, des journaux, des tables rondes et des débats en direct au cours desquels on a commenté et analysé le massacre de Gatumba et les nouvelles violences dans ce pays, sans tenir compte de l’interdiction gouvernementale. |
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Reporters sans frontières, 22 septembre 2011 Alerte - BURUNDI Reporters sans frontières écrit aux autorités burundaises pour demander la levée du black-out médiatique sur le massacre de Gatumba Choquée par la décision des autorités burundaises de suspendre pour un mois les émissions en direct à caractère politique et d'interdire aux médias de couvrir les enquêtes en cours sur le massacre de Gatumba, Reporters sans frontières a écrit, le 22 septembre 2011, au président de la République, Pierre Nkurunziza, et à la ministre des Télécommunications, de l'Information, de la Communication, et des Relations avec le Parlement, Concilie Nibigira. L'organisation leur demande de lever immédiatement le black-out imposé aux médias. Voici le texte de la lettre : |
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RFI, 22 septembre 2011 Le gouvernement du Burundi a interdit ce 21 septembre 2011 aux médias burundais de « publier, commenter ou analyser des informations » sur le massacre de Gatumba du week-end dernier ainsi que sur tous les dossiers en cours d'instruction devant la police et le parquet. Un nouveau tour de vis des autorités, dénoncé par la presse nationale. Tout est parti d’une accusation très grave, portée par le Conseil national de la sécurité burundais mardi soir [20 septembre 2011], par la bouche du ministre de l’Intérieur, Edouard Nduwimana : « Le Conseil national de sécurité déplore le comportement de certains politiciens et certains médias, qui voudraient profiter de cette situation pour semer la confusion, diviser la population et l’inciter à la confrontation ». |
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Human Rights Watch, 20 septembre 2011 Burundi : Les autorités devraient enquêter sur une fusillade mortelle dans un bar Les auteurs de ce massacre ayant fait des dizaines de morts devront être traduits en justice, et non exécutés (Londres, le 20 septembre 2011) – Les autorités burundaises devraient de toute urgence mener une enquête sur le massacre, le 18 septembre 2011, de dizaines de personnes dans un bar populaire de Gatumba, à environ 15 kilomètres à l’ouest de la capitale, Bujumbura, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Le nombre exact de victimes n’est pas encore confirmé mais selon les premières informations recueillies, plus de 30 personnes ont vraisemblablement été tuées. Dans le cadre de leur recherche des auteurs du massacre, les autorités devraient user de la force minimale nécessaire et traduire les auteurs présumés en justice, et non procéder à des exécutions extrajudiciaires. |
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@rib News, 20/09/2011 La Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme (CNIDH) du Burundi « Condamne sans réserve le massacre de paisibles citoyens au bar "chez les amis" de Gatumba », dans une déclaration transmise mardi à ARIB.INFO. Elle « Condamne avec la même énergie les cas d’assassinats ciblés constatés ici et là dans le pays ». La CNIDH affirme que « Cette attaque survient au lendemain de plusieurs cas d’assassinats ciblés dans certaines localités du pays où des cadavres sont découverts et enterrés sans que, dans la plupart des cas, des enquêtes ne soient diligentées pour élucider les circonstances dans lesquelles les victimes ont été tuées, identifier les auteurs et les poursuivre en justice. » La CNIDH demande au Gouvernement burundais « D’arrêter et poursuivre conformément à la loi les auteurs du massacre de Gatumba et des crimes d’assassinat précédents, quelques soient leurs groupes d’appartenance, leurs corps d’origine, leur position politique et cela conformément à la loi. » Lire l’intégralité de la Déclaration
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PANA, 12 septembre 2011 Bujumbura, Burundi - Le Forum pour le renforcement des capacités de la Société civile (FORSC, 146 organisations membres) a appelé, lundi, le gouvernement burundais à vulgariser, dans l’opinion nationale, le contenu de la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la Bonne gouvernance. "C’est un important instrument juridique de bonne gouvernance qui mérite d’être connu du large public", a estimé le représentant du FORSC à une conférence publique dans la capitale burundaise. |
