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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Burundi : Sept ans de sanctions européennes pour rien ? Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Diplomatie

La Libre Afrique, 26 octobre 2022

Trois noms, dont celui du Premier ministre, ont été retirés de la liste des personnes sanctionnées par l’UE.

Gervais Ndirakobuca n’est plus sur la liste des personnalités burundaises sanctionnées par l’Union européenne.

L’annonce a officiellement été faite ce mardi 25 octobre, mais depuis des semaines, diverses sources burundaises annonçaient cette levée des sanctions contre celui qui est devenu le nouveau Premier ministre burundais le 7 septembre dernier, abandonnant son poste de ministre de l’Intérieur, de la Sécurité et du Développement communautaire, pour celui de chef de gouvernement, en remplacement d’Alain-Guillaume Bunyoni, en poste depuis 2020 et suspecté de chercher à renverser le président Évariste Ndayishimiye.

Deux autres personnalités burundaises sont retirées de cette liste : Godefroid Bizimana, ancien directeur général adjoint de la police, et Léonard Ngendakumana, ancien général et ancien chargé de mission à la présidence.

Au Burundi, si le pouvoir se montre enthousiaste, en dehors de ce cercle, la décision surprend et l’Union européenne est critiquée pour avoir levé ses sanctions, en place depuis le 1er novembre 2015, à la suite notamment de la répression après une “tentative” de coup d’État dans un contexte ou l’ancien président Pierre Nkurunziza cherchait à se présenter pour un 3e mandat non prévu par la constitution, sans obtenir la moindre concession ou contrepartie

On ne demandait pas la libération des organisateurs présumés du coup d’État, mais au minimum la levée des mandats d’arrêt à l’encontre des journalistes et des directeurs de médias indépendants poursuivis pour avoir fait leur boulot en couvrant les manifestations contre ce 3e mandat qui vient d’être déclaré anticonstitutionnel et contraire aux accords d’Arusha par la cour d’appel de la Communauté est-africaine”, explique une autre source.

L’Union européenne, elle, justifie notamment sa position par “l’intensification, au cours des deux dernières années, des relations avec le Burundi dans les domaines des droits de l’homme, de la bonne gouvernance et de l’État de droit, et rappelle les engagements pris par le gouvernement burundais dans ces domaines, comme le prévoit le dialogue politique UE-Burundi”. Mais elle explique aussi qu’elle demeure “gravement préoccupée par le fait que des défis majeurs restent sans réponse et sans solution”.

Responsable des blocages”

Côté société civile burundaise, on rappelle que “c’est Gervais Ndirakobuca, alors ministre de l’Intérieur qui a interdit la circulation de 6 000 motos-taxis, 7 000 vélos-taxis et 6 000 tuk-tuks à Bujumbura au nom de la sécurité routière. C’est une décision qu’il a prise sans concertation et qui perturbe la vie de plus de 200 000 Burundais obligés de faire leurs déplacements à pied, tout en privant les 19 000 chauffeurs de ces engins et leurs familles de tout revenu. C’est aussi ce Premier ministre qui maintient arbitrairement en détention le directeur général de l’hôpital Kira et qui a fait arrêter et incarcérer son avocate”.

Dans un pays où des généraux issus du maquis détiennent le pouvoir, cette décision européenne est vécue comme une “prime à la mauvaise gouvernance” et suscite un sentiment d’abandon dans la population qui avait déjà mal vécu la levée des sanctions américaines contre le pays. “On a le sentiment que la force brutale l’a emporté. Qu’il n’y a que ce recours à la force qu paie”, conclut un de nos interlocuteurs.

Hubert Leclercq

 
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