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Politique
@rib News, 25/01/2012 – Source Xinhua Le premier vice-président burundais Térence Sinunguruza a déclaré mercredi que la mise en place d'une Commission Vérité Réconciliation (CVR) contribuerait " à tourner la page de la sombre histoire du pays". Lors d'une rencontre avec les représentants de la société civile et des confessions religieuses, M. Sinunguruza a insisté sur la nécessité de connaître la vérité, de se réconcilier, de rendre justice et de trouver des mécanismes pour que les crimes ne se reproduisent plus. |
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RFI, 24 janvier 2012 L’opposant burundais Alexis Sinduhije a été libéré ce mardi 24 janvier 2012 par la police tanzanienne et expulsé vers l’Ouganda. Il avait été arrêté à Dar es-Salaam, il y a deux semaines, à la demande du parquet burundais. Bujumbura regrette ce geste « inamical » de la part d’un pays voisin, tandis que l’opposition parle d'un « camouflet » infligé au pouvoir burundais. Il semble que l’affaire se soit dénouée un peu dans la précipitation. Un des avocats de Sinduhije a effectivement été surpris en apprenant, ce matin, que son client avait déjà quitté la Tanzanie alors qu’une audience était prévue devant le juge à 9h00. Il s’agissait de statuer sur la légalité de son arrestation et de sa détention prolongée. Un de ses avocats avait déposé, à ce sujet, une requête pour obtenir sa libération « pour vices de procédure ». |
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MISNA, 24 janvier 2012 Les autorités tanzaniennes ont libéré Alexis Sinduhije, dirigeant du parti d’opposition burundais ‘Mouvement pour la solidarité et la démocratie’ (Ms), arrêté le 11 janvier à Dar es-Salaam. « Malgré la pression de Bujumbura, les autorités tanzaniennes ont relâché Alexis ce matin parce qu’il n’y avait aucune accusation (du gouvernement burundais) soutenue par des preuves. Alexis a quitté la Tanzanie », ont écrit des sources proches de l’ancien journaliste entré en politique en 2007, exprimant leur satisfaction pour le comportement des autorités de Dar es-Salaam. Selon d’autres sources, M. Sinduhije serait en ce moment en Ouganda. |
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@rib News, 24/01/2012 – Source Xinhua Le président du Mouvement pour la solidarité et la démocratie (MSD, opposition burundaise) Alexis Sinduhije a été libéré mardi en Tanzanie où il était détenu depuis le 11 janvier, a rapporté la Radio Publique Africaine. Alexis Sinduhije a été libéré mardi matin et escorté par la police tanzanienne jusqu'à l'aéroport international de Dar-Es- Salam où il a pris l'avion pour Kampala en Ouganda. |
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@rib News, 24/01/2012 – Source AFP Les autorités tanzaniennes ont libéré mardi l'un des principaux opposants burundais, Alexis Sinduhije, arrêté à Dar es-Salaam il y a deux semaines sur demande du parquet burundais, puis l'ont expulsé vers l'Ouganda d'où il était venu, ont déclaré des responsables et son avocat. « Nous venons de l'apprendre, les autorités tanzaniennes n'ont pas voulu donner suite à notre demande d'extrader Alexis Sinduhije vers le Burundi et ont préféré l'expulser vers l'Ouganda ce matin », a annoncé un haut responsables des services de sécurité burundais, sous couvert d'anonymat. |
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@rib News, 23/01/2012 – Source Xinhua Le Front pour la démocratie au Burundi (FRODEBU) a rejeté lundi la demande du ministre de l'Intérieur exigeant aux formations politiques burundaises agréées de déposer à son ministère tous les documents attestant la légalité de leurs partis, y compris les dossiers des membres fondateurs depuis les périodes d'agrément. Léonce Ngendakumana, président du FRODEBU et président en exercice de l'Alliance des démocrates pour le changement (ADC, coalition d'opposition), a précisé lundi au cours d'un point de presse que son parti dénonce les manœuvres du pouvoir de vouloir « faire disparaître et rayer » de la liste des formations politiques les partis politiques d'opposition. |
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RFI, 23 janvier 2012 Il y a une quinzaine de jours, un des principaux opposants burundais, le président du parti MSD, était arrêté à Dar es Salaam en Tanzanie. Un dossier qui semble avoir été géré dans la plus grande confusion à Bujumbura. La semaine qui s'ouvre s'annonce décisive et à moins d'un retournement de dernière minute, la balance pencherait en faveur de la relaxe d’Alexis Sinduhije, selon des sources diplomatiques à Dar es Salaam. Bujumbura, expliquent ces sources, aurait mis dans l’embarras le gouvernement tanzanien par son indécision et le double langage constaté dans la gestion du cas de l’opposant burundais Alexis Sinduhije. Ce n’est en effet que vendredi 20 janvier, c’est-à-dire dix jours après l’arrestation du président du MSD, que le procureur de ce pays a finalement reconnu qu’il était à l’origine de son arrestation pour un motif qui en a surpris plus d’un. |
