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Info pratique
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Droits de l'Homme
Deutsche Welle, 28.04.2016 En février, la grâce présidentielle était accordée à des prisonniers burundais. Une amnistie décriée par des familles de détenus, car elle ne concerne pas les manifestants contre le troisième mandat de Pierre Nkurunziza. Au Burundi, les prisonniers politiques vivent dans des conditions précaires, privés de tout contact avec le monde extérieur. |
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UN News Centre, 27 avril 2016 Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Zeid Ra'ad Al Hussein (photo), a condamné mercredi le nombre croissant d'attaques contre des hauts responsables au Burundi. Il a notamment cité l'assassinat du général de brigade Athanase Kararuza et de sa femme lundi, et la tentative apparente d'assassinat contre le Ministre des droits de la personne humaine, des affaires sociales et du genre, Martin Nivyabandi, le jour précédent, dimanche 24 avril. |
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@rib News, 26/04/2016 - Source AFP La FIDH et Amnesty International ont dénoncé mardi les meurtres, tortures et viols commis depuis le début de la crise politique qui a éclaté il y a tout juste un an au Burundi, appelant la communauté internationale à agir "de toute urgence". |
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Amnesty International, 26 avril 2016 Burundi. Un an après, les Burundais paient le prix d'une crise des droits humains qui s'installe Un an après le début de la crise au Burundi, la situation des droits humains continue de se dégrader et l'obligation de rendre des comptes pour les actes de violence commis n'est pas à l'ordre du jour, a déclaré Amnesty International mardi 26 avril 2016. La décision de la procureure de la Cour pénale internationale (CPI) d'ouvrir un examen préliminaire souligne la gravité de la situation. |
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TV5 Monde, 26.04.2016 Un an de crise au Burundi : témoignages de 4 journalistes burundais Le 26 avril 2016 marque le premier anniversaire de la crise politique dans laquelle le Burundi est plongé, conséquence de la volonté du président Nkurunziza de briguer un troisième mandat. Bilan : des centaines de morts, plus de 250 000 déplacés et un pays abîmé par des mois de violences. Etat des lieux et analyse de la situation avec quatre journalistes burundais. [Photo (de g à d) : les journalistes Serge Nibizi, Emelyne Muhorakeye, Jeanne et Elyse Ingabire.] Lire sur TV5 Monde |
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RFI, 25-04-2016 George Clooney remet le prix Aurora à la Burundaise Marguerite Barankitse Marguerite Barankitse est devenue la première lauréate du prix Aurora pour l'éveil de l'humanité. Fondée par trois descendants de rescapés du génocide arménien, cette récompense a été remise à la présidente de l’association Maison Shalom par l’acteur américain George Clooney à Erevan, capitale de l’Arménie. [Photo : Marguerite Barankitse remercie Ruben Vardanyan (à gauche), co-fondateur du prix Aurora, après avoir reçu la récompense des mains de George Clooney (à droite), le 24 avril 2016 à Erevan.] |
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@rib News, 24/04/2016 Le prix Aurora remis à la Burundaise Marguerite Barankitse Lauréate du prix Aurora for Awakening Humanity, décerné dimanche 24 avril à Erevan, la présidente de l’association Maison Shalom réclame le déploiement de casques bleus pour protéger les civils et prévenir une guerre civile
Le prix Aurora, décerné pour la première fois, dimanche 24 avril, à Erevan, au nom des survivants du génocide arménien, récompense l’humanitaire Burundaise, déjà auréolée par de multiples distinctions à travers le monde. Le jury de neuf membres, coprésidé par George Clooney et Elie Wiesel, a voulu attirer l’attention sur le Burundi, ce petit pays enclavé et surpeuplé qui risque une nouvelle fois de sombrer dans l’anarchie. La lauréate du Prix Aurora sera honorée d’une subvention de 100.000 dollars (89.000 €). En outre, elle pourra attribuer la somme d’un million de dollars à l’organisation ou aux organisations qui ont inspiré ou contribué à son action. |
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PANA, 22 avril 2016 Le gouvernement burundais rejette en bloc des accusations onusiennes d’atteinte massive aux droits humains Bujumbura, Burundi - Le gouvernement burundais a rejeté en bloc, jeudi soir, les récentes accusations du Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l’homme portant sur une "forte augmentation du recours à la torture et aux mauvais traitements" imputables aux corps de défense et de sécurité qui ciblent en particulier des membres et officiers des anciennes forces armées burundaises issus de la minorité ethnique des Tusis, "y compris des soldats à la retraite". |
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@rib News, 20/04/2016 – Source de Reporters sans frontières Les pays en proie à des crises politiques chutent dans le Classement annuel de Reporters sans frontières (RSF), publié mercredi 20 avril. "Au Burundi, l’obstination présidentielle a entraîné la destruction des principaux médias indépendants du pays et l’exil de plus d’une centaine de journalistes", tel est le constat dressé par RSF. Le pays chute de 11 places de 2015 (145ème) à 2016 (156ème) dans le classement mondial. Lire Les données du Classement 2016 |
