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Droits de l'Homme
Human Rights Watch, 23 novembre 2010 Les journalistes, la société civile et les partis de l’opposition sont victimes de harcèlement et de restrictions (Nairobi, le 23 novembre 2010) - À la suite des élections locales et nationales agitées qui se sont déroulées au Burundi de mai à septembre 2010, la société civile, les médias et les partis d'opposition sont soumis à une répression accrue, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd'hui. Le rapport de 75 pages, intitulé « Des portes qui se ferment ? Réduction de l'espace démocratique au Burundi », décrit les exactions commises, notamment des actes de torture, des arrestations arbitraires, l'interdiction d'activités de l'opposition, ainsi que le harcèlement des associations de la société civile. Human Rights Watch a appelé le gouvernement à mettre fin à ces exactions et à renforcer les mécanismes institutionnels visant à promouvoir l'obligation, pour les agents du gouvernement et les forces de sécurité, de rendre compte de leurs actes. |
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@rib News, 11/11/2010 Le journaliste et directeur de l’agence de presse en ligne Net Press, Jean-Claude Kavumbagu, va rester en prison, a décidé ce jeudi la Cour d’appel de Bujumbura qui avait mis l’affaire en délibéré mardi dernier 09 novembre. Le directeur de Net Press est en détention provisoire depuis le 17 juillet sur l’accusation de « haute trahison » pour avoir écrit, au lendemain des attentats de Kampala le 11 juillet dernier, que « les forces de sécurité burundaises sont incapables de contrer les attaques des Shebab somaliens » parce qu’« elles sont occupées à piller et à tuer la population qu’elles devraient sécuriser ». |
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APA, 08-11-2010 Bujumbura (Burundi) - L’expert indépendant des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme au Burundi, Fatsah Ouguergouz, effectue à partir de ce lundi une visite d’une dizaine de jours au Burundi, annonce un communiqué du Haut Commissariat aux Droits de l’Homme. Nommé en juin dernier en remplacement de Akich Okola qui a été pendant six ans à ce poste, il mettra à profit sa visite pour prendre contact avec les autorités de ce pays, les organisations de la société civile, et les membres du corps diplomatique accrédités au Burundi, afin de recueillir des informations sur la situation des droits de l’homme au Burundi. |
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RSF, 7 novembre 2010 BURUNDI : Deux journalistes d’Iwacu détenus pendant 48 heures sans qu’aucune charge ne leur ait été signifiée Reporters sans frontières prend acte de la remise en liberté, ce 7 novembre 2010, à 12 heures 30, d’Elyse Ngabire et de Dieudonné Hakizimana, deux journalistes employés par le journal Iwacu. Ces derniers avaient été arrêtés le 5 novembre dernier et ont été détenus au secret près de 48 heures. Nul ne connaît les faits qui leur sont reprochés. Les deux journalistes doivent se présenter le 9 novembre prochain devant le commissaire de police de Bujumbura, Arthémon Nzitabakuze. |
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@rib News, 07/11/2010 - Source AFP Deux journalistes d'un hebdomadaire indépendant sont détenus depuis vendredi à Bujumbura, capitale du Burundi, après avoir rencontré un ancien rebelle en détention, a-t-on appris dimanche de source policière et auprès de leur avocat. "Deux journalistes du journal Iwacu, Elise Ngabire et Dieudonné Hakizimana, ont été arrêtés vendredi alors qu'ils revenaient de la prison de Mpimba où ils étaient aller visiter un proche", a annoncé leur avocat, Me Jean de Dieu Muhunzenge. |
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@rib News, 06/11/2010 DECLARATION DU JOURNAL IWACU 1. Le journal IWACU a appris avec stupeur l'arrestation de ses deux journalistes, Madame Elyse Ngabire et Dieudonné Hakizimana. 2. Les deux journalistes ont été arrêtés vendredi vers 13 heures à la sortie de la prison de Mpimba alors qu'ils étaient allés rendre une visite privée à un détenu. |
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APA, 28-10-2010 Bujumbura (Burundi) - Les journalistes Domitille Kiramvu, Raymond Zirampaye et Bonfils Niyongere de la radio privée RPA (Radio Publique Africaine) ont comparu jeudi devant le procureur de la République à Bujumbura dans une affaire les opposant au maire de la ville, M. Evrard Giswaswa qui s’est plaint « d’outrage et de dénonciation calomnieuse ». Ce n’est que vers 16 heures locales que les trois journalistes ont été libérés pour comparaître à une date ultérieure qui n’a pas été précisée. Leurs avocats ont reçu l’ordre de ne rien dire à la presse. |
