La Libre Belgique, 6 janvier 2020 La ligue de défense des droits de l’Homme burundaise, Iteka, indique que « au moins 86 personnes ont été tuées » entre octobre et décembre derniers. Il s’agit surtout de membres de l’opposition. |
Lire la suite...
|
|
La Libre Belgique, 28 décembre 2019 Dans un récent colloque organisé à Bruxelles, à l’initiative de la communauté arménienne, sur la répression en Belgique du négationnisme des génocides, Me Bernard Maingain a évoqué la difficulté de prévenir un génocide au Burundi où un « processus génocidaire » peut être considéré comme en cours. Il est membre d’un collectif d’avocats qui défend de nombreuses victimes de la répression dans ce pays et qui a amené le dossier devant la Cour pénale internationale (CPI). La Libre Afrique.be l’a interrogé. |
Lire la suite...
|
|
Human Rights Watch, 12 décembre 2019 Tanzanie : Les réfugiés burundais subissent des pressions pour quitter le pays Des manœuvres d’intimidation intensifiées à l’encontre de 163 000 Burundais refugiés et demandeurs d’asile (Nairobi) – La crainte de subir des violences, d’être arrêtés et d’être expulsés pousse un grand nombre des quelque 163 000 réfugiés et demandeurs d’asile burundais en Tanzanie à quitter le pays. Les autorités tanzaniennes ont également rendu très difficile pour le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) de vérifier si la décision récente de centaines de réfugiés de retourner au Burundi était réellement volontaire. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 10/12/2019 – Source Human Rights Watch Publié dans Mail & Guardian Lorsqu’un agriculteur d’une province du nord du Burundi affectée par la sécheresse s’est vu demander de donner sept kilogrammes de haricots et de maïs à des membres de la ligue des jeunes du parti au pouvoir, il était stupéfait. « Pourquoi nous prennent-ils nos ressources alors que c’est nous qui avons besoin d’aide ? », a-t-il dit. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 09/12/2019 – Source Reuters L’ONG américaine Human Rights Watch indique dans son dernier rapport que les membres de la ligue des jeunes extorquent des citoyens pour de l’argent et de la nourriture pour des montants variant entre 0,9 et plus de 450 €. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 09/12/2019 COMMUNIQUE DE PRESSE N°12/OLUCOME/12/2019 PORTANT SUR LA CELEBRATION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION AU BURUNDI « Etant donné que la corruption est l’ennemi numéro un de la sécurité, de la paix, des droits humains, de la démocratie, de la gouvernance et du développement durable pour tous, les candidats aux élections de mai 2020 devraient montrer aux burundais comment ils comptent éradiquer ce cancer qui a rongé tous les sphères de l’Etat burundais. » |
Lire la suite...
|
|
RFI, 06-12-2019 Human Rights Watch publie un rapport sur les abus liés aux contributions volontaires pour financer les élections de 2020 au Burundi. Le gouvernement organise une campagne nationale depuis fin 2017 pour récolter des dons afin d'avoir assez de fonds pour organiser ces élections. Mais d'après le rapport de l'ONG, ces contributions sont en fait des versements rendus obligatoires notamment par les Imbonerakure, la ligue jeune du parti au pouvoir, le CNDD-FDD. |
Lire la suite...
|
|
Human Rights Watch, 6 décembre 2019 Burundi : Les « contributions volontaires » pour les élections ouvrent la porte aux abus Les jeunes du parti au pouvoir devraient être contrôlés et justice devrait être rendue (Nairobi) – Les autorités locales et les membres de la ligue des jeunes très redoutée du parti au pouvoir du Burundi ont extorqué des dons pour les prochaines élections de 2020, dans de nombreux cas par la menace ou la force, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui. Des membres de la ligue des jeunes, les Imbonerakure, ont bloqué l’accès aux services publics de base pour des personnes ne pouvant présenter un reçu pour le paiement de la contribution. |
Lire la suite...
|
|
Human Rights Watch, 4 décembre 2019 Les dirigeants africains devraient attirer l’attention sur la pression qu’exerce la Tanzanie sur les réfugiés en vue de leur retour au Burundi Déclaration conjointe d’organisations de la société civile À l’approche du Dialogue de haut niveau de l’Union africaine (UA) sur les déplacements des populations qui doit se tenir du 4 au 6 décembre en Ouganda, des ONG africaines et internationales appellent les dirigeants africains et les organisations régionales à prier instamment le gouvernement de la Tanzanie de cesser de faire pression sur les 163 000 réfugiés et demandeurs d’asile pour qu’ils retournent au Burundi, où des violations graves des droits humains continuent d’être commises contre des sympathisant·e·s déclarés ou présumés de l’opposition, notamment des réfugié e·s qui sont rentrés au pays. |
Lire la suite...
|
|
Le Monde, 22 novembre 2019 Les reporters d’« Iwacu » sont accusés de « complicité d’atteinte à la sécurité de l’Etat ». Le pays est à la 159e place du classement mondial de la liberté de la presse de RSF. C’était il y a un mois, jour pour jour. Le 22 octobre, vers midi, quatre journalistes d’Iwacu, un des derniers journaux indépendants du Burundi, sont envoyés par leur rédaction au nord-ouest de Bujumbura, dans la région de Bubanza. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 21/11/2019 – Source Xinhua Le représentant résidant du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) au Burundi, Jeremy Hopkins, a félicité mercredi à Bujumbura le gouvernement burundais pour les "progrès remarquables" déjà marqués dans la protection des droits de l'enfant. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 09/11/2019 COMMUNIQUE DE PRESSE N°011/OLUCOME/11/2019 PORTANT SUR L’EMPRISONNEMENT INJUSTE DE QUATRES JOURNALISTES DU GROUPE DE PRESSE IWACU ET LEUR CHAUFFEUR. « La liberté de la presse et le droit à l’information doivent être respecté par les autorités burundaises. Les journalistes arrêtés en train d’exercer leur métier et cloués en prison injustement devraient être libérés dans l’immédiat et sans condition. » |
Lire la suite...
