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Droits de l'Homme
HRW, 18 mai 2011 Burundi : Un journaliste accusé de trahison acquitté Les médias font toutefois l’objet de poursuites pénales pour des critiques émises de façon pacifique (Nairobi, le 18 mai 2011) - L'acquittement d'un journaliste accusé de trahison le 13 mai 2011 constitue une avancée positive pour le Burundi, où les harcèlements pour motifs politiques des journalistes n'ont cessé de croître, ont déclaré aujourd'hui Human Rights Watch et le Comité pour la protection des journalistes. Cependant, sa condamnation pour un chef d'accusation moins lourd révèle la nécessité pour le gouvernement burundais de modifier la loi sur la presse en vue de décriminaliser les prétendus délits de presse, ont précisé les organisations. |
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@rib News, 17/05/2011 – Source Belga Quelques dizaines d'opposants rwandais se sont rassemblés mardi midi devant l'ambassade du Rwanda à Bruxelles pour réclamer l'instauration d'un Etat de droit dans leur pays, au lendemain du report du procès de la présidente d'un parti d'opposition, Victoire Ingabire Umuhoza. Ils entendaient former une chaîne humaine en hommage à celle qu'ils qualifient d'"Aung San Suu Kyi rwandaise" (du nom de l'opposante birmane, prix Nobel de la Paix), a expliqué le coordinateur du Centre de Lutte contre l'Impunité et l'Injustice au Rwanda (CLIIR), Joseph Matata. |
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RFI, 17 mai 2011 Le journaliste burundais Jean-Claude Kavumbagu condamné à 8 mois de prison pour trahison Le journaliste Jean-Claude Kavumbagu, accusé de « trahison » et en détention préventive depuis 10 mois, a été condamné lundi 16 mai 2011 à huit mois de prison pour délit de presse est sorti de prison. Jean-Claude Kavumbagu, directeur du journal en ligne Netpress, avait été arrêté le 17 juillet 2010, quelques jours après le double attentat du 11 juillet à Kampala en Ouganda, revendiqué par les insurgés somaliens shebab et qui avait fait 76 morts. Dans l'article incriminé, Netpress écrivait le lendemain du double attentat que « si les miliciens shebab voulaient tenter quelque chose dans notre pays, ils y réussiraient avec une facilité déconcertante tellement nos forces de défense et de sécurité brillent par leur capacité à piller et à tuer leurs compatriotes, plutôt que de défendre leur pays ». |
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RSF, 17.05.2011 Alerte - BURUNDI Condamné pour délit de presse, Jean-Claude Kavumbagu sort enfin de prison après dix mois de détention Le 13 mai 2011, le tribunal de grande instance de Bujumbura a rendu son verdict et a abandonné les charges de trahison qui pesaient contre Jean-Claude Kavumbagu, directeur du journal en ligne Net Press. Le ministère public avait requis une peine de prison à perpétuité le 13 avril dernier. Condamné à 8 mois de prison et à 100 000 francs burundais (50 euros) pour délit de presse, sous le motif de "publication d'écrits susceptibles de porter atteintes au crédit de l'Etat et à l'économie nationale", le journaliste vient d'être libéré hier, après plus de dix mois passés derrière les barreaux. Interrogé par l'organisation à sa sortie de prison, Jean-Claude Kavumbagu a déclaré avoir un sentiment partagé sur le verdict de la cour : "Intitulé "Le Burundi sera-t-il la prochaine cible des shebbab somaliens?", mon article ne faisait qu'ériger une opinion. Il est normal que la population se pose des questions. J'effectuais simplement mon travail de journaliste, sans émettre aucune accusation." |
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@rib News, 16/05/2011 Message aux amis De la perpétuité (réquisitoire) à 8 mois de prison : Jean Claude Kavumbagu, Directeur de Net Press, sort bientôt de la prison après 10 mois de détention. Le verdict est tombé ce vendredi 13 mai 2011 Chers amis, j'ai le plaisir de vous annoncer que Jean Claude Kavumbagu, Directeur de Net Press, pour qui le Ministère public avait requis une peine de prison à vie lors de l’audience du 13 avril 2011 vient d’être condamné à huit mois de servitude pénale et au paiement d’une amende de 100.000 FBu (environ 100 $US). J’ai appris cette information ce samedi 14 avril dans l'après-midi et je n’ai pas de détails sur les motivations de ce jugement. Mais, l’information a été confirmée par son Avocat Me G. Sinarinzi, ce dimanche 15 avril 2011. Nous aurons les détails ce lundi 16 Mai 2010. Logiquement, il devait être libéré car il allait boucler dans deux jours exactement 10 mois de détention préventive. |
