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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Soutenir les efforts pour mettre fin à l'épidémie de mpox au Burundi Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Santé

OMS-Burundi03 mars 2025

Bujumbura – Depuis le début de l’année 2025, le Burundi enregistre de moins en moins de cas de mpox avec une moyenne de 70 nouveaux cas par semaine pendant les neuf premières semaines de l’année, alors que les efforts se poursuivent pour mettre fin à l'épidémie. 

Pour la semaine finissant le 26 février, 21 nouveaux cas ont été confirmés. Une réduction de près de 95 % par rapport au pic observé dans la semaine du 21 au 27 octobre 2024 avec 222 nouveaux cas. Actuellement, 15 des 49 districts sanitaires signalent une transmission active du virus, contre 34 en septembre 2024. 

L’un des axes prioritaires de la riposte burundaise à la mpox est la prise en charge adéquate des patients. Pour se faire, le Centre des opérations d'urgence de santé publique (COUPS), avec le soutien de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), a formé et déployé 246 équipes d’intervention rapide pour améliorer les capacités de riposte à l’épidémie.

« La mpox est une maladie qui était méconnue dans nos communautés et elle peut être très impressionnante en raison de ses nombreuses lésions cutanées », explique la Dre Ange Larissa Nsabiyumva, membre de l’équipe d’intervention rapide du district sanitaire de Matana, au sud-est de la capitale Bujumbura. « Certains travailleurs de la santé hésitaient à administrer le traitement, par crainte d’être contaminé par la maladie ou en raison de diagnostics erronés, tels que la gale qui prêtait à confusion. De leur côté, les garde-malades entraient parfois dans les salles d’isolement sans précaution ni protection pour apporter de la nourriture, augmentant ainsi les risques de transmission. »

Le 25 juillet 2024, le Burundi avait déclaré une épidémie de mpox et à la date du 26 février 2025, 147 cas sont en hospitalisation sur les 3568 enregistrés depuis le début de l’épidémie avec 3420 déjà guéris. Au début, l’épidémie a été aggravée par des facteurs tels que la promiscuité, le manque d'accès à l'eau potable, ainsi que la stigmatisation liée à la maladie et le manque de professionnels de santé formés.

« Grâce à la formation, nous avons pu guider les personnels de santé de manière efficace, apaiser leurs inquiétudes en les informant sur la maladie et sur les mesures de protection adéquates, telles que les équipements de prévention et de contrôle des infections », ajoute la Dre Ange Larissa Nsabiyumva.

Au total, 83 médecins chefs de districts et provinciaux ont été formés également au protocole de prise en charge et à la supervision des agents de santé communautaire (ASC), responsables du suivi des patients à domicile. Plus de 90 ASC et de 40 techniciens de promotion de la santé ont été formés sur la recherche active, le référencement des patients et le suivi des contacts pendant 21 jours.

« À la suite de la formation, nous avons expliqué à nos agents qu'un patient atteint de la mpox doit être traité comme tout le monde », souligne le Dr Armel Bitaneza, médecin chef de Bujumbura Nord, le district le plus affecté du pays. « Depuis que nous avons sensibilisé les communautés et formé le personnel dans les formations sanitaires sur la mpox, la détection précoce et le suivi des cas se sont nettement améliorés. »

Sur le terrain, les ASC et les techniciens de promotion de la santé formés renforcent la surveillance. Dès l’apparition des premiers symptômes, ils réfèrent les malades vers le centre de traitement pour des soins appropriés. 

C’était le cas de Tharcisse, 43 ans, résident au quartier Carama de Bujumbura. « Une nuit, j’ai eu une forte fièvre et des maux de tête alors j’ai pensé que c’était le paludisme. Le lendemain, des boutons sont apparus sur mon visage, mes bras et mes jambes alors j’ai été orienté vers l’hôpital », raconte-t-il. Après une période d’hospitalisation, Tharcisse a recouvré la santé et a regagné son domicile. « Les équipes médicales étaient très engagées et se sont bien occupées de moi. Ce qui est le plus urgent, c'est d’arrêter la propagation de la maladie dans notre pays. »

A ce jour, le Burundi ne déplore qu’un seul décès due à la mpox. Les autorités sanitaires avec l’appui de l’OMS continuent d’améliorer la réponse. L’Organisation soutient la décentralisation du diagnostic, le pré-positionnement des kits et intrants, le déploiement des ressources humaines pour la détection rapide et la surveillance de la maladie, les investigations des alertes, ainsi que le traçage et suivi des contacts. L’OMS a soutenu l’élaboration des directives de prise en charge et des outils sur la communication des risques et l’engagement communautaire et la mobilisation des ressources financières pour mener les différentes interventions contenues dans le plan national de riposte.

« Tous les acteurs de santé ont un rôle fondamental à jouer dans la réponse en cas d'épidémie comme celle en cours. Pour répondre efficacement à la maladie, il faut qu’elle soit comprise, à travers tous ses aspects, par les différents acteurs impliqués dans la riposte, surtout ceux qui sont en première ligne, pour parvenir à arrêter la progression de la transmission », explique le Dr Issa Diallo, responsable des urgences sanitaires et gestionnaire d’incident de mpox pour le bureau de l’OMS au Burundi. « Avec une prise en charge correcte, les patients se rétablissent vite et il y a moins de décès ».

 
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