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@rib News, 21/10/2024 NDADAYE, Héros de la démocratie, sauvagement assassiné le 21 octobre 1993 Le 21 octobre 1993 est assassiné le premier Président démocratiquement élu au Burundi, S.E. Melchior NDADAYE, par l’armée en rébellion contre les institutions démocratiquement élues en juin de la même année. Les successeurs constitutionnels du président de la République, le président et le vice-président de l’Assemblée Nationale, Pontien KARIBWAMI et Gilles BIMAZUBUTE sont enlevés, puis torturés à mort. |
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Melchior NDADAYE : Héros de la Démocratie Premier Président démocratiquement élu au Burundi Eléments biographiques extraits du livre "Biographie du Président Melchior NDADAYE - L'Homme et son Destin" de Raphaël NTIBAZONKIZA - Edition Bulgarian Helsinki Committee Melchior NDADAYE est né le 28 mars 1953 à Murama, commune Nyabihanga, province de Muramvya. Fils de Pie NDADAYE et Thérèse BANDUSHUBWEBGE, il était l'aîné de 10 enfants, dont 7 étaient encore en vie avant sa propre mort : 3 garçons et 4 filles. Il était marié à Laurence NININAHAZWE et père de trois enfants : Guéva, Tika et Libertas. Il est mort assassiné le 21 octobre 1993. En ce qui concerne sa formation intellectuelle : Melchior NDADAYE a fait ses études primaires de 1960 à 1966 à Mbogora (province de Gitega). De 1966 à 1972, il a fréquenté l'Ecole normale de Gitega qu'il a dû quitter en 1972 suite aux "événements" dramatiques qui secouaient son pays natal : le Burundi. |
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Sputnik France, 25.10.2021 Il y a 28 ans mourrait brutalement le Président burundais Melchior Ndadaye, assassiné par des membres de l’armée. Que reste-t-il de l’héritage de celui qui a incarné, en quelques mois, une lueur d’espoir et le vivre ensemble au Burundi entre Hutus et Tutsis ? Décryptage de Patrick Mbeko, spécialiste de l’Afrique centrale. |
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@rib News, 24/10/2012 Ce que le passé composé a refusé au futur simple Par Régine Cirondeye, Ottawa, Canada Le passé composé Les années avancent, une à une, depuis que Melchior Ndadaye (1953-1993), le héros de la démocratie au Burundi nous a quitté, à 40 ans, dans des conditions catastrophiques et bien «à côté de la plaque». Beaucoup d’encre a coulé et continue à couler sur ce crime sybarite, avec des détails plus morbides qu’avant. Et, hélas, les assassins ne possèdent toujours pas le pactole. Loin de moi l’idée de raviver les plaies creusées plus en profondeur dans les cœurs et les âmes du Burundi par cette tragédie, c’est du passé composé. Nonobstant ... |
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@rib News, 21/10/2012 Les derniers instants du Président Melchior NDADAYE Par Hassan NGENDAKUMANA Le jeudi 21 octobre 1993, un coup d'État militaire avait lieu à Bujumbura au cours duquel le Président Ndadaye a été assassiné. Vous trouverez une description détaillée heure par heure et minute par minute de ces événements. Déroulements des faits (Extrait du Rapport de l’ONU : S/1996/682 du 22 août 1996) 3 juillet 1993 Le 3 juillet 1993, des hommes du 2e bataillon commando ont fait une tentative de coup d'État peu de temps avant la prestation de serment du Président Melchior Ndadaye. La tentative de coup d'État a échoué et ordre a été donné d'arrêter plusieurs officiers et soldats, parmi lesquels le lieutenant-colonel Sylvestre Ningaba, qui avait été Chef de cabinet du Président Buyoya, le major Bernard Buzokosa, le major Jean Rumbete, le capitaine René Bucumi, le capitaine François-Xavier Nintunze et le commandant Hilaire Ntakiyica. |
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EDITORIAL Par La Rédaction - Ijambo – Les quatre vérités, N° - Octobre 2002 Ce siècle, le 1er pour les civilisations du futur, a déjà deux ans. Et il eut un certain 11 septembre, célèbre s’il en est. Jour d’infamie. Il y eut beaucoup de morts et des familles endeuillées dont le destin a basculé depuis lors. Un an déjà. Et la terre en tremble encore. Cela se passe dans la cour de l’Histoire des Grands... |
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@rib News, 25/10/2009 Témoignage sur Melchior Ndadaye Par Régine Cirondeye Ottawa, Canada Octobre 2009 Laurence Ndadaye, et famille, Au nom de certain(e)s qui ont connu le Héros de la Démocratie du Burundi, et qui pourront se reconnaître dans cette missive, humblement, recevez un écho des larmes sourdes et muettes, séchées plus vite que les vôtres, et ceux de vos proches, de gré, de force, de honte ou d’effroi. Ces larmes sont celles de certain(e)s des employés et employées de l’ancienne Meridian BIAO Bank Burundi (MBBB), qui ont aimé à leur façon, votre auguste époux. Ces larmes, contre vents et marées, ont coulé vers le haut, mais avec le temps, elles rejoignent nos joues en contournant des rides qui n’y étaient pas en 1993. |
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Lundi 6 décembre 1993 - Les funérailles nationales Extraits du livre "Biographie du Président Melchior NDADAYE - L'Homme et son Destin" de Raphaël NTIBAZONKIZA - Edition Bulgarian Helsinki Committee Celles-ci avaient été prévues pour le samedi 27 novembre. Elles furent reportées au lundi 6 décembre, à cause de l'insécurité encore régnante sur tout le territoire national, ce qui empêchait un grand nombre de Burundais de se rendre à Bujumbura. Cependant, cette situation ne s'était pas encore améliorée à la date du 6 décembre, mais les obsèques furent maintenues. Deux jours avant les funérailles, les corps de 8 victimes tombées sous les balles des putschistes sont exposés, en chapelle ardente, au stade FFB, situé au centre de Bujumbura. Le public est autorisé à venir se recueillir devant les cercueils. Ceux-ci ont été alignés autour du Chef de l'Etat, Son Excellence Melchior NDADAYE. De source bien informées, un seul cercueil est vide : celui de l'Honorable Gilles BIMAZUBUTE. On n'aurait pas réussi à retrouver sa dépouille mortelle, car les militaires qui l'ont assassiné l'auraient jeté dans une rivière proche de la Rusizi, à quelques kilomètres de la capitale… |
