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Info pratique
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Justice
RFI, 11-11-2017  Il y a deux jours, la Cour pénale internationale annonçait sa décision d'autoriser le procureur à ouvrir une enquête sur le Burundi depuis le 25 octobre, une décision prise alors que le pouvoir burundais pensait en avoir fini en se retirant du statut de Rome il y a plus d'un an. Un retrait devenu définitif le 27 octobre dernier. Bujumbura, qui avait mis tout en œuvre depuis deux ans pour échapper à cette enquête, a déjà annoncé qu'il ne coopérera « jamais » avec la CPI. De quoi rendre compliqué cette enquête, mais pas impossible. |
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PANA, 10 novembre 2017  Bujumbura, Burundi - La décision de la Cour pénale internationale (CPI) de lancer des enquêtes sur de présumés «crimes contre l’humanité » au Burundi est « sans effet », compte tenu de son « caractère politique » visant à « déstabiliser le pays et à « saper sa souveraineté », a répliqué vendredi, la ministre burundaise de la Justice et Garde des Sceaux, Mme Aimé Laurentine Kanyana (photo). |
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Deutsche Welle, 10.11.2017 Des victimes de crimes au Burundi témoignent  Alors que le Burundi refuse que la Cour pénale internationale enquête sur son sol, des victimes racontent les situations de violences dont elles ont été victimes. Ce vendredi, la ministre burundaise de la Justice, Aimé Laurentine Kanyana, annonçait que la Cour pénale internationale (CPI) ne serait pas autorisée à enquêter dans le pays. |
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@rib News, 10/11/2017 – Source AFP  Le gouvernement du Burundi a rejeté "catégoriquement" vendredi la décision de la Cour pénale internationale (CPI) d'autoriser l'ouverture d'une enquête sur des crimes contre l'humanité présumés entre 2015 et 2017 au Burundi, la ministre de la justice assurant que Bujumbura ne collaborera "jamais" avec cette Cour. |
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Deutsche Welle, 10.11.2017  Le Burundi ne collaborera "jamais" avec la Cour pénale internationale Après l'annonce de la Cour pénale internationale de son intention d'enquêter sur les crimes supposés commis au Burundi depuis 2015, le gouvernement affirme qu'il n'autorisera aucune enquête internationale sur son sol. |
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ICC-CPI, 9 novembre 2017 Déclaration du Procureur de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, après avoir obtenu des juges l’autorisation d’ouvrir une enquête sur la situation au Burundi Comme annoncé plus tôt dans la journée, le 25 octobre 2017, les juges de la Chambre préliminaire III de la Cour pénale internationale (la « CPI » ou la « Cour ») ont autorisé mon Bureau à ouvrir une enquête sur la situation en République du Burundi. Le jour même où la Chambre préliminaire a rendu sa décision, au mois d'octobre, j'ai informé le Greffe que j'ouvrais officiellement une enquête sur cette situation, à compter du 25 octobre 2017 ; une mesure que j'ai prise conformément à la décision de la Chambre dans le but de préparer et de mettre en place des mesures de protection. |
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ICC-CPI, 9 novembre 2017  Questions et réponses relatives à la décision d’ouvrir une enquête concernant le Burundi 1. QU’A DÉCIDÉ LA CHAMBRE PRÉLIMINAIRE III CONCERNANT LE BURUNDI ? Le 25 octobre 2017, la Chambre préliminaire III de la Cour pénale internationale (« la CPI » ou « la Cour ») a autorisé le Procureur de la CPI à ouvrir une enquête concernant des crimes qui auraient été commis au Burundi ou par des ressortissants burundais en dehors du territoire burundais. |
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Human Rights Watch, 9 novembre 2017  CPI : Ouverture d’une enquête sur le Burundi Cette décision fait suite à deux années de répression sanglante de l’opposition politique (Nairobi, le 9 novembre 2017) – La décision des juges de la Cour pénale internationale (CPI), annoncée aujourd’hui, d’ouvrir une enquête au Burundi donne aux victimes l’espoir que les responsables de crimes graves commis dans ce pays au cours des deux dernières années pourront être obligés de répondre de leurs actes devant la justice, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Un comité de trois juges de la CPI a déterminé que le tribunal pouvait intervenir en dernier recours pour enquêter sur les crimes contre l’humanité qui auraient été perpétrés au Burundi. |
