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Société
Jeune Afrique, 11 avril 2017 Antime Baranshakaje (photo), figure historique de la culture burundaise, a rendu l'âme dimanche 9 avril après quatre mois d’hospitalisation. Une nouvelle tragique qui suscite l'émoi dans tout le pays. Toutes les voix, endeuillées, sont unanimes : un monument tombe, une étoile s’éteint. Antime Baranshakaje, l’homme qui a consacré plus d’un demi-siècle de sa vie à la culture burundaise n’est plus. Hospitalisé depuis décembre 2016 après un accident, le vieux et intrépide tambourinaire a rendu l’âme à l’âge de 81 ans dans la nuit du dimanche 9 avril à l’hôpital Roi Khaled de Bujumbura. |
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@rib News, 10/04/2017 – Source Xinhua Le plus célèbre tambourinaire burundais, Antime Baranshamaje (photo), a rendu son âme la nuit de dimanche à lundi à Bujumbura à 83 ans, trois ans après l'inscription du tambour burundais au patrimoine mondial de l'UNESCO et cela grâce à ses efforts. Antime Baranshamaje est né en 1934 sur la colline Gishora de la commune Giheta en province de Gitega au centre du pays. Il a commencé à jouer et à danser au tambour encore très jeune et a par après fait aimer le tambour burundais à la jeunesse et aux burundais. |
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Deutsche Welle, 06.04.2017 C'est une vidéo qui continue de faire parler d'elle à Bujumbura et au-delà des frontières burundaises. Elle montre des jeunes Imbonerakure en train de chanter qu’ils vont enceinter les femmes des opposants du régime. Les autorités de Bujumbura ont bien essayé de se démarquer de cette vidéo menaçante, mais trop tardivement selon l'opposition et les organisations indépendantes de la société civile qui dénoncent une réaction "lâche". |
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Jeune Afrique, 05 avril 2017 Selon les chiffres du HCR obtenus par Jeune Afrique, de nombreux intellectuels burundais en exil ont choisi le Rwanda comme pays de destination. Les paysans des collines, eux, ont préféré trouver refuge en Tanzanie. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En janvier 2017, selon le décompte du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) obtenu par Jeune Afrique, plus de 80 % des réfugiés burundais ayant un niveau universitaire étaient installés au Rwanda, soit 5 615 personnes sur un total de 6 885. |
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Deutsche Welle, 28.03.2017 La construction du Palais présidentiel dans le quartier de Gasenyi, dans le nord de la capitale Bujumbura va de pair avec des opérations de déguerpissement, sans que les habitants ne soient assurés d'être indemnisés. Les habitants de Gasenyi sont sommés de vider les lieux avant vendredi, le 31 mars, pour laisser place aux quartiers de qualité qui se construisent, avec le Palais présidentiel dans la localité. [Photo : Palais présentiel en construction.] |
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Le Journal de Montréal, 27 mars 2017 Ils ont tenté d’importer 4 M$ d’héroïne
Une Américaine et un Belge ont chacun de leur côté caché la drogue dans le double fond de leurs valises Une Américaine et un Belge viennent d’être condamnés à 12 ans de pénitencier pour avoir tenté d’importer à Montréal pour plus de 4 millions de dollars d’héroïne cachée dans le double fond de leurs valises. [Sur cette photo, on voit la drogue détectée par les douaniers au moyen d’un appareil à rayons X.] |
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La Dépêche du Midi, 24/03/2017 C'est à Bujumbura, sur les bords du lac Tanganyka, que Christian Pariot vient de former les chefs de chœur du Burundi (photo), dans le cadre d'une semaine chorale organisée par l'Institut français. Dans ce pays, qui n'a pas été épargné par les conflits, le chant choral a ainsi œuvré à sa manière à l'entreprise de réconciliation nationale engagée par les autorités. |
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Libération, 23 mars 2017 Ketty Nivyabandi, le chemin vers la liberté Après avoir organisé la marche des femmes contre le pouvoir burundais, la journaliste et poétesse a dû s’exiler à Ottawa, au Canada. L’entretien téléphonique est perturbé par des cris d’enfants. Ketty Nivyabandi s’interrompt un instant : «Nous sommes quelques familles de Burundais à vivre dans ce refuge, à l’étroit dans des studios. Ces gamins avaient l’habitude de vivre dehors, de s’amuser dans des jardins. Comme ils ont besoin d’espace, ils chahutent dans les parties communes de l’immeuble.» |
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Jeune Afrique, 21 mars 2017 Le Burundi, 2e pays le plus malheureux au monde d’après les Nations Unies Le monde a célébré ce lundi 20 mars la journée du bonheur. À cette occasion, un rapport commandité par les Nations unies sur le sujet établit que la Norvège est le pays où l'on est le plus heureux au monde. Le Burundi, lui, arrive sans surprise parmi les derniers pays du classement. Le World Happiness Report concerne 155 pays. Et le Burundi occupe la 154e place, devant la République Centrafricaine, « pays le plus malheureux de la planète ». |