|
|
Human Rights Watch, 29 octobre 2019 Tanzanie : Des demandeurs d’asile contraints à retourner au Burundi Des centaines de Burundais vivant dans un camp ont été visés (Nairobi) – Les autorités tanzaniennes ont contraint de manière illégale plus de 200 demandeurs d’asile non enregistrés à rentrer au Burundi le 15 octobre 2019, en menaçant de leur retirer leur statut légal en Tanzanie, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. |
Lire la suite...
|
|
La Libre Belgique, 28 octobre 2019 Amnesty International, la Fédération internationale des Journalistes et Reporters sans Frontières ont demandé la libération de quatre journalistes burundais accusés d'"atteinte à la sûreté de l'Etat" pour un reportage. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 26/10/2019 – Source Agence Anadolu Plusieurs voix se sont élevées pour appeler les autorités burundaises à libérer les 4 reporters du journal Iwacu, privé, et leur chauffeur, arrêtés mardi à Musigati, dans le nord-ouest du pays, suite à des combats entre les forces de l’ordre et des rebelles. |
Lire la suite...
|
|
RFI, 26-10-2019 Quatre journalistes burundais ont été arrêtés la semaine dernière. Un nouvel exemple des restrictions de la liberté de la presse dans le pays à l'approche de la présidentielle de 2020. Les quatre journalistes et leur chauffeur se rendaient dans la province de Bubanza pour couvrir des affrontements entre les forces de l'ordre et un groupe de rebelles burundais venus de République démocratique du Congo voisine lorsqu’ils ont été arrêtés mardi 22 octobre. |
Lire la suite...
|
|
RFI, 25-10-2019 Des experts de l’ONU appellent Bujumbura à libérer Germain Rukuki, arrêté il y a deux ans au Burundi. Ce membre de l’ONG Acat, l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture, a été condamné à 32 ans de prison, notamment pour « participation à un mouvement insurrectionnel ». |
Lire la suite...
|
|
Human Rights Watch, 24 octobre 2019 Burundi : Des journalistes et un chauffeur arrêtés pendant un reportage Les pressions sur la liberté d’expression s’accentuent à l’approche des élections (Nairobi) – Les autorités du Burundi devraient libérer immédiatement et sans condition quatre journalistes et leur chauffeur arrêtés le 22 octobre 2019 alors qu’ils étaient en reportage pour le journal Iwacu dans la province de Bubanza. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 30/09/2019 – Source AFP Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a prolongé d’un an deux commissions d’enquête internationales indépendantes sur le Burundi et la Syrie. La première avait récemment dénoncé des violations dans tout le Burundi dans le contexte pré-électoral avant la présidentielle prévue en 2020 dans ce petit pays d’Afrique centrale plongé dans une profonde crise depuis quatre ans et demi. |
Lire la suite...
|
|
@rib News, 24/09/2019 – Source Xinhua Burundi : la CNIDH qualifie la situation des droits de l'homme du pays de "bonne" à l'approche des prochaines échéances électorales La situation des droits de l'homme est "bonne" au Burundi à l'approche des élections de 2020, a déclaré, lundi à Bujumbura, Sixte Vigny Nimuraba, président de la Commission nationale indépendante des droits de l'homme (CNIDH) du Burundi. |
Lire la suite...
|
|
Deutsche Welle, 20.09.2019 Un rapport des Nations unies sur les droits humains accable les autorités burundaises La Commission des droits de l'homme de l'ONU met directement en cause le président burundais dans des actes de violations des droits humains. Le pouvoir burundais répond qu’il s’agit d’un complot de pays étrangers. |
Lire la suite...
|
|
Human Rights Watch, 19 septembre 2019 Tanzanie : Les Burundais qui fuient les abus devraient être protégés Il faut s’assurer que les retours sont volontaires (Nairobi) – La Tanzanie devrait assurer la protection sur son territoire des réfugiés burundais qui fuient des abus généralisées dans leur pays, au lieu d’exiger qu’ils retournent au Burundi contre leur volonté. |
Lire la suite...
|
|
Human Rights Watch, 19 septembre 2019 La famille mérite qu’une enquête complète soit menée et que justice soit rendue De nouvelles informations reçues par la Commission d’enquête des Nations Unies sur le Burundi viennent corroborer ce que beaucoup suspectaient depuis longtemps : Marie-Claudette Kwizera, la trésorière du groupe burundais Ligue Iteka, a été prise pour cible en raison de son travail de défense des droits humains et a été assassinée. |
Lire la suite...
|
|
BBC Afrique, 17 septembre 2019 Une commission chargée d'enquêter sur les abus commis au Burundi a conclu que le Président Pierre Nkurunziza est personnellement responsable des violations graves. Elle a présenté son rapport final devant le Conseil international des droits de l'homme à Genève. |
Lire la suite...
|
|