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@rib News, 14/05/2011 Résolution du Réseau Libéral Africain sur le Burundi Le Comité Exécutif du Réseau Libéral Africain : Tenant compte des informations des différentes sources indépendantes telles que les organisations des droits de l’homme œuvrant dans la Région des Grands Lacs d’Afrique en l’occurrence Human Rights Watch, Amnesty International ainsi que les organisations de protection des droits de l’homme locales au Burundi ; les organisations de protection du métier de journalisme tel que Reporter Sans Frontières ainsi que l’Association Burundaise des Journalistes (ABJ) ; les organisations de lutte contre la corruption tel que International Transparency et Olucome, etc. ; Considérant les éléments contenant dans la nouvelle loi sur les partis politiques burundais qui vient d’être adoptée par les deux chambres du Parlement burundais, laquelle loi consacre un retour au monopartisme de fait en excluant les partis politiques dont les leaders sont à l’étranger ; |
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@rib News, 13/05/2011 Dans son rapport 2011 sur la situation des droits de l'homme dans le monde, Amnesty International n'a pas été de main morte avec le gouvernement du Burundi et ses agissements en matière de violation des droits humains. Voici l’intégralité du Chapitre consacré au Burundi dans ce Rapport. Burundi Le gouvernement a intensifié les restrictions imposées à la liberté d’expression et d’association pendant et après les périodes électorales. Les défenseurs des droits humains et les journalistes étaient de plus en plus en danger. Des magistrats ont été soumis à des pressions de la part de l’exécutif. Les engagements pris par le gouvernement quant à l’ouverture d’enquêtes sur les actes de torture commis par le service du renseignement et sur les exécutions extrajudiciaires imputables à la police et à l’armée n’ont pas été suivis d’effet. Des femmes, des jeunes filles et des fillettes ont, cette année encore, été victimes de viol et d’autres violences sexuelles, souvent commis en toute impunité. |
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@rib News, 12/05/2011 – Source Xinhua La représentante spéciale du secrétaire Général des Nations-Unies au Burundi a été reçue mercredi par président de l'Assemblée nationale burundaise à qui elle était allée demander d'accélérer la mise en place de la Commission Nationale Indépendante des Droits de l'Homme (CNIHD) longtemps attendue par les burundais et la communauté internationale. « Parmi les questions que les Nations-Unies suivent de près au Burundi ces derniers jours, il y a l'établissement de la Commission Nationale Indépendante des Droits de l'Homme au Burundi qui est fortement attendu depuis la loi du mois de janvier 2011 et nous attendons de bonnes nouvelles avec la formation accélérée de cette commission qui se concrétise avec l'élection des membres qui vont la composer », a déclaré Mme Karin Landgren au sortir de l'audience que venait de lui accorder le président de l'Assemblée Nationale, Pie Ntavyohanyuma. |
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@rib News, 12/05/2011 – Source OHCHR L’Expert indépendant sur la situation des droits de l’Homme au Burundi, Fatsah Ouguergouz, se rendra dans le pays du 16 au 20 mai afin de s’informer auprès de toutes parties concernées par la situation des droits de l’Homme au Burundi, et en particulier les allégations d’atteintes au droit à la vie, à l’intégrité physique, à la liberté d’expression et de réunion ainsi que des mesures prises par les autorités pour lutter contre l’impunité. M. Ouguergouz évaluera également les efforts du gouvernement en vue de l’établissement de la Commission nationale indépendante des droits de l’Homme, crée par la loi du 5 janvier 2011. |
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@rib news, 10/05/2011 – Source APA Le président de l’Observatoire de la lutte contre les malversations économiques au Burundi (OLUCOME), M. Gabriel Rufyiri, a comparu pour la seconde fois lundi devant le parquet de Bujumbura, pour s’expliquer sur les informations qu’il a fournies à la police criminelle, faisant état d’une liste de 44 personnes, dont lui-même, gênantes pour le pouvoir et qui pourraient être assassinées. A sa sortie d’audience, il s’est dit indigné de recevoir des convocations intempestives sur ce dossier alors qu’il n’a fait que son devoir de prévenir la police pour que ces assassinats programmés ne soient pas exécutés.. |
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Amnesty International - 10 mai 2011 Déclaration publique- Index AI : AFR 16/004/2011ÉFAI Burundi. Une commission doit enquêter sur le comportement des forces de sécurité La commission d’enquête mise en place pour enquêter sur les crimes et les homicides qui ont eu lieu à l’époque des élections de 2010, annoncée par le président Nkurunziza le 1er mai, doit également enquêter sur le comportement des forces de sécurité du Burundi, a déclaré Amnesty International le 10 mai 2011. Cette commission doit de toute urgence réparer les manquements du gouvernement burundais, qui n’a pas tenu sa promesse d’enquêter sur les allégations faisant état de tortures et d’autres mauvais traitements commis par le service de renseignement du Burundi fin juin et début juillet 2010 et de poursuivre en justice les responsables présumés de ces actes. |