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Radio Vatican, 17 mars 2017 L’archevêque Bernard Ntahoturi, nouveau représentant anglican près le Saint-Siège (RV) L’archevêque burundais Bernard Ntahoturi (à g) est le nouveau représentant du primat de l’Église anglicane Justin Welby (à d) près le Saint-Siège. L’archevêque de Canterbury en a fait l’annonce le 17 mars, qui estime que cette nomination montre l’importance des liens et le rapprochement entre l’Église anglicane et l’Église catholique romaine. |
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Radio Vatican, 08/03/2017 (RV) Entretien - Elle est surnommée « l’ange du Burundi ». A soixante ans, Marguerite Barankitse oeuvre sans relâche à la réconciliation entre Hutus et Tutsis. Le 24 octobre 1993, la guerre civile éclate dans son pays et les massacres ethniques ne tardent pas à enflammer la région, puisque le Rwanda sera à son tour le théâtre d’un génocide. Au plus fort des massacres, Marguerite Barankitse a pourtant refusé de fuir le Burundi et a recueilli des enfants de toutes les ethnies pour les arracher des griffes de la haine et de la vengeance. |
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@rib News, 07/03/2017 Résumé Depuis une décennie, le Pays du Rift est en pleine guerre civile. D’un côté, les rebelles avec à leur tête Alfredo Ndiyo ; de l’autre, l’armée nationale dirigée par le puissant général André Ciza. Les deux rivaux ont été amis avant de devenir de redoutables ennemis. Pourtant, tous deux ont le même objectif : libérer le pays du joug militaire et des conflits ethniques entre Tutsis et Hutus. Au milieu de ces tensions, Violeta Karabona se prépare à être interviewée pour la première fois à la télévision nationale. Femme du commandant rebelle, placée sous la protection du général Ciza, tous veulent savoir qui est cette journaliste et chanteuse populaire engagée qui prône la paix entre les ethnies. |
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@rib News, 02/03/2017 – Source Xinhua Le Burundi invite ses partenaires techniques et financiers à honorer leurs engagements dans l'aide humanitaire Le ministre en charge de la solidarité nationale, Martin Nivyabandi, a profité jeudi de la distribution du premier lot du don de riz chinois à la population pour inviter les autres partenaires techniques et financiers engagés dans le Plan de Réponse Humanitaire 2017 pour le Burundi d'honorer leurs engagements. |
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Deutsche Welle, 02.03.2017 Des restes humains enterrés dans des fosses communes ont été exhumés en début de semaine par la Commission Vérité et Réconciliation. Les travaux ont été entamés à Mwaro, une province du centre du pays. Des restes humains enterrés dans des fosses communes ont été exhumés en début de semaine par la Commission Vérité et Réconciliation. |
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Voice of America, 27 février 2017 Lancement d'une opération pour exhumer des restes humains au Burundi Le déterrement de restes humains de quatre fosses communes a eu lieu ce 27 février dans la province de Mwaro, au centre du Burundi. La commission 'Vérité et réconciliation' (CVR) a promis d’enterrer dignement les corps burundais entassés dans plus de 2500 fosses communes identifiées au Burundi depuis les années 1900 selon un expert. [Photo : Le président de La CVR Nahimana et d'autres autres experts lors de la découverte de restes humains à Mwaro, Burundi, le 27 février 2017.] |
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@rib News, 26/02/2017 – Source Xinhua Burundi : les travaux d'exhumation des restes humains débutent le 27 février par la fosse commune de Makamba Les travaux d'exhumation techniques des restes humains enfouis dans des fosses communes au cours des crises cycliques sanglantes jalonnant l'histoire tragique burundaise, débutent le 27 février par celle de Makamba en commune Rusaka relevant de la province Mwaro (centre). |
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RFI, 25-02-2017 La crise politique, qui touche le Burundi depuis près de deux ans, est caractérisée par de graves et massives violations des droits humains, selon les ONG et l'ONU. Selon ces organisations, cette crise aurait déjà fait de 500 à un millier de morts, des milliers de personnes arrêtées et jetées en prison, près de 400 000 exilés, ainsi que des centaines de cas de disparitions forcées, des gens arrêtés par les services burundais de sécurité et dont on ne retrouve plus de traces, certains depuis bientôt deux ans. Une association de la société civile burundaise aujourd'hui interdite, le Focode, a lancé depuis avril la campagne « Ndondeza », « Aidez-moi à retrouver le mien ». |