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Jeune Afrique, 19 avril 2016 Torture au Burundi : l’enfer à côté de la maison de Dieu À Bujumbura, la peur a désormais un nom : la Documentation. En lien direct avec la présidence, ses agents jouent un rôle actif dans la répression et inquiètent jusqu'au siège des Nations unies. De ce lieu aux apparences innocentes, que l’on pourrait croire être la villa en chantier d’un ministre et d’où il est possible d’observer, chaque dimanche, le flot de fidèles venus prier en la cathédrale Regina Mundi, située en contrebas, on ressort la plupart du temps brisé et humilié. Malgré tout, en être conscient est en soi un soulagement. |
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RFI, 18-04-2016 Burundi : 345 nouveaux cas de torture recensés depuis le début de l’année Au Burundi, le recours à la torture et aux mauvais traitements dans les lieux de détention est en forte augmentation. Selon le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU, ces pratiques semblent se généraliser car depuis le début de l’année, 345 nouveaux cas de torture ont été recensés portant à près de 600, le nombre d’actes documentés, depuis le début de la crise, par l’ONU. Un chiffre probablement sous-estimé car le Haut-Commissariat aux droits de l’homme s’inquiète également de l’existence de lieux de détention secrets. |
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UN News Centre, 18 avril 2016 Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Zeid Ra'ad Al Hussein, a mis en garde lundi contre « une forte augmentation du recours à la torture et aux mauvais traitements au Burundi » et exprimé sa préoccupation face à des informations inquiétantes sur des lieux de détention illégaux à Bujumbura et en dehors de la capitale. |
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@rib News, 18/04/2016 – Source AFP Au moins 345 cas de torture et mauvais traitements ont été enregistrés cette année au Burundi par l'ONU, qui déplore lundi le recours "généralisé" à ces pratiques par les forces de sécurité gouvernementales agissant en "totale impunité". "En plus des rapports sur la torture et les mauvais traitements dans les lieux de détention officiels, je suis profondément préoccupé par des informations sur l'existence de lieux de détention secrets à travers le pays", a affirmé le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Zeid Ra'ad Al Hussein, dans un communiqué. |
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@rib News, 14/04/2016 Pour la liberté de pensée au Burundi Un pays où les radios indépendantes ont été détruites, où des dizaines de journalistes ont été contraints à l’exil, où des centaines de citoyens de tous les horizons ont été arrêtés, ont été tués ou se cachent. Un pays où les gens se taisent de peur de devenir la cible de violences à cause de ce qu’ils sont ou de ce qu’ils pensent. Voilà ce qu’est devenu, en l’espace de quelques mois, le Burundi, ce petit pays d’Afrique centrale pourtant présenté depuis plus de dix ans comme un modèle de consolidation de la paix et de la liberté d’opinion et d’expression. |
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FIDH, 14/04/2016 Répression aux dynamiques génocidaires, la réponse de l’ONU doit être à la hauteur (New York, Paris) De retour d’une mission d’enquête menée au Burundi au mois de mars, la FIDH et ITEKA dénoncent les graves violations des droits humains perpétrées au Burundi, en particulier par les forces de défense et de sécurité, sur fond d’idéologie ethnique et génocidaire. Les crimes actuellement commis pourraient d’ores et déjà être qualifiés de crimes contre l’humanité et et dériver vers des actes de génocide Elles exigent une réaction forte de l’ONU, notamment par le déploiement de forces onusiennes et d’une commission d’enquête international pour enrayer cette dynamique et éviter des atrocités de masse. Lire l’intégralité du Communiqué |
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RFI, 13 avril 2016 Marie-Soleil Frère : «Le cas des médias burundais est unique» C'est une lettre ouverte signée par une soixantaine de chercheurs et d'universitaires issus d'une dizaine de pays qui pose cette question : Que reste-t-il de la liberté de pensée au Burundi ? Le pays est en crise depuis près d’an, lorsque le président Pierre Nkurunziza a décidé de briguer un troisième mandat. Parmi les victimes de cette crise, il y a les médias indépendants, dont la plupart restent fermés à l’heure actuelle. Mais il y a aussi d’une manière plus large, les intellectuels. Notre invitée de ce soir fait partie des initiateurs de cet appel. Il s’agit de Marie-Soleil Frère [photo], chercheuse et professeur de journalisme à l’Université libre de Bruxelles, spécialiste des médias en Afrique francophone. |
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Human Rights Watch, 13 AVR 2016 Entretien : Les meurtres, les enlèvements et la torture sèment la peur au Burundi Alors que le Burundi s’enfonce de plus en plus dans la violence, les meurtres, les enlèvements, la torture et les arrestations arbitraires sont devenus quotidiens. La crise a éclaté en avril 2015 lorsque le président Pierre Nkurunziza a annoncé qu’il briguerait un troisième mandat controversé. Sa décision a déclenché des manifestations publiques de grande ampleur, que la police a réprimées brutalement. De plus, les groupes d’opposition armés recourent de plus en plus à la violence. |