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MISNA, 27/10/2010 "Le plaidoyer pour la promotion du dialogue entre les partenaires politiques, tout comme la dénonciation de la violation des droits de l'homme n'ont rien à voir avec le soutien d'un quelconque groupe politique", ont affirmé neuf mouvements de la société civile burundaise lors d'une réunion avec le ministre de l'Intérieur, Edward Nduwimana. Selon l'agence Net Press, la réunion, organisée par le ministère de l'Intérieur, aspirait à atténuer les tensions dernièrement apparues entre le régime et les organisations de défense des droits de l'homme, à la suite d'une vague de violences et de meurtres dans le pays. |
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@rib News, 26/10/2010 Déclaration des organisations de la Société civile à la suite de leur rencontre avec le Ministre de l’Intérieur le 20 octobre 2010 Les organisations de la société civile expriment leur préoccupation suite aux menaces qui pèsent sur l’APRODH et son président. En date du 20 octobre 2010, cinq organisations de la société civile burundaise – APRODH, FORSC, Ligue ITEKA, OAG et OLUCOME – ont été reçues, sur sa demande, par le Ministre de l’Intérieur, Monsieur Edouard NDUWIMANA. A l’issue de cette audience, les organisations de la société civile (OSC) signataires de la présente déclaration tiennent à exprimer ce qui suit : |
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@rib News, 24/10/2010 Le porte-parole de la police burundaise Pierre Channel Ntarabaganyi s’est insurgé contre les déclarations « gratuites » du président de l’Association des Défense des Droits de l’Homme et des Prisonniers (APRODH) Pierre Claver Mbonimpa. Selon Ntarabaganyi, le président de cette organisation de la société civile a accusé la police burundaise d’avoir exécuté des civils sans raisons valable, au nord ouest du Burundi, dans la province de Cibitoke, il ya quelques jours. « Nous luis demandons d’arrêter ces accusations gratuites », a demandé mercredi le porte-parole de la police au président de l’APRODH,.D’ailleurs, ajoute Ntarabaganyi, le président de l’APRODH s’est fait le porte-parole des malfaiteurs et ne défend jamais la police burundaise qui ne cesse d’être accusée par des gens mal intentionnés. |
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@rib News, 16/10/2010 – Source AFP Au moins 22 militants de l'ex-rébellion des Forces nationales de libération (FNL) ont été victimes d'exécutions extrajudiciaires en septembre 2010, a dénoncé samedi le président de l'Association pour la protection des personnes détenues et des droits humains. « Ce qui se passe au Burundi est très alarmant. Beaucoup de personnes sont arrêtées par la police, puis elles disparaissent et on les retrouve mortes quelques temps après. Rien qu'en septembre, on a dénombré 22 victimes d'exécutions extrajudiciaires », a affirmé le président de l'Aprodeh, Pierre Claver Mbonimpa. |
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@rib News, 08/10/2010 – Source Associated Press Le dissident chinois Liu Xiaobo, actuellement en détention, a obtenu vendredi le prix Nobel de la paix 2010. Le comité Nobel norvégien distingue ainsi le "plus grand symbole" du combat pour les droits de l'Homme en Chine. Liu Xiaobo est récompensé "pour son long combat, non violent, pour les droits fondamentaux de l'Homme en Chine". Le Comité Nobel norvégien ajoute croire depuis longtemps qu'il existe un "lien étroit" entre la paix et les droits de l'Homme. |
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Voice of America, 7 octobre 2010 Faustin Ndikumana un de ses responsables de la Radio Publique Africaine (RPA) – station partenaire de Voice of America au Burundi – a été transféré à la prison centrale de Mpimba, à Bujumbura. L’avocat François Nyamoya, défenseur des droits de l’Homme, est en détention depuis plus d’une semaine. Me Nyamoya est toujours détenu à la prison centrale suite à son interpellation, le mois dernier, pour « diffamation » sur plainte du patron des services secrets burundais, a expliqué Philbert Musohozi, rédacteur en chef de la RPA. |