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@rib News, 08/09/2011 Burundi : Communication au comité technique chargé de réviser la loi relative à la Commission nationale pour la vérité et la réconciliation Index AI : AFR 16/008/2011 - Date : 7 septembre 2011 Le comité technique chargé de réviser la Loi portant mission, composition, organisation et fonctionnement de la Commission nationale pour la vérité et la réconciliation (CVR) – adoptée en 2004 au Burundi – doit proposer des changements significatifs, a déclaré Amnesty International dans une communication présentée au Comité cette semaine. Ces modifications sont essentielles pour que les victimes d’atteintes aux droits humains commises lors des décennies de violence et de conflit qui ont déchiré le Burundi obtiennent vérité, justice et réparation. |
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@rib News, 06/09/2011 Le président de l’APRODH, une association de défense des droits de prisonniers, Pierre Claver Mbonimpa, dénonce l’existence d’un plan de « nettoyage » des membres des partis de l’opposition. Ce plan est dénommé « Safisha », mot swahili signifiant « nettoyer ». « Nous apprenons qu’il y a une opération dénommée Safisha contre les membres des partis d’opposition et surtout ceux des FNL » a annoncé ce week-end le président de l’APRODH. |
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RFI, 03 septembre 2011 Cinq membres des Forces nationales de libération (FNL) d'Agathon Rwasa, campent au siège de la Commission nationale indépendante des droits de l'homme depuis le 1er septembre 2011. Ils se disent menacés par les Imbonerakure, les membres de la Ligue des jeunes du parti au pouvoir et la police présidentielle. Les cinq jeunes hommes vivent dans une salle dénuée de la Commission nationale indépendante des droits de l'homme (CNIDH). Les seuls meubles sont une table et une chaise. Ils ont l'air pris au piège et refusent de se laisser photographier ou de donner leur nom. L'un d'eux souffle un prénom : « Aaron ». |
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@rib News, 02/09/2011 – Source Xinhua Cinq membres du parti d’Agathon Rwasa en exil qui craignent pour leurs sécurités et qui veulent faire certaines révélations ont décidé de se rendre jeudi au siège de la Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme (CNIDH) pour y chercher refuge. « Nous fuyons la persécution à l'endroit des fidèles d'Agathon Rwasa qui sont tués chaque jour au vu et au su de tout le monde. Nous sommes venus ici pour demander refuge même si nous savons qu'ils peuvent venir nous retrouver ici pour nous tuer. |
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@rib News, 01/09/2011 – Source Xinhua L'ONG PARCEM (Parole et action pour le réveil des consciences et l'évolution des mentalités) se dit très préoccupée par la situation carcérale au Burundi où les détenus se comptent à 11 136 pour une capacité d’accueil de 4050 personnes et demande au gouvernement de procéder au désengorgement des prisons avant le 1er juillet 2012. « Devant cette situation, PARCEM demande au gouvernement d' ordonner le ministère public, les Cours et tribunaux de procéder au désengorgement des prisons en libérant toutes les personnes de toutes les catégories qui sont en situation de détention illégale avant la célébration du 50ème anniversaire de l'indépendance le 1er juillet 2012. |
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RFI, 30 août 2011 Patrice Faye, un Français de 58 ans qui vient d'être condamné à 25 ans de prison et qui a toujours clamé son innocence, va mal. Mais, premier signe d'espoir peut-être, il a rencontré longuement hier, lundi 29 août 2011, l'ombudsman, le médiateur burundais qui a visité la prison centrale de Mpimba, où il est détenu. Patrice Faye est apparu le visage émacié, mangé par une barbe de plusieurs jours et les traits tirés, dans l’uniforme vert que portent les prisonniers burundais. Le président de l'APRODH, l'association pour la protection des droits humains et des personnes détenues, a pu l’approcher. |
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RFI, 26 août 2011 Patrice Faye, un Français de 58 ans, a été condamné récemment à 25 ans de prison pour viol sur mineures au Burundi. Cet homme, très connu dans le pays où il s'est investi depuis plus de trente ans dans des activités humanitaires et culturelles refuse depuis quelques jours les visites de ses amis. Il refuse également de se nourrir. Sa vie serait en danger. Patrice Faye semblait tenir le coup jusqu’ici. Mais depuis une semaine environ, tout a changé, « un peu comme si un ressort s’était cassé », selon les membres de son comité de soutien à Bujumbura. |
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@rib News, 16/08/2011 - Source RFI Patrice Faye est ce Français de 58 ans condamné à 25 ans de prison au Burundi pour viols, et qui clame son innocence. Ses proches s'inquiètent de la dégradation de sa santé. Ils se mobilisent pour obtenir sa libération et un procès équitable en appel. Son fils, Gaël, est allé à Bujumbura début juillet. Il a pu parler à son père et dénonce des conditions d'incarcération exécrables : « Mon père vit dans des conditions vraiment sordides. |
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