topleft
topright

Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

François Hollande élu, la gauche de retour au pouvoir en France Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Diplomatie

@rib News, 06/05/2012 – Source Reuters

François Hollande élu président de la République française, le 06 mai 2012La gauche est de retour au pouvoir en France avec l'élection dimanche du socialiste François Hollande à la présidence de la République, 31 ans après François Mitterrand.

A 57 ans, François Hollande, qui n'a jamais exercé de fonctions gouvernementales en trente années de carrière politique, devient le septième président de la Ve République à sa première candidature.

"Devant vous je m'engage à servir mon pays, avec le dévouement et l'exemplarité que requiert cette fonction", a déclaré le président-élu lors d'un discours dans son fief électoral de Tulle (Corrèze).

"Le 6 mai doit être une grande date pour notre pays, un nouveau départ pour l'Europe, une nouvelle espérance pour le monde!", a-t-il ajouté, soulignant qu'il demanderait à être jugé sur "deux engagements majeurs : la justice et la jeunesse".

"Trop de fractures, trop de blessures, trop de ruptures, trop de coupures (...) c'en est fini!", a lancé François Hollande en référence à la présidence de Nicolas Sarkozy, qu'il avait salué avec "respect" en préambule de son allocution, close par l'air de "La vie en rose" jouée par des accordéonistes.

La première secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry, a fait part de son "immense émotion". "Ça fait tellement longtemps qu'on attendait cette victoire", a ajouté sur TF1 celle qui est citée parmi les favoris au poste de Premier ministre.

"2012 a clairement un goût de 1981", a témoigné le député Jean Glavany, qui avait annoncé le premier son élection à François Mitterrand en 1981. La Bastille a été prise d'assaut par les sympathisants de François Hollande, comme il y a 31 ans.

SARKOZY REDEVIENT "UN FRANÇAIS PARMI LES FRANÇAIS"

Ce tournant dans l'histoire politique nationale et européenne marque un cinglant désaveu pour Nicolas Sarkozy, qui jusqu'au bout aura espéré en un sursaut de "la France silencieuse" mais n'aura pas surmonté le désamour à son égard.

Les politologues expliquent le résultat du scrutin présidentiel tout autant par l'existence d'un désir d'alternance en France que par un rejet de la personne du président sortant.

Lors d'une déclaration à la Mutualité, à Paris, Nicolas Sarkozy a dit porter seul la responsabilité de la défaite et a souhaité "bonne chance" à son adversaire "au milieu des épreuves". Il a précisé s'être entretenu au téléphone avec François Hollande peu après 20h00.

"Je m'apprête à redevenir un Français parmi les Français", a-t-il déclaré, ajoutant que son "engagement" serait "désormais différent", alors que des militants scandaient "Merci!" ou encore "Reste avec nous Nicolas".

Le chef de l'Etat sortant a précisé lors d'une réunion à l'Elysée, selon un ministre qui y participait, qu'il excluait d'être à nouveau candidat à la présidence mais qu'il resterait un membre actif de l'UMP.

Nicolas Sarkozy ne sera pas parvenu à surmonter son handicap malgré la quête forcenée des suffrages des quelque 6,5 millions d'électeurs du Front national et devient le 11e dirigeant européen déchu du pouvoir depuis la crise financière de 2008.

Le chef de file du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, a estimé que l'échec de Nicolas Sarkozy était celui "de son projet d'extrême-droitisation". "Sarkozy, c'est fini, enfin!", a-t-il réagi.

LA BATAILLE POUR LE "TROISIÈME TOUR" COMMENCE

La stratégie du président sortant a heurté jusque dans les rangs de la majorité, désormais confrontée à une recomposition douloureuse, et poussé le centriste François Bayrou à un choix sans précédent, celui de voter pour le candidat socialiste.

"La gouvernance (de l'UMP) a manqué de diversité. Il fallait garder la double culture centriste de l'UMP", a commenté sur France 2 l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, appelant à une "grande force de l'opposition unie".

Le président du MoDem, François Bayrou, appelle sur Twitter à "construire, dans une démarche de vérité et de réconciliation, l'esprit d'unité nationale".

Les élections législatives des 10 et 17 juin prochains sont la prochaine épreuve pour la droite, qui redoute un raz-de-marée de gauche et l'émergence de l'extrême droite. Selon des projections de l'Ifop pour Europe 1, la gauche obtiendrait 44% des voix, la droite 32% et le FN 18%.

La bataille commence dès lundi, ont prévenu les responsables de l'UMP, qui ont lancé un appel à la mobilisation pour un "troisième tour décisif pour l'équilibre des pouvoirs", selon les termes de l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin.

"Il faut se mobiliser car je crois que ce n'est pas bien de donner tous les pouvoirs à un seul parti politique", a dit Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP.

Si la gauche l'emporte, ce qui devrait advenir en toute logique, elle détiendrait tous les leviers du pouvoirs, exécutifs et législatifs, en France.

La présidente du Front national, Marine Le Pen, qui a obtenu 17,9% des voix au premier tour et n'avait pas donné de consigne de vote, a exhorté ses partisans à construire "une opposition qui tranche idéologiquement et surtout qui soit digne de confiance", estimant que François Hollande décevrait "vite".

Le mandat de Nicolas Sarkozy prendra fin le 15 mai. La passation de pouvoirs devrait se dérouler dans la foulée, puis la nomination d'un gouvernement.

François Hollande s'est engagé à adresser très vite à ses partenaires européens un mémorandum en vue de la renégociation du pacte budgétaire européen afin de l'assortir de mesures sur la croissance. Il effectuera son premier déplacement à Berlin.

"Je suis sûr que dans bien des pays européens, ça a été un soulagement, un espoir, l'idée qu'enfin l'austérité ne pouvait plus être une fatalité", a déclaré le nouveau président.

 
< Précédent   Suivant >

Les Grands Hommes

Paul MIREREKANO, Martyr de la lutte pour l’émancipation des masses paysannes & Pierre NGENDANDUMWE, Martyr de la lutte pour l’unité nationale
Mirerekano/Ngendandumwe

Les Monuments

La Place de l'Indépendannce à Bujumbura

Place de l'Indépendance

 

Monument de l'Unité nationale, à Bujumbura

Monument de l'Unité


Mausolée du prince Louis RWAGASORE, sépulture du héros de l'Indépendance nationale

Mausolée de Rwagasore

Les bureaux de la Présidence du Burundi

Présidence

Palais de Kigobe, siège de l'Assemblée nationale

Assemblée nationale

Siège du Sénat

Sénat

Les partis politiques

Majorité
Opposition
Maintenance: Synexis Agence Web
www.arib.info - Site web de l’ARIB
Copyright © ARIB.INFO 2002 - 2021

parking aéroport pas cher