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@rib News, 22/01/2012 COMMISSION NATIONALE DES TERRES ET AUTRES BIENS, CNTB Conférence de presse du jeudi 19 Janvier 2012 à Bujumbura, par Mgr Sérapion Bambonanire, Président de la CNTB. Mot liminaire. Nous voici déjà dans la troisième semaine de la cinquantième année de l’Indépendance de notre pays. En cette occasion, Son Excellence le Président de la République a invité chaque citoyen burundais à célébrer l’événement autour d’une réalisation concrète, quelle qu’en soit la nature. C’est pour répondre à ce vœu du Président de la République que nous autres, à la CNTB, voudrions offrir à notre pays un beau cadeau, en accomplissant de la meilleure façon possible la mission reçue du Chef de l’Etat et partant, du peuple burundais lui-même. Voilà pourquoi nous avons décidé d’engager notre Commission dans ce qu’il convient d’appeler « une vitesse de croisière », afin que, lors des festivités du 1er juillet de cette année et grâce à notre engagement commun et personnel, nous ayons contribué à ramener la joie de vivre dans le cœur de ces milliers de burundais et de burundaises qui en ont été injustement privés depuis des décennies. |
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RFI, 22 janvier 2012 Burundi : questions sur un rapport des Nations unies Au Burundi, l'un des principaux leaders de l'opposition Alexis Sinduhije, arrêté le 11 janvier 2012 en Tanzanie, a été interpellé « sur un mandat d'arrêt international du parquet burundais », qui l'accuse d'être impliqué dans deux assassinats. Ce mandat d'arrêt international aurait été lancé par le ministère public burundais via Interpol dès le 14 septembre 2011. Le parquet se fonde sur un rapport du groupe des experts des Nations unies sur la République démocratique du Congo, qui présente l'opposant comme le leader d'une nouvelle rébellion burundaise opérant essentiellement à partir de l'est congolais. Chrystelle Amigues, compagne d'Alexis Sinduhije indique à RFI tous les doutes qu'elle a sur ce rapport. |
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@rib News, 22/01/2012 – Source Xinhua L’Union pour le progrès national (UPRONA), membre de la coalition gouvernementale sous la direction CNDD-FDD, propose la mise en place d’une Commission Vérité et Réconciliation, qui doit se composer de Burundais et d’étrangers pour qu’elle soit crédible ainsi que l’adaptation de la période d’investigation à la nouvelle donne politique. Pour ce parti, le constat est que les violations graves des droits de l’homme ne se sont pas arrêtées avec la date du 4 décembre 2008, date à laquelle la Commission devrait arrêter ses investigations. Il apparaît aussi que ces faits remontent environ à la création des premiers partis politiques en 1958. |
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@rib News, 21/01/2012 Arrestation d’Alexis SINDUHIJE Communiqué de presse, 20/01/12 Alexis Sinduhije, président du MSD, membre actif de l’ADCIkibiri, a été arrêté le 11 janvier 2012 à l’aéroport de Dar-es-Salaam, lors de son arrivée en Tanzanie. Son interpellation s’est déroulée hors de tout cadre légal, puisqu’il ne lui a pas été notifié, pas plus qu’à ses avocats, les charges pesant contre lui. Malgré l’absence de la moindre accusation formulée par la justice tanzanienne, l’inexistence d’un mandat d’arrêt international Interpol et d’un acte d’accusation instruit par la justice burundaise, la détention d’Alexis Sinduhije a été prolongée sans qu’aucune échéance ne soit formulée à ses défenseurs. |
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@rib News, 21/01/2012 – Source Xinhua Le ministre burundais de l’Intérieur, Edouard Nduwimana, a demandé samedi aux partis politiques agréés à se conformer aux dispositions de la loi sur les partis politiques. La loi du 10 septembre 2011 stipule que tous les partis politiques devront se conformer à la présente loi, dans un délai n'excédant pas six mois à dater de la promulgation de la présente loi. Le ministre Nduwimana rappelle aux dirigeants des formations politiques que le délai de conformité à cette loi court jusqu'au 10 mars prochain. |