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Voice of America, 22 février 2017 La famille Jean Bigirimana toujours sans nouvelle du journaliste au Burundi Déjà sept mois que le journaliste du Groupe de presse Iwacu a disparu. Le rédacteur en chef du groupe de presse Iwacu lance un appel au public pour que la vérité soit connue. Une plainte du groupe contre x reste toujours sans suite. Pour la Commission Nationale Indépendante des Droits de l'Homme (CNDH), le dossier reste toujours ouvert. |
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Deutsche Welle, 16.02.2017 Les jeunes veulent en finir avec la politique sous la forme des partis actuellement constitués. Ils tentent, pour ce faire, d'améliorer leur quotidien par le biais d'activités génératrices de revenus. Alors que les pourparlers interburundais doivent reprendre jeudi à Arusha, les jeunes de Bujumbura, eux, veulent en finir avec la politique. Beaucoup en ont en effet assez de se sentir manipulés depuis le début de la crise il y a près de deux ans. |
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Jeune Afrique, 10 février 2017 Burundi : au-delà des armes, la guerre des photomontages et des « fake news » Les internautes burundais sont confrontés au déferlement d’intox depuis que le pays est plongé dans la crise politique. Retour sur un phénomène qui inquiète. Depuis la destruction des quatre principales radios et d’une télévision, toutes privées, lors du coup d’État raté dans la nuit du 13 au 14 mai 2015, l’information a quitté les ondes au Burundi, pour se retrouver principalement sur internet. |
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@rib News, 09/02/2017 – Source Xinhua Le ministre burundais de l'Intérieur et de la Formation patriotique, Pascal Barandagiye (photo), et le représentant du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Abel Mbilinyi, ont réfuté jeudi les allégations du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), selon lesquelles des Burundais fuient en masse le pays à cause de la guerre. "Nous saisissons cette occasion pour démentir pareille chose et le représentant du HCR ici présent a bel et bien dit que ces informations ne sont pas venues du HCR", a indiqué à la presse le ministre Pascal Barandagiye à l'issue d'une audience qu'il venait d'accorder à Abel Mbilinyi. |
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@rib News, 07/02/2017 – Source Xinhua Alors que des centaines de réfugiés burundais arrivent chaque semaine dans les pays voisins, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a appelé mardi les gouvernements hôtes à accorder fournir plus de place pour pouvoir les accueillir. Le nombre de personnes fuyant le Burundi a augmenté au cours des premières semaines de l'année 2017, mettant sous pression les pays d'accueil, en particulier la Tanzanie, le Rwanda et la République démocratique du Congo. [Photo : Camp de réfugiés burundais en Tanzanie] |
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Voice of America, 02 février 2017 Ce roman de Prime Nyamoya (photo) décrit plusieurs épisodes douloureux de la crise burundaise depuis 1962. L’auteur combine le réel et le fictif pour illustrer une folie meurtrière sans fin et s’interroge sur l’avenir de sa fille qui venait de naître. Le récit de Philippe Irambona, héros du roman, est mi autofiction et mi journal intime. Il raconte la trajectoire d’un jeune Burundais, et ses va-et-vient, entre son pays et un Occident (Etats-Unis et Belgique) qui le construit autant qu’il le blesse. |
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Deutsche Welle, 01.02.2017 Au Burundi, depuis une dizaine de jours, la province de Cibitoke dans l'ouest du pays accueille des réfugies congolais. Ils sont à peu près 800 venant de l'est de la RDC, des régions de NYAMWOMA, KIGURWE et KABERAGURE. Le site de Cishemere héberge actuellement 775 personnes, alors qu'il ne compte que 510 places. Les 137 familles qui comprennent notamment plus de 500 mineurs, sont ravitaillés une fois tous les cinq jours. |
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@rib News, 25/01/2017 Exit Arusha ? Trajectoires d’éloignement du partage du pouvoir au Burundi. Esquisse d’un manuscrit Stef Vandeginste* - Janvier 2017 Préface : Exit Arusha, un projet de livre Cette esquisse de manuscrit constitue la première étape d’un trajet qui doit mener à la publication d’un livre concernant l’usage et, surtout, le déclin du partage du pouvoir comme instrument de promotion de la paix et de la démocratie au Burundi. Cette esquisse offre un résumé des principaux arguments qui seront développés dans les différents chapitres du livre à écrire. |
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