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@rib News, 06/05/2011 Un Forum de participation des ONG à la 49ème session de la Commission africaine des Droits de l'Homme et des Peuples s'est tenu à Banjul en Gambie du 25 au 27 avril 2011. Elle a proposé une résolution sur le Burundi à la Commission africaine des droits de l'homme et des peuples (CADHP). La Commission qui tient sa 49ème session du 28 avril au 12 mai sortira ses conclusions le 12 mai prochain. Plusieurs intervenants sont revenus sur le dossier Ernest Manirumva et l'emprisonnement de Jean Claude Kavumbagu. |
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APA, 04-05-2011 Bujumbura (Burundi) - Les professionnels des médias burundais tant publics que privés ont célébré ce mardi la journée mondiale de la liberté de la presse, a constaté APA à Bujumbura, la capitale. Les activités de cette journée ont débuté par une longue marche de soutien à la liberté de la presse effectuée par les journalistes et encadrée par la police, ce qui a surpris beaucoup de gens car, beaucoup de manifestations sont interdites par le pouvoir en place. |
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@rib News, 04/05/2011 – Source Amnesty International Une Ougandaise qui défend les droits de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre (LGBT) marginalisée de son pays s'est vu décerner un prestigieux prix des droits humains, a indiqué Amnesty International mardi 3 mai. Ce jour-là, Kasha Jacqueline Nabagesera a été désignée lauréate 2011 du prix Martin Ennals pour les défenseurs des droits de l'homme, la principale récompense du mouvement international de défense des droits humains. |
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@rib News, 03/05/2011 – Source AFP Une centaine de journalistes burundais ont manifesté pour la dépénalisation des délits de presse et la libération d'un confrère accusé de trahison, à l'occasion de la journée internationale de la liberté de la presse mardi. "Nous sommes en train de manifester, à l'occasion de la journée internationale de la liberté de la presse pour exiger d'abord la libération de notre confrère Jean-Claude Kavumbagu, emprisonné injustement depuis des mois et qui risque la prison à vie", a déclaré Alexandre Niyungeko, président de l'Union burundaise des journalistes (UBJ). |
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Reporters sans frontières, 03/05/2011 Trente-huit chefs d’Etat ou chefs de guerre sèment la terreur parmi les journalistes Sept prédateurs de la liberté de la presse en Afrique Sur le continent africain, les prédateurs sont : Yahya Jammeh, président de la République de Gambie ; Issaias Afeworki, président de la République d'Erythrée ; Teodoro Obiang Nguema, président de la République de Guinée équatoriale ; Paul Kagamé, président de la République du Rwanda ; Robert Mugabe, président de la République du Zimbabwe : Mswati III, roi du Swaziland ; et les milices islamistes armées (Al-Shabaab, Hizb-Al-Islam) en Somalie. |
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PANA, 02 mai 2011 Kinshasa, RD Congo - Une vingtaine de femmes des médias de la région des Grands Lacs ont participé, du 29 avril au 1er mai à Bukavu, dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC), aux travaux préparatoires de la mise en place d’un observatoire régional des femmes des médias. Cet observatoire, selon un communiqué transmis lundi à la PANA, sera doté d’une charte et aura pour mission d’assurer un travail de veille politique sur les droits des femmes et de jouer un rôle majeur dans la consolidation des valeurs démocratiques. |
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@rib News, 29/04/2011 Au Burundi, une émission de radio populaire suspendue Comité pour la protection des journalistes (CPJ) New York, le 27 avril 2011--Au Burundi, l'organe de régulation des médias a suspendu lundi dernier une émission de radio populaire en raison d'accusations prétendument portées par un auditeur contre le président de la République, selon des médias et des journalistes locaux. Les 15 membres du Conseil national de la Communication (CNC), qui sont tous nommés par président, ont ordonné la suspension de «Kabizi», une émission matinale d'actualité à la principale station de radio indépendante du Burundi, Radio Publique Africaine (RPA), pour une durée de quatre jours à partir de lundi, selon des médias locaux. |