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RFI, 20 janvier 2012 L'opposant burundais Alexis Sinduhije mis en cause dans un rapport de l'ONU Le rapport du Groupe des experts de l'ONU sur la République démocratique du Congo qui a été présenté devant le Conseil de sécurité le 30 décembre dernier, ne pouvait pas tomber à un pire moment pour l'ancien journaliste devenu opposant politique burundais, Alexis Sinduhije, arrêté en Tanzanie il y a plus d'une semaine. Selon ces experts qui ont enquêté dans toute la région, l'ancien journaliste serait désormais à la tête d'une nouvelle rébellion burundaise, qui opère essentiellement à partir de l'est de la RDC. Alexis Sinduhije, ancien journaliste devenu opposant politique burundais, aurait été désigné comme responsable par tous les dirigeants politiques de l’opposition burundaise au cours d’une réunion, organisée à Dar es Salaam, en août 2011, précise un document onusien. L’ancien journaliste, qui a un carnet d’adresse très prestigieux, aurait été spécialement chargé de trouver des soutiens politiques dans la région, ainsi que des fonds pour financer les actions de son nouveau groupe armé. |
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PANA, 19 janvier 2012 Bujumbura, Burundi - Un projet de loi gouvernemental relatif à la fixation de l’impôt professionnel sur les rémunérations de certains mandataires politiques, cadres et agents de l’Etat au Burundi, a été renvoyé pour "insuffisances", mercredi, par les députés de l’Assemblée nationale, a rapporté, jeudi, l’Agence burundaise de presse (ABP, gouvernementale). Selon la même source, qui a cité la ministre burundaise de la Fonction publique, du Travail et de la Sécurité sociale, Mme Annonciate Sendazirasa, la présentation du projet de loi à l'Assemblée nationale intervenait peu de temps après le message de nouvel an à la nation du chef de l’Etat burundais, Pierre Nkurunziza, qui ordonnait l'annulation de toutes les lois et dispositions qui dispensaient jusque-là d'impôt sur le revenu de certains cadres et hauts fonctionnaires de l'Etat. |
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RFI, 19 janvier 2012 Une loi supprimant les privilèges des hauts responsables burundais repoussée par le Parlement L'Assemblée nationale burundaise devait adopter ce 18 janvier 2012, au deuxième jour d'une session extraordinaire, un projet de loi imposant aux plus hautes personnalités du pays, dont le président, les membres du gouvernement et les parlementaires, de payer des impôts... mais le projet d'une loi mettant fin à cette situation a fait long feu. Le texte a été renvoyé au gouvernement pour vice de procédure, au grand dam de la société civile. Les choses ont été rondement menées ce 18 janvier 2012 dans l’hémicycle de Kigobe à Bujumbura. La ministre de la Fonction publique et du Travail, Annonciata Sendazirasa, a défendu en quelques phrases son projet de loi devant les députés. Puis le président de la Commission des finances a pris la parole et a fait valoir que les exonérations fiscales dont bénéficient les plus hautes personnalités du Burundi ont été instituées par des lois organiques et ne peuvent donc pas être effacées par une simple loi ordinaire. |
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@rib News, 19/01/2012 Dans une déclaration publiée jeudi à Bruxelles, les membres des partis politiques de l’opposition burundaise à l’étranger, regroupés au sein de l’ADC-Ikibiri, demandent au Gouvernement tanzanien « de ne pas tomber dans le piège de la manipulation du pouvoir dictatorial Burundais et de faire tout pour que Alexis Sinduhije soit libéré et libre de voyager là où il veut conformément à la déclaration universelle des droits de l’homme » et d’« initier le dialogue interburundais afin d’apaiser à temps la tension au sein de la population burundaise ». Lire l’intégralité de la Déclaration
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@rib News, 16/01/2012 – Source Xinhua Le gouvernement burundais, qui avait appelé les leaders de l'opposition à rentrer pour entamer un dialogue politique, a réagi lundi face à l'arrestation d'Alexis Sinduhije, le 11 janvier à Dar-es-Salam par la police tanzanienne, et déclaré que le dialogue n'exclut pas les poursuites judiciaires. « Le dialogue politique n'exclut pas le fonctionnement des institutions judiciaires ou de police. Chacun est responsable de ses actes devant la police ou la justice. Au niveau du gouvernement, les portes pour le dialogue restent ouvertes, ce qui ne signifie pas que c'est une amnistie ou que les gens sont couverts par l'impunité », a déclaré Philippe Nzobonariba, porte-parole du gouvernement du Burundi. |
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RFI, 15 janvier 2012 Qui a demandé aux autorités tanzaniennes d'arrêter, mercredi 11 janvier 2012, à son arrivée à l'aéroport de Dar es-Salaam, l'un des plus célèbres opposants burundais, l'ancien journaliste aujourd'hui président du parti MSD, Alexis Sinduhije ? La question mérite d'être posée, d'autant que le gouvernement burundais nie toute implication dans une affaire où semble régner la confusion. |
