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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

RDC : Joseph Kabila proclamé vainqueur par la Cour suprême Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Afrique

@rib News, 16/12/2011 – Source AFP

Le président sortant de la RDC, Joseph Kabila, 40 ans, a été proclamé vainqueur de la présidentielle à un tour du 28 novembre, vendredi par la Cour suprême de justice (CSJ) malgré des semaines de contestation du scrutin au plan national et international.

La CSJ a confirmé la totalité des résultats provisoires annoncés le 9 décembre par la Commission électorale (Céni) et rejetés par l'opposition, qui attribuaient la victoire à M. Kabila, avec 48,95% des suffrages, devant dix autres candidats, dont l'opposant de 78 ans Etienne Tshisekedi (32,33%), arrivé second. Ce dernier avait rejeté ces résultats et s'était autoproclamé "président élu" de la RDC.

Vendredi soir, son parti, l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), a annoncé l'organisation de manifestations "lundi ou mardi" en RD Congo pour « faire échec à ce hold-up électoral », a déclaré Jacquemin Shabani, secrétaire général du parti.

La Cour « proclame élu à la majorité simple président de la République démocratique du Congo Monsieur Joseph Kabila », a déclaré vendredi soir le premier président de la CSJ Jérôme Kitoko, juste après avoir rejeté pour « manque de preuves » le recours du candidat et opposant Vital Kamerhe (3e avec 7,74%), qui dénonçait de nombreuses irrégularités lors du scrutin.

Sans attendre la proclamation de la CSJ, initialement prévue samedi, six pays voisins - Ouganda, Kenya, Zambie, Tanzanie, Burundi et la République centrafricaine - avaient « félicité » vendredi le président Kabila pour sa réélection. La veille, l'Afrique du Sud avait jugé « globalement OK » les élections.

M. Kamerhe dénonçait notamment des « violations intentionnelles » de la loi électorale par Céni, « la circulation illégale » de bulletins de vote avant le scrutin, des différences entre des résultats de la Céni et ceux publiés dans les bureaux de vote ou encore des scores de 100% obtenus par M. Kabila dans plusieurs bureaux de vote.

Des rapports d'observateurs nationaux et internationaux, notamment de l'Union européenne, du Centre Carter et ses Etats-Unis, ont aussi déploré le « manque de transparence » ou de « crédibilité » du processus électoral et dénoncé aussi de nombreuses « irrégularités ».

Etienne Tshisekedi avait d'emblée écarté toute idée de contester les résultats devant la Cour suprême, en la qualifiant « d'institution privée de Kabila ».

Le chef de l'Etat, qui ne s'est pas encore adressé à la nation depuis le 9 décembre, a reconnu des « erreurs » lors de la présidentielle tout en estimant qu'elles n'invalidaient pas les résultats, lors d'une conférence de presse en anglais lundi pour des médias anglophones principalement.

Il doit prêter serment mardi.

« Comme le peuple souverain a voté, il faut respecter le choix du peuple et ensuite dialoguer », avec l'opposition, a déclaré le secrétaire général de la Majorité présidentielle, Aubin Munaku, en faisant part de sa "joie" après la réélection du chef de l'Etat

Héritier du pouvoir à 30 ans après l'assassinat en 2001 de son père Laurent-Désiré Kabila - le tombeur de Mobutu -, élu une première fois en 2006 en promettant le retour à la paix et la reconstruction d'un pays ruiné par deux guerres (1996-1997, 1998-2003), Joseph Kabila s'était déclaré « sûr » de ne pas perdre lors de sa campagne, après avoir opportunément fait réviser la Constitution en janvier pour faire passer la présidentielle de deux à un seul tour.

En 2006, il avait largement devancé (58,05%) au second tour le vice-président Jean-Pierre Bemba, devenant alors le premier président de RDC élu au suffrage universel direct.

La fin de campagne électorale et le scrutin du 28 novembre dernier avaient été émaillés de violences dans le pays, où au moins 18 civils ont été tués par les forces de sécurité, selon l'ONG Human Rights Watch.

L'annonce de la réélection de Kabila par la Céni le 9 décembre avait aussi déclenché des violences, principalement à Kinshasa où au moins cinq personnes sont mortes, d'après les autorités.

Les forces de l'ordre ont procédé à plusieurs arrestations, notamment dans le quartier de Limete (est), où le parti de M. Tshisekedi -l'Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS- a son siège.

Après avoir fait appel à l'ONU, à l'UE et l'Union africaine notamment, "en vue de solliciter leur médiation", l'UDPS a demandé au « peuple de protéger » sa victoire à travers des « manifestations pacifiques ».

En province, des première « marches pacifiques » de l'opposition ont rassemblé quelques centaines de personnes à Goma, Bukavu (est) et Lubumbashi (sud-est) mardi et mercredi, très vite été dispersées par la police ou l'armée.

A Lubumbashi, les soldats de la Garde républicaine ont violemment stoppé la marche, et à Goma des opposants ont été arrêtés.

Le résultat provisoire des législatives, qui se sont déroulées avec la présidentielle, est attendu mi-janvier. Le double scrutin a débuté un cycle d'élections (provinciales, sénatoriales, locales) qui doit se poursuivre jusqu'à l'été 2013.

 
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