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Reporters sans frontières, 13 avril 2011 BURUNDI Prison à vie requise contre le journaliste Jean-Claude Kavumbagu Reporters sans frontières est profondément choquée par le réquisitoire prononcé, le 13 avril 2011, par Marc Ndabakeshimana, l'un des substituts du procureur à Bujumbura, contre le journaliste Jean-Claude Kavumbagu. L'accusant d'"imputation dommageable, trahison et écrits diffamatoires", il a demandé contre lui la prison à perpétuité. La cour a soixante jours pour rendre son verdict. Reporters sans frontières peine à comprendre l'entêtement des autorités burundaises contre ce journaliste. Celui-ci s'est montré critique vis-à-vis des capacités de l'armée burundaise. Il n'a fait qu'exprimer un point de vue. |
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PANA, 13 avril 2011 New York, Etats-Unis - Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) basé à New York a adressé une correspondance au gouvernement burundais pour demander aux autorités de ce pays d'arrêter "les poursuites sans fondement" contre un journaliste emprisonné suite à des critiques formulées contre les forces de sécurité burundaises. Dans une lettre publique adressée aux autorités avant une audience, mercredi, le CPJ a invité le ministre burundais de la Justice à intervenir et à mettre un terme à l'utilisation d'une accusation réservée exclusivement aux délits commis en temps de guerre dans le cadre du code pénal burundais. |
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@rib News, 12/04/2011 En quête de justice pour un journaliste Burundais en prison depuis 9 mois New York, le 12 Avril 2011—Le Burundi, le seul pays d'Afrique subsaharienne qui enferme actuellement un journaliste sous l’accusation de trahison, devrait retirer les poursuites contre Jean Claude Kavumbagu vu l’inapplicabilité de cette incrimination en temps de paix sous le code pénal Burundais, selon le Comité pour la protection des journalistes (CPJ). Ce dernier croupit en prison depuis juillet 2010 pour avoir publié dans son journal en ligne un article d'opinion critiquant les forces de sécurité du pays. |
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APA, 10-04-2011 Bujumbura (Burundi) - La police burundaise a dispersé vendredi à Bujumbura une marche des membres de la société civile burundaise, interpellant deux d’entre eux dont Gabirel Rufyiri, président de l’Observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques (OLUCOME) au moment où il tentait d’expliquer aux policiers que la manifestation était autorisée, a constaté APA sur place. La manifestation voulait demander justice pour Ernest Manirunva , vice président de l’OLUCOME, assassiné la nuit du 8 au 9 avril 2009 alors qu’il était en train d’enquêter, selon cette ONG, sur les grands dossiers de malversation et de détournement des deniers publics. |
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@rib News, 10/04/2011 – Source MISNA Peu après s’être rassemblés vendredi devant le palais de justice à Bujumbura pour protester contre la lenteur des procédures judiciaires, dans le cadre notamment de l’affaire du meurtre d’Ernest Manirumva, des dizaines de manifestants ont été dispersés voire interpellés par la police, qui a défini le rassemblement “illégal” en ce que non autorisé. Alors que deux ans se sont déjà écoulés depuis le meurtre du président de l’Observatoire de lutte contre la corruption et malversations économiques (Olucome), Ernest Manirumva, le procès est toujours bloqué pour raisons procédurales. |
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@rib News, 09/04/2011 Gabriel Rufyiri, président de l'Observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques (OLUCOME) et Claver Irambona le chargé de l'Ecoute et Orientation dans la cette organisation ont été arrêtés par la police vendredi matin vers 10H30 sous les yeux des journalistes et des membres la société civile. Arrêtés sur ordre direct de David Nikiza, l'un des officiers supérieurs cités dans cette affaire d'assassinat de Manirumva, les deux activistes ont été conduits au Bureau Spécial de Recherche (BSR) où ils ont été détenus pendant plusieurs heures avant d’être relâchés. |
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@rib News, 09/04/2011 - Source Human Rights Watch Burundi : La justice au point mort deux ans après l’assassinat d’un activiste Il faut reprendre les enquêtes sur l’assassinat d’Ernest Manirumva et les poursuites relatives à ce dossier, affirment des groupes de défense des droits humains Bujumbura - Le gouvernement du Burundi devrait terminer ses enquêtes sur l'assassinat de l'activiste anti-corruption burundais Ernest Manirumva, perpétré il y a deux ans, et rendre justice, ont affirmé aujourd'hui dix-sept organisations non gouvernementales burundaises et internationales dans une déclaration commune. Les organisations ont également demandé au gouvernement d'autoriser les activistes de la société civile à manifester pacifiquement afin que justice soit rendue pour l'assassinat de Manirumva. |
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