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Jeune Afrique, 9 novembre 2017  Burundi : « L’ouverture de l’enquête de la CPI est une victoire pour les familles des victimes » Les juges de la Cour pénale internationale ont autorisé l'ouverture d'une enquête pour crimes contre l'humanité au Burundi le 25 octobre, la veille du retrait du pays du statut de Rome, a-t-on appris ce jeudi. Une "victoire", selon le collectif d'avocats des parties civiles. [Photo : Armel Niyongere, un des avocats du collectif.] |
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ICC-CPI, 9 November 2017  Les juges de la CPI autorisent l’ouverture d’une enquête sur la situation au Burundi Communiqué de presse / ICC-CPI-20171109-PR1342 Aujourd'hui, 9 novembre 2017, la Chambre préliminaire III de la Cour pénale internationale (« la CPI » ou « la Cour »), composée des juges Chang-ho Chung (juge président), Antoine Kesia-Mbe Mindua et Raul C. Pangalangan, a rendu la version publique expurgée de la décision par laquelle elle a autorisé le Procureur de la CPI à ouvrir une enquête sur des crimes relevant de la compétence de la Cour qui auraient été commis au Burundi ou par des ressortissants burundais à l'extérieur de leur pays depuis le 26 avril 2015 et jusqu'au 26 octobre 2017. Le Procureur est autorisé à étendre son enquête à des crimes perpétrés avant le 26 avril 2015 ou se poursuivant après le 26 octobre 2017, si certaines conditions juridiques sont remplies. |
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@rib News, 09/11/2017 – Source Reuters La Cour pénale internationale (CPI) a approuvé jeudi l'ouverture d'une enquête sur la situation au Burundi afin d'établir si des crimes relevant de sa compétence ont été commis par des membres des forces gouvernementales ou des groupes armés liés au pouvoir entre avril 2015 et octobre de cette année. |
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@rib News, 09/11/2017 – Source AFP  Les juges de la Cour pénale internationale ont autorisé l'ouverture d'une enquête sur des crimes contre l'humanité présumés dans les troubles survenus en 2015-2017 au Burundi, devenu le mois dernier le premier pays à quitter la CPI, a annoncé le tribunal jeudi. |
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@rib News, 03/11/2017 – Source Xinhua  La question de l'ancien chef d'Etat burundais, feu Melchior Ndadaye, démocratiquement élu le 1er juin 1993 et assassiné le 21 octobre de la même année dans un camp militaire de Bujumbura au cours d'une tentative de coup d'Etat militaire d'un groupe de militaires insurgés, est "très complexe", a estimé jeudi à Bujumbura au cours d'une interview accordée à Xinhua Jean-Louis Nahimana (photo), président de la Commission vérité réconciliation du Burundi (CVR-Burundi). |
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@rib News, 31/10/2017 – Source Xinhua  L'assemblée nationale du Burundi a approuvé mardi un projet de modification du code pénal en vue d'appuyer la politique du gouvernement dans la répression de "nouveaux crimes", a constaté Xinhua au Palais des congrès de Kigobe abritant cette chambre basse du parlement bicaméral burundais. [Photo : Aimée-Laurentine Kanyana, ministre burundaise de la Justice et Garde des Sceaux.] |
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Deutsche Welle, 28.09.2017  Avant que le Burundi se retire du statut de Rome, la société civile fait pression pour l'ouverture d'une enquête par la Cour pénale internationale sur les crimes commis lors de la période post-électorale d’avril 2015. |
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PANA, 24 septembre 2017  Bujumbura, Burundi - La semaine qui s’achève a amplifié le débat sur la réelle et véritable indépendance de la Justice burundaise, avec à l’appui, un rapport accablant d’experts indépendants des Nations unies en droits humains, mettant en exergue l’impunité entretenue de supposés "crimes contre l’humanité", particulièrement dans la crise politique autour des élections controversées de 2015. |
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@rib News, 23/09/2017 – Source Xinhua La justice burundaise a déjà recouvré au profit du trésor public plus d'un milliard de francs burundais (environ 575.000 dollars) détournés en 2016, a révélé en fin de semaine dernière François Ndayiragije, président de la cour suprême du Burundi. M. Ndayiragije, qui intervenait samedi à Bujumbura au cours d'une cérémonie de rentrée judiciaire 2017-2018, a précisé que parallèlement au recouvrement de cet argent, les magistrats corrompus ont été "sévèrement sanctionnés" à la hauteur des infractions commises en la matière. |