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RFI, 05 octobre 2010 La Radio publique africaine (RPA), l'une des stations privées les plus écoutées au Burundi, est soupçonnée par les autorités d’être derrière les nouvelles violences que connaît le pays. Des accusations rejetées par les responsables de la RPA qui parlent de harcèlement. A leur tour, ils accusent les services secrets burundais de vouloir les impliquer à tout prix dans ces violences pour pouvoir s'en débarrasser. Car la radio dérange. En deux semaines, plus d'une trentaine de personnes ont été tuées. |
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@rib News, 05/10/2010 – Source AFP La Radio publique africaine (RPA), une des stations privées les plus populaires du Burundi, a dénoncé mardi "le harcèlement" du pouvoir après la convocation par la police de plusieurs de ses cadres administratifs et journalistes. Faustin Ndikumana, le responsable des transports de la radio, est "détenu dans un cachot de la Documentation (services secrets) depuis 16 jours", a indiqué le secrétaire général de cette radio, André Palice Ndimurukundo. "La RPA est en train de subir un harcèlement de la part du pouvoir", a-t-il dénoncé. |
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@rib News, 03/10/2010 Par le biais de son avocat Me Déogratias Ndikumana, le Directeur général de la documentation nationale (services secrets, police présidentielle), Général Adolphe Nshimirimana, met en garde Me Bernard Maingain l’un des avocats de Me François Nyamoya incarcéré depuis quatre jours pour « insultes et dénonciations calomnieuses ». « Il ne faut pas que Bernard Maingain se précipite a dire beaucoup de choses sur le Burundi, sinon il risque des poursuites comme cela a été le cas au Rwanda avec l’avocat américain », a déclaré vendredi Me Déogratias Ndikumana au cours d’une conférence. |
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Reporters sans frontières, 1er octobre 2010 Burundi : La principale radio d’opposition subit l’oppression des autorités Reporters sans frontières dénonce l’acharnement des autorités burundaises à l’encontre des journalistes de Radio Publique Africaine (RPA), station associative liée au principal parti d’opposition Mouvement pour la solidarité et le développement (MSD). Au cours des dernières semaines, l’organisation a recensé plusieurs tentatives de déstabilisation pour le moins préoccupantes. La stigmatisation de RPA par le gouvernement burundais et la multiplication des arrestations de ses membres sont inacceptables. Nous craignons que ces mesures de rétorsion ne se concluent par la fermeture définitive de la station. Fondée par l’ancien journaliste et candidat à l’élection présidentielle, Alexis Sinduhije, principal initiateur du MSD, et considérée par le pouvoir comme la voix du parti d’opposition, la radio subit les conséquences des tensions politiques faisant suite aux consultations électorales de l’été dernier. |
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Info Sud, 1er octobre 10 Carole Vann Bujumbura a réussi à faire reporter l’examen devant le Conseil des droits de l’homme. Malgré la réélection du président Nkurunziza en juin 2010, opposants, activistes et journalistes sont harcelés, emprisonnés et menacés de mort. A peine sorti de la guerre, le Burundi replonge dans la violence. Rien que la semaine dernière, 14 corps ont été retrouvés à une dizaine de kilomètres de la capitale Bujumbura. Harcèlements, arrestations arbitraires, menaces de mort et exécutions sommaires se multiplient trois mois après l’élection du président Pierre Nkurunziza avec 92% des votes. Premiers visés, les défenseurs des libertés, les journalistes et les opposants politiques, dont plusieurs ont pris la voie de l’exil. Les organisations internationales et l’ONU tirent la sonnette d’alarme, en vain. En juin, la représentante de Human Rights Watch (HRW), Neela Ghoshal, en poste depuis trois ans dans ce pays des Grands lacs, était expulsée. |
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PANA, 28/09/2010 Bujumbura, Burundi - Me François Nyamoya du barreau des avocats du Burundi, a été arrêté lundi, et conduit directement à la prison centrale de Bujumbura sous le chef d'accusation de "propos injurieux" envers le patron du Service national du renseignement (SNR), le général Adolphe Nshimirimana, pour l'avoir traité la veille de "bandit" sur les antennes d'une radio locale, a appris la PANA, de source judiciaire dans la capitale burundaise. Le prévenu est en même temps le porte-parole officiel du Mouvement pour la solidarité et la démocratie (MSD), un parti de l'opposition radicale au pouvoir en place au Burundi. |