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@rib News, 14/01/2012 – Source AFP Le gouvernement du Burundi a assuré samedi ne pas avoir demandé l'arrestation d'un des principaux leaders de l'opposition, Alexis Sinduhije, arrêté mercredi en Tanzanie par la police de ce pays. « A ce que je sache, ce n'est pas le gouvernement burundais qui a demandé que Alexis Sinduhije soit arrêté », a déclaré le secrétaire général et porte-parole du gouvernement, Philippe Nzobonariba. |
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RFI, 14 janvier 2012 Un leader de l’opposition burundaise en exil arrêté en Tanzanie C’est une arrestation qui fait du bruit. Le président du parti burundais d'opposition Mouvement pour la solidarité et la démocratie, le MSD, l'ancien journaliste Alexis Sinduhije, qui vit en exil à Paris depuis plus d'un an, a été arrêté mercredi soir 11 janvier alors qu'il arrivait en Tanzanie. Même si on confirme officiellement son arrestation, son motif n'a pas encore été annoncé. L'arrestation dans un pays voisin du Burundi de l'un des principaux opposants burundais, a fait l'effet d'une bombe dans ce pays, qui semble renouer avec la violence. |
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@rib News, 13/01/2012 – Source Xinhua Alexis Sinduhije, président du Mouvement pour la solidarité et la démocratie (MSD), parti d'opposiion burundaise, arrêté mercredi à Dar-es-Salam en Tanzanie, est inculpé pour meurtre, a fait savoir son avocat Me Kiyovya cité vendredi par la Radio Publique Africaine (RPA). D'après Me Kiyovya, le gouvernement du Burundi aurait entrepris des démarches pour obtenir l'extradition de M. Sinduhije. Il s’agit d'une simple entente entre le Burundi et la Tanzanie, a-t-il dit. |
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MISNA, 13 Janvier 2012 Alexis Sinduhije, président et fondateur du Mouvement pour la Solidarité et la Démocratie (Msd), un parti d’opposition burundaise, serait encore détenu à Dar es Salaam. Les circonstances exactes de cette arrestation ne sont pas encore connues. M. Sinduhije, qui en août 2010 avait choisi l’exil, a été arrêté le soir du 11 janvier par les agents de la plus grande ville de la Tanzanie, où il s’était rendu. D’après certaines rumeurs pas encore confirmées, l’ancien journaliste serait accusé de trafic d’armes et de tentative de meurtre. Selon d’autres sources, il serait impliqué dans l’émergence d’une prétendue rébellion armée contre Bujumbura. |
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@rib News, 13/01/2012 – Source AFP Un des principaux leaders de l'opposition burundaise, Alexis Sinduhije, qui vit en exil en France, a été arrêté mercredi soir à Dar es-Salaam, en Tanzanie, sur demande des autorités burundaises, a-t-on appris de sources concordantes. « L'opposant Alexis Sinduhije, en provenance de l'Ouganda, a été arrêté mercredi soir à l'aéroport de Dar es-Salaam par la police tanzanienne, sur demande des autorités burundaises », a annoncé vendredi Me Habas Nyange, avocat tanzanien de M. Sinduhije, joint par téléphone depuis Bujumbura. |
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@rib News, 12/01/2012 – Source Xinhua Alexis Sinduhije, président de la formation politique burundaise dénommée "Mouvement pour la solidarité et la démocratie" (MSD), serait en état d'arrestation depuis mercredi soir à Dar-es-salaam en Tanzanie, a rapporté jeudi la Radio Publique Africaine (RPA). Le motif exact de l'arrestation de M. Sinduhije reste inconnu, selon la même source. Aucune source judiciaire burundaise n'a confirmé ou infirmé cette information. Le président du MSD, dont la formation politique appartient à l'Alliance des démocrates pour le changement (ADC), une coalition des partis politiques d'opposition formée le 31 mai 2010 au lendemain du scrutin communal "controversé" organisé une semaine plus tôt, était parti en exile quelques semaines après ces élections en invoquant être inquiet pour sa sécurité personnelle.
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@rib News, 12/01/2012 Commune Ryansoro : le gouverneur de Gitega sème la discorde L’affaire du projet de construction d’un marché moderne dans la commune de Ryansoro en province de Gitega risque de prendre l’ampleur d’un scandale d’Etat. Et pour cause, le conseil communal de Ryansoro est en passe de voler en éclats. Tout commence par la découverte d’une convention signée entre l’administrateur communal et la Directrice Générale du FONIC avec une conditionnalité de changer le site où devait être érigé le marché. Une conditionnalité qui sous-tendrait les ambitions de la directrice générale du FONIC et du gouverneur de Gitega d’avoir le marché tout près de chez eux. Car le gouverneur de Gitega vient de Ndava de même que l’administrateur communal et l’époux de la directrice générale du FONIC. A ceux-là s’ajoute un certain Dismas, conseiller à la deuxième vice-présidence de la République qui s’autoproclame émissaire spécial de Gervais Rufyikiri avec pour mission d’imposer un nouveau site du marché ! |
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