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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

L’Africa Museum restreint l’accès à une exposition du burundais Teddy Mazina Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Société

RFI 30/10/2023

Belgique : polémique au Musée royal de l’Afrique centrale autour d'une exposition de Teddy Mazina

En Belgique, le Musée royal de l’Afrique centrale, à Tervuren, a restreint l’accès à une exposition sur ses archives photographiques coloniales. La direction a estimé que les images sélectionnées par l’artiste burundais Teddy Mazina n’étaient pas assez replacées dans leur contexte, et a décidé de n’ouvrir l’exposition « My Name Is No-Body » que pour deux journées de visites guidées, en présence de l’artiste. RFI a assisté à l'une d'elle, dimanche 29 octobre.

Avec notre correspondante à Bruxelles,

Sur les murs de la salle d’exposition, il y a des clichés d’hommes noirs enchainés, sans nom, seulement qualifiés du terme raciste « nègres ». Il y a aussi des clichés de jeunes femmes africaines entièrement nues. En présentant de manière brute des photographies prises dans les anciennes colonies belges accompagnées de leurs légendes d’origine, Teddy Mazina entend souligner l’absurdité et la violence du regard colonial et ses conséquences jusqu’à aujourd’hui :

« Ces photographies datent d’une époque où le racisme est très présent, où il y a une volonté de classifier l'humanité avec l'homme blanc au dessus et l'homme noir tout en bas. La violence des images et des légendes répond à un besoin de justification de l’entreprise coloniale. Et elle continue de nous affecter aujourd’hui. Ces images ont créé un fantasme de l’Afrique comme continent sauvage qui est resté ancré dans les esprits. »

L’exposition comporte également des interviews de scientifiques du musée qui présentent l’histoire des missions photographiques coloniales et qui évoquent les enjeux de propagande derrière ce type de clichés. Cela n’a pas été considéré comme une médiation suffisante par la direction, qui a souhaité que le public n’y ait accès qu’en présence de l’artiste. Pour Teddy Mazina, ces restrictions font désormais partie intégrante de l’exposition, en générant un débat.

Les documents présentés sont tirés des archives du musée de Tervuren, une institution longtemps dédiée à la promotion de la colonisation, mais qui a entamé une métamorphose il y a dix ans en adoptant un regard critique sur son histoire et ses collections. Pour Bart Ouvry, son directeur général, il était donc impossible de présenter des images et des mots racistes sans filtre :

« On ne veut pas montrer ces images et ces mots tels quels. On veut les montrer dans un contexte historique. Aujourd’hui, une de nos missions principales, c’est justement de nous battre contre les images stéréotypées qu’on a donné des Africains dans le passé. Parfois, on tâtonne, je ne le cache pas. Mais l’important, c’est d’apprendre de nos erreurs. »

L’exposition ouvre en tout cas un débat sur la présentation et la réception de ces images, alors que l’AfricaMuséum est en train de numériser ses archives pour les rendre plus accessibles aux chercheurs mais aussi aux anciens pays sous domination belge. Une partie a ainsi déjà été restituée sous forme digitale au Rwanda, qui en a fait la demande. L’institution détient en effet une part importante de l’histoire et de la mémoire de l’Afrique centrale durant la période coloniale, avec notamment 170 000 photos et 650 films sur la République démocratique du Congo, le Rwanda et le Burundi datant du XIXe et du XXe siècle, et environ trois kilomètres d’archives historiques.

Par : Laure Broulard

 
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