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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

BURUNDI : « Je ne suis jamais retournée chez moi, je ne connais personne » Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Société

IRIN, 12 août 2008

 BUJUMBURA - Séraphine Ngendakumana, 36 ans, est retournée au Burundi en novembre 2006 après avoir passé la majeure partie de sa vie à l’étranger ; mais depuis son retour, elle est restée dans un camp de transit, à Gitara, dans la province de Makamba, dans le sud.

Comme des milliers d’autres rapatriés, Séraphine Ngendakumana attend d’être réinstallée.

Elle connaît sa province d’origine, mais elle n’est jamais allée dans le village où elle est née. Le 11 août, elle a raconté son histoire à IRIN : « J’ai fui pour la première fois vers [la République démocratique du] Congo en 1972 avec mes parents. Lorsque la guerre a éclaté au Congo, j’ai fui de nouveau en 1998 vers la Tanzanie, mais j’étais désormais toute seule ; mon mari et mes trois enfants avaient été tués. Ici, je suis encore seule ».

« Je suis retournée au Burundi pour la première fois le 17 novembre 2006. Je sais que mes parents vivaient dans la province de Bubanza [dans l’ouest du Burundi] mais où exactement, je ne peux pas dire ».

« Des députés de Bubanza s’ont venus ici une fois et m’ont demandé si je reconnaissais des membres de ma famille pour qu’ils puissent m’emmener là-bas, mais j’ai refusé. Je n’y suis jamais allée, je ne connais personne ».

« Je ne sais pas si mes parents avaient de la famille là-bas. Je suppose que même si c’était le cas, ils ne me connaîtraient pas ».

« Au moins, ici, dans ce camp, mes voisins peuvent s’occuper de moi et m’apporter du réconfort quand je suis malade ; nous vivons dans des conditions semblables et cela renforce les liens ».

« En Tanzanie, on nous avait dit que [le gouvernement] pourrait nous aider à construire des maisons. Mais nous sommes ici depuis plus d’un an et nous n’avons nulle part où aller ».

« Mais au moins maintenant, ils [PARESI - Projet Appui au rapatriement et à la réintégration des sinistrés, un projet du ministère de la Solidarité nationale, du Rapatriement, de la Construction nationale, des Droits de la personne humaine et du Genre] ont commencé à construire quelques maisons ».

«  Personne ne peut être heureux de vivre dans un camp de fortune ; seuls les réfugiés vivent ici. Autrement, ce serait quitter un camp pour un autre ».

«  Au moins, maintenant, nous n’avons plus le problème de la nourriture. Quand je suis arrivée ici, on pouvait facilement passer neuf mois sans recevoir d’aide alimentaire. Alors, on était forcé de chercher du travail manuel dans les fermes voisines, où on nous payait environ 1,000 francs par jour [0.83 dollar américain] ».

«  Aujourd’hui, nous recevons régulièrement une aide alimentaire, du riz ou des fèves, par exemple. Même si ce n’est pas grand-chose, on ne peut pas passer trois mois sans aide alimentaire. Si on reçoit du riz, on en vend une partie pour acheter d’autres produits, tels que du savon, de l’huile ou du sel ».

[FIN][Les informations vous sont parvenues via IRIN, un département d'informations humanitaires des Nations Unies, mais ne reflètent pas nécessairement les vues des Nations Unies ou de ses agences]
 
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