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@rib News, 28/09/2010 – Source AFP Les corps d'au moins quatre militants de l'opposition figurent parmi les quatorze cadavres découverts récemment à l'embouchure d'une rivière en périphérie de Bujumbura, a indiqué mardi une association burundaise de défense des droits de l'Homme. "Quatre corps ont été identifiés sans l'ombre d'un doute et sont ceux d'anciens combattants du parti FNL (ex-rébellion hutu des Forces nationales de libération)", a déclaré Pierre Claver Mbonimpa, président de l'Association pour la protection des personnes détenues et des droits humains (Aprodeh). |
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@rib News, 27/09/2010 – Source Xinhua L'avocat burundais François Nyamoya, secrétaire général du Mouvement pour la solidarité et la démocratie (MSD), a été arrêté et conduit à la prison centrale de Mpimba à Bujumbura sous l'inculpation de propos diffamatoires dans une émission publique à l'endroit de l'Administrateur directeur général du Service national des renseignements (police présidentielle), le Général Adolphe Nshimirimana. "Le procureur de la République m'a accusé d'avoir tenu des propos diffamatoires à l'endroit d'Adolphe Nshimirimana, l'Administrateur Directeur Général du Service National des Renseignements le 18 septembre 2010 dans une émission publique diffusée par la radio locale RPA", a déclaré M. Nyamoya à la presse au sortir de sa comparution dans le bureau du procureur en mairie de Bujumbura. |
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Libération, 24/09/2010 Interview w Questions à Neela Ghoshal Chercheuse à Human Rights Watch Par SABINE CESSOU Neela Ghoshal est une chercheuse américaine de Human Rights Watch. Elle a été expulsée du Burundi en mai, après la publication d’un rapport sur les violences préélectorales. Depuis Nairobi, elle s’inquiète de la situation, alors qu’au moins de 11 personnes ont été tuées la semaine dernière. Pourquoi ces violences ? Certains membres du Front de libération nationale (FLN), le principal parti d’opposition, sont soupçonnés d’être dans le maquis. Des policiers et des militaires sont également en train de déserter, parmi lesquels des Tutsis, l’ethnie minoritaire au Burundi. Une dynamique d’opposition semble se créer, sur une base violente, mais qui n’est plus ethnique. |
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@rib News, 24/09/2010 – Source Xinhua La police du Burundi procède ces derniers jours à une vague d’arrestations de personnes pour faire des enquêtes sur des cas d’insécurité observés depuis un bon bout de temps à travers le pays et spécialement dans la réserve naturelle de la Rukoko à une quinzaine de Km de Bujumbura la capitale. L’Association pour la Protection des Droits de l’Homme et des Personnes Détenues (APRODH) salue le fait d’arrêter des gens, mais demande que la police indique leurs lieux de détention. |
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@rib News, 24/09/2010 et d'après Xinhua Le juge burundais Gérard Niyungeko a été élu président de la Cour africaine des droits de l’Homme et des Peuples, le 20 septembre 2010 à Dar Es-Salaam en Tanzanie lors des travaux de la 18ème session de cette Cour. Un communiqué de presse, publié par la Cour à Dar Es-Salaam le 21 de ce mois, indique que le Burundais Gérard Niyungeko sera secondé dans ces fonctions qu'il occupe pour la deuxième fois par la ghanéenne Sophia A. B. Akuffo qui, elle, a été réélue comme Vice-présidente de cette Cour le même jour. Ils présideront aux destinées de cette Cour pendant deux ans. |
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@rib News, 23/09/2010 Les journalistes de certains médias privés de Bujumbura se sont vus refuser l’entrée dans à une conférence de presse organisée jeudi au palais présidentiel lors du retour du président de l’Inde, alors qu’au départ des invitations avaient été délivrées par la présidence de la République et qu’aucune exception n’avait été faite, chaque média ayant été invité. Devant le palais présidentiel, les choses ont tourné autrement, a-t-on constaté sur place. Seuls les journalistes de la Radio télévision Nationale (RTNB) et de la Radio Télévision Salaam ont eu l’accès à la conférence animée par le président de la République dès son retour à Bujumbura. Les radios Rema FM, Bonesha FM, Isanganiro, RT Renaissance et la RPA n’ont pas pu accéder à la salle de conférence. |
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