RDC : Attaque meurtrière contre la résidence du président Kabila
Afrique

@rib News, 27/02/2011 – Source APA

Joseph KabilaDes coups de feu ont été entendus dimanche en début d’après-midi aux alentours de la résidence du Président de la République, Joseph Kabila Kabange, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa, créant la panique parmi la population.

Dans son intervention à la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC, chaîne publique), le ministre congolais de la Communication et des Médias, Lambert Mende Omalanga, a précisé qu’il s’est agi d’une action des individus fortement armés et non identifiés qui ont attaqué la résidence du chef de l’Etat".

Ils se sont heurtés à garde commise à la résidence du président Kabila, a ajouté M. Mende qui a souligné que "l’affrontement a été rude. Quelques uns des assaillants ont été arrêtés, a-t-il dit.

M. Mende, également porte-parole du gouvernement, a estimé que l’attaque visait la personne du chef de l’Etat.

"Le chef de l’Etat sain et sauf est calme dans sa résidence", a assuré le porte-parole qui a invité la population à continuer à vaquer à ses occupations.


RDC : 6 morts dans les affrontements autour de la résidence du président Kabila

PANA, 27 février 2011

Kinshasa, RD Congo - Les affrontements intervenus dimanche autour de la résidence du président Joseph Kabila entre un groupe armé et les éléments de la Garde républicaine (GR) commis à la garde de la résidence présidentielle, ont fait 6 morts, a déclaré sur les antennes de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC), le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende.

Selon M. Mende, qui est également ministre de la Communication et des Médias, un groupe d’individus fortement armés ont tenté de s’en prendre à la personne du chef de l’Etat.

"Ils ont été maîtrisés par les éléments des forces armées républicaines commis à la garde de la résidence présidentielle après 15 à 20 minutes d’affrontements", a-t-il indiqué.

"Six de ces assaillants ont été tués, d’autres sont aux arrêts et d’autres sont en fuite et sont poursuivis", a affirmé le porte-parole du gouvernement congolais.