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Melchior NDADAYE, démocrate et homme d’Etat burundais vu par Ijambo – Les quatre vérités, organe d’expression de l’ARIB, asbl. Depuis que l’ARIB est née, en février 1995, un homme a fait l’unanimité autour de lui, au sein de notre association : Melchior NDADAYE. Dès le premier numéro de notre revue d’information, Ijambo – Les quatre vérités, nous lui avons rendu hommage, en inscrivant autour de sa photo : « Hommage aux martyrs de la démocratie burundaise ! Feu S.E. Melchior NDADAYE, Premier Président de la République du Burundi démocratiquement élu ». Cette photo et cette légende ont orné chacun des 53 numéros de notre revue publiée jusqu’en juin 2001. C’est dire l’attachement que nous lui portons. Vous trouverez, ci-dessous, quelques écrits parus dans Ijambo – Les quatre vérités consacrés à l’homme, sa vision politique, les réalités burundaises avec lesquelles il a interagi, ainsi que les développements dramatiques qui ont suivi son assassinat, le 21 octobre 1993. |
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EDITORIAL : L’héritage de NDADAYE Par Cyriaque SABINDEMYI - Ijambo – Les quatre vérités, N° - Octobre 1998 Après une long parcours du combattant, avec comme étapes marquantes l’exil, le retour d’exil, l’opposition dans la clandestinité, l’emprisonnement, la campagne électorale et les trois mois à la magistrature suprême, NDADAYE est mort sauvagement assassiné par une armée sans scrupule. Il est mort président de la République du Burundi, le 21 octobre 1993. Il est mort dans la fleur de l’âge, après une ascension fulgurante, jusqu’au sommet de l’Etat. Mais, comme tous les grands de ce monde, il est parti en laissant au peuple burundais un héritage considérable. |
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Le putsch contre la démocratie a quatre ans Par Hon. Jean-Marie SINDAYIGAYA - Ijambo – Les quatre vérités, N° - Octobre 1997 L’autre apartheid Aucun peuple au monde n’accepte indéfiniment de subir l’humiliation. Les germes permanents de la crise burundaise se résument en deux termes: l’injustice et l’exclusion. En Afrique du Sud, l’exclusion et le pouvoir s’identifiaient à une race; au Burundi, ils s’identifient à une ethnie, qui sans gérer le pouvoir en tant qu’ethnie est l’otage d’une oligarchie qui opprime et tue en son nom depuis près de quatre décennies. Cet apartheid est à ce point commun aux deux odieux systèmes qu’à Bujumbura il s’est constitué des « townships » et des quartiers « réservés ». Depuis des décennies il n’y a pas plus de 5% de Hutu propriétaires de résidences dans le quartier haut standing de Kiriri alors que les Hutu constituent plus de 80% de la population. La ségrégation arriva finalement à un stade tel que lorsque le quartier à moyen standing de Kinindo, construit pour les cadres tutsi a commencé à accueillir quelques cadres hutu l’élite tutsi n’a pas hésité à commenter la situation dans la rue en ces termes très humiliants: « ce quartier pue maintenant ». |
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De la révolution pacifique à la révolution armée Par Cyriaque SABINDEMYI - Ijambo – Les quatre vérités, N° - Octobre 1996 0. Le peuple burundais enfin debout. En trois ans, le peuple burundais vient de réaliser un exploit. Personne n'aurait jamais cru en effet que ce peuple maltraité, opprimé et massacré fût capable de lever la tête, de s'organiser, de dire NON à l'armée criminelle, de l'affronter et de la mettre à mal. Pacifique et sans armes jusqu'au coup de force militaire du 21 octobre 1993 le peuple, acculé par l'armée, s'est rendu compte, non sans quelques lenteurs, qu'il fallait se défendre à tout prix pour ne pas être décimé. Comme toute révolution, la révolution burundaise se fait dans la douleur et le sang. De nombreuses victimes sont à regretter, car l'ennemi dispose de beaucoup de moyens militaires, accumulés par l'Etat criminel depuis les premières années de l'indépendance. Mais tout semble indiquer que rien ne pourra venir à bout de la détermination de ce peuple longtemps meurtri. |
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EDITORIAL Par La Rédaction - Ijambo – Les quatre vérités, N° - Octobre 1996 21 octobre 1993 - 21 octobre 1996. Il y a trois ans, la folie meurtrière conduisait l'armée à poser un acte irréparable. L'assassinat de son Excellence le Président Melchior NDADAYE, et d'autres autorités issues du FRODEBU, allait plonger le pays dans un gouffre sans fond. Depuis ce jour, le pays n'a jamais recouvré la sécurité. Trois ans se sont écoulés, emportant pratiquement chaque jour des citoyens burundais sans défense. Trois ans d'engrenage de la violence partout dans le pays, de crimes massifs, de souffrances inouïes, de peurs, d'exils, de pleurs. Trois ans de menaces, de chantage, de pression d'un côté, de traumatismes, de compromissions et de naïveté ou de mauvais calcul de l’autre. |
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Les Grands Hommes
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