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@rib News, 09/09/2017 – Source Xinhua  L'appel à la Cour pénale internationale (CPI) d'ouvrir une enquête sur le Burundi "n'a pas de fondement légal", a déclaré samedi Sylvestre Nyandwi (photo), procureur général de la République du Burundi. Lundi dernier, au lendemain de la sortie de son rapport final, la Commission d'enquête indépendante du conseil des droits de l'homme de l'ONU sur le Burundi a exhorté la CPI d'ouvrir "dans les plus brefs délais" une enquête sur ce qu'elle a qualifié de "violations des droits de l'homme relevant du crime contre l'humanité", qui auraient été commises au Burundi depuis avril 2015. |
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Afrikarabia, 06 Sep 2017  La Commission d’enquête sur le Burundi du Conseil des droits de l’homme vient de rendre son rapport. Devant le nombre et la solidité des témoignages sur les crimes contre l’humanité imputés au président Nkurunziza, le Conseil demande à la Cour pénale internationale d’ouvrir une enquête « dans les plus brefs délais ». C’est une énorme avancée dans la lutte menée par l’avocat bruxellois Bernard Maingain (photo) et son équipe pour voir un jour juger les crimes contre l’humanité commis au Burundi depuis avril 2015 – date de la décision du président Pierre Nkurunziza de postuler pour un troisième mandat en violation de la Constitution. |
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Jeune Afrique, 25 août 2017 Burundi : la CPI pourra-t-elle ouvrir une enquête avant le retrait de Bujumbura du statut de Rome le 27 octobre ?  Plusieurs organisations de la société civile burundaises ont lancé le 17 juillet une campagne pour demander à la Cour pénale internationale (CPI) d'ouvrir une enquête sur le Burundi avant le 27 octobre, date à laquelle le pays a prévu de se retirer du Statut de Rome. Selon des juristes burundais et internationaux, la CPI a la possibilité d'ouvrir une enquête sur les crimes commis dans le pays depuis avril 2015, avant son retrait. |
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@rib News, 17/07/2017 – Source Agence Anadolu  Neuf suspects ont, à ce sjour, été arrêtés, dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Franco de Simoné, un médecin italien tué à son domicile à Bujumbura, le 3 juillet 2017, a annoncé lundi le procureur général de la République du Burundi, Sylvestre Ndayizeye. « A ce jour, neuf personnes ont déjà été arrêtées, parmi elles figure Diane Ciza, une amie de la victime », a indiqué le procureur dans un communiqué publié lundi et dont Anadolu a reçu copie. |
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@rib News, 13/05/2017 – Source Xinhua  Le gouvernement burundais a adopté deux projets de loi portant révision successivement du code pénal et de la procédure pénale, dans le but de "moderniser" la justice pénale au Burundi. Tous les projets de loi ont été présentés par la ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Aimée Laurentine Kanyana (photo), qui a reconnu que le code pénal en vigueur est relativement récent (il est de 2009). |
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@rib News, 02/05/2017 – Source AFP  Quarante ans après la mort en Suisse de l'ex-roi du Burundi, Mwambutsa IV (1912-1977), la justice helvète a définitivement tranché sur le sort de sa dépouille, qui restera inhumée à Meyrin (photo, cimetière), près de Genève. Le Tribunal fédéral (TF), la plus haute instance juridique de la Suisse, a en effet confirmé un verdict de la justice genevoise, qui avait arbitré en 2016 un litige entre des proches du défunt. |
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Le Temps, 2 mai 2017 La dépouille de l’ex-roi du Burundi sera inhumée à Meyrin  Le corps de l’ancien roi du pays d’Afrique de l’Est, qui était décédé en Suisse, a fait l’objet d’une bataille juridique. Le TF donne raison à une nièce qui s’opposait à son transfert. La dépouille de l'ex-roi du Burundi retrouvera le cimetière de Meyrin. Le Tribunal fédéral (TF) a confirmé un verdict de la justice genevoise, qui avait arbitré un litige entre des proches du défunt. |
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@rib News, 30/04/2017 – Source Xinhua  Le parquet général du Burundi "s'insurge contre les rumeurs" qui circulent sur la disparition d'un ex-parlementaire alors que l'enquête y relative n'a pas encore été clôturée, a indiqué samedi le procureur général de la République, Sylvestre Nyandwi (photo), dans un communiqué. Parlementaire de la circonscription électorale de Makamba (sud) sur une liste du Conseil National pour la Défense de la Démocratie-Forces pour la Défense de la Démocratie (CNDD-FDD, 1er parti politique au pouvoir) de 2005 à 2010 (sénateur) et de 2010 à 2015 (député), Oscar Ntasano reconverti en homme d'affaires après ses mandats électoraux, est porté disparu depuis le 20 avril. |
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