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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Philippe remplacera le Roi de Belgique au Burundi : trois versions Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Diplomatie

@rib News, 03/06/2012 – Source Le Soir

Trop fatigant pour le Roi ?

Martine Dubuisson - 26 mai 2012

Le président du Burundi, Pierre Nkurunziza, a invité le roi Albert II, ainsi que d’autres chefs d’Etat, aux commémorations du 50e anniversaire de l’indépendance de son pays, le 2 juillet prochain – le Roi avait assisté à des cérémonies comparables au Congo, voici deux ans.

Mais l’agence Belga annonçait vendredi que ce sera le prince Philippe qui représentera son père à ces cérémonies, aux côtés du ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders. Pourquoi Philippe et non Albert ? Le sujet serait-il délicat ?

En tentant d’obtenir une réponse à cette question, nous avons reçu… trois versions différentes.

Dans l’entourage royal, on laisse entendre qu’il s’agit d’une décision du gouvernement. D’ailleurs, dit-on en substance, si le gouvernement demande au Roi d’aller à un tel événement, il y va.

Certes, en Belgique, contrairement à d’autres monarchies, il n’est guère dans les traditions que le prince héritier représente le Roi à l’étranger. Mais au Burundi, il n’est pas question de visite d’Etat (le plus haut degré de déplacement royal), mais de commémorations.

Reste que le Roi ne cache plus que certains voyages le fatiguent (il aura 78 ans le 6 juin).

Des questions d’ordre plus médical expliqueraient-elles dès lors la décision d’envoyer Philippe au Burundi ? Côté Cour, on assure que ce n’est pas le premier facteur d’explication. Il n’y aurait ni problème de santé ni problème de fatigue particulier dans le chef du Roi. La preuve : une visite d’Etat se prépare en Turquie, pour début de 2013 sans doute.

De ce côté-là, on se demande donc si des motifs politiques ne justifieraient pas la décision. L’ennui, c’est que du côté gouvernemental, la version diffère…

Au siège des Affaires étrangères, on explique que « le prince et le ministre représenteront la Belgique, et que le prince représentera le Roi : il ne faut pas y chercher un sens particulier. Le président du Burundi invite le Roi et le Roi répond que le prince héritier le représentera. ». Donc : « Il n’y a pas d’interprétation politique à en tirer. Nous sommes conscients des difficultés du Burundi, dont nous sommes le premier bailleur de fonds. On sait qu’il y a des violences politiques, mais il y a aussi des aspects positifs, comme la mise en place d’une commission de réconciliation ou la création d’un ombudsman. »

En clair : ce ne sont pas les Affaires étrangères qui ont demandé que la Belgique soit représentée au niveau princier plutôt que royal. « Non, c’est une décision de représentation, assimilable aux autres missions de représentation du Roi par des membres de la famille royale. Ce n’est pas du tout un message politique. »

Autrement dit : la décision vient du Palais. C’est aussi ce que l’on nous dit au cabinet d’un vice-Premier : « C’est essentiellement pour des raisons physiques : en raison de la période concernée, de la dureté du voyage et du climat, le Palais ne souhaitait pas que le Roi aille au Burundi. C’est un signe de fatigue, pas une décision politique due à la situation sur place. » D’ailleurs, contrairement à ce qui s’est passé pour le Congo, le sujet n’a pas donné lieu à polémique au gouvernement.

C’est un autre cabinet vice-Premier qui fournit la troisième version : « Il a toujours été prévu que ce soit Philippe, pour faire la différence avec le Congo. De toute façon, le Roi a quelque chose de prévu à ce moment-là. Et il ne faut surtout pas en faire une question de succession ! » Pas sûr que cette version-là, visant à éteindre un pétard avant qu’il ne s’allume, soit diplomatiquement très correcte – le Burundi appréciera…

 
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