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Voice of America, 13 avril 2016 C'est la question posée par des professeurs d’université et des chercheurs qui dénoncent la décapitation de la liberté de pensée au Burundi, dans une lettre ouverte dont VOA Afrique a reçu la copie. Dans cette lettre ouverte, une soixantaine d'intellectuels évoquent depuis plusieurs années ’"une chape de plomb" qui s’est abattue sur le pays. |
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Deutsche Welle, 13.04.2016 Au Burundi, des enlèvements et des assassinats ciblés continuent d'être signalés. Selon une source à Bururi, dans le sud du pays, le mode opératoire a certes changé mais les exactions se poursuivent. "Faux" répond le pouvoir de Bujumbura. Pendant ce temps, le dialogue, sous médiation ougandaise attendu depuis la fin décembre tarde à démarrer. Et Pierre Nkurunziza continue ainsi de gagner du temps de l'avis de ses opposants. |
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Human Rights Watch, 13 AVR 2016 Burundi : Les enquêtes du gouvernement passent sous silence les abus des forces étatiques Une enquête internationale indépendante est nécessaire (Nairobi) – Les conclusions d’une commission d’enquête burundaise sur des allégations d’exécutions extrajudiciaires perpétrées par des membres des forces de sécurité le 11 décembre 2015 dans la capitale, Bujumbura, sont fallacieuses et biaisées. Ceci n’est qu’une des nombreuses enquêtes officielles qui ont échoué à enquêter correctement sur les abus commis par les forces de sécurité ou à faire traduire en justice les responsables. [Photo: Des résidents devant leurs maisons le 12 décembre 2015 à Nyakabiga, dans la capitale burundaise Bujumbura, regardent le corps d’un homme tué par balles le 11 décembre.] Lire l’intégralité du Communiqué de presse |
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RFI, 11-04-2016 Burundi : 4 mois après sa disparition, l’Iteka reste sans nouvelle de sa trésorière Où se trouve Marie Claudette Kwizera ? Au Burundi, la ligue Iteka se pose la question depuis décembre 2015, date de la disparition de cette femme, trésorière de cette importante organisation des droits de l'homme dans le pays. En décembre 2015, les services de renseignement burundais exigent le paiement d'une forte somme d'argent pour sa libération, une pratique illégale, bien que largement répandue. Mais aujourd'hui, il n'est plus question d'argent, les services de renseignement affirment ne pas avoir de trace de Marie-Claudette Kwizera. |
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Le Pays, 06 avril 2016 Burundi : Aidons les médias privés Par Cecile Kyenge Cécile Kyenge, originaire de RDC, est députée européenne et ancienne ministre de l'Intégration italienne. 27 avril-13 mai 2015. Dix-sept jours auront suffi au Burundi pour voir disparaître un panorama médiatique pluraliste reconnu dans l’ensemble du continent africain. Pour les Burundais, c’était leur bien le plus précieux, pour les journalistes africains une fierté. Car telle était la renommée des média-privés de ce pays situé au cœur d’une sous-région, celle des Grands Lacs, meurtrie depuis plus de deux décennies par des conflits armés à répétitions et des massacres à grande échelle dont les citoyens ordinaires, et avec eux les journalistes, sont les premières victimes. Aujourd’hui les médias burundais sont réduits au silence suite à leur destruction lors de la tentative de putsch militaire avorté du 13 mai 2015. |
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@rib News, 01/04/2016 –Source AFP Alfred-Aubin Mugenzi (photo), un célèbre humoriste burundais connu sous le nom de scène de "Kigingi", a été libéré vendredi après trois jours de détention par le Service national de renseignement (SNR) du Burundi pour "outrage à chef d'Etat", a-t-on appris auprès de sa famille. "Kigingi vient d'être relâché en début d'après-midi. Nous remercions tous ceux qui se sont mobilisés pour sa libération, surtout les gens des médias", a déclaré un de ses proches, joint par téléphone. |
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RFI, 01-04-2016 Burundi : arrestation de l'humoriste Kigingi Nouveau signe de l'intolérance de plus en plus grandissante au Burundi : un célèbre humoriste burundais a été arrêté il y a quatre jours par le Service national de renseignement (SNR), alors qu'il était à l'intérieur du pays. Alfred-Aubin Mugenzi a été arrêté pour un sketch sur le président Pierre Nkurunziza, qu'il avait lancé en juin 2015, alors qu'il se produisait au Rwanda voisin, au tout début de la profonde crise que traverse le Burundi et qui est née de sa décision de briguer un troisième mandat. |
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@rib News, 01/04/2016 – Source AFP Un célèbre humoriste burundais connu sous le nom de scène de "Kigingi" a été arrêté mardi par le Service national de renseignement (SNR) du Burundi pour "outrage à chef d'Etat" et est depuis détenu au secret, a-t-on appris vendredi auprès de sa famille. Animateur radio qui assure les matinales sur la station burundaise Buja FM, Alfred-Aubin Mugenzi (photo) a été arrêté mardi en début de soirée par des agents du SNR - qui dépend directement du président Pierre Nkurunziza - dans un hôtel de Muramvya (centre), à 50 km à l'Est de Bujumbura, où il se trouvait pour une tournée de promotion commerciale, selon des membres de sa famille. |
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