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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

La danse rituelle au tambour du Burundi au patrimoine mondial de l'humanité Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Société

@rib News, 27/11/2014 – Source AFP

 La danse rituelle au tambour du Burundi (photo), le chant polyphonique du Portugal, le pain traditionnel d'Arménie ou la fabrication des yourtes d'Asie centrale ont désormais un lien commun : ils ont été inscrits au patrimoine culturel de l'humanité, que l'Unesco tente de préserver pour les générations futures.

Une quarantaine de candidatures venant de tous les continents devaient être approuvées par le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, réuni cette semaine au siège de l'organisation à Paris, où ont défilé danseurs traditionnels du Burundi ou troupes de capoeira brésilienne.

Parmi les candidatures déjà retenues figurent des traditions aussi diverses que la fête de la Virgen de la Candelaria de Puno au Pérou, la tradition du sauna à fumée en Estonie mais également le washi, savoir-faire du papier artisanal traditionnel japonais.

Depuis 2003, l'Unesco encourage les Etats membres à présenter des candidatures afin d'établir une liste de ces traditions, parfois menacées de dégradation ou de disparition, distincte de celle des sites naturels ou culturels.

"C'est peut-être une goutte dans l'océan mais nous avançons à petits pas. Les pays réalisent que leur patrimoine est important pour l'ensemble de l'humanité", déclare Cécile Duvelle, responsable de la Section du patrimoine immatériel de l'Unesco. Mais elle souligne que "c'est une plate-forme identitaire, et non pas touristique".

D'ailleurs, les traditions retenues doivent jouer un rôle communautaire important et impliquer les acteurs de la société civile.

C'est ainsi que le cercle de la capoeira au Brésil, une pratique culturelle afro-brésilienne, à la fois un combat et une danse, a été retenue car elle "promeut le respect mutuel et la cohésion sociale", selon l'Unesco.

De même, les Bailes chinos du Chili, confréries de musiciens qui expriment leur foi à travers la musique, la danse et le chant, ont été retenues car "elles constituent un modèle d'intégration sociale et de cohésion".

La décision de l'Unesco "va stimuler l'existence des Bailes chinos, les encourager à avoir plus de liens entre les différents groupes", affirme Patricio Hales, ambassadeur du Chili auprès de l'Unesco.

Le Gwoka de la Guadeloupe (musique, chants et danses représentatifs de son identité, introduits par les Africains déportés et mis en esclavage), une candidature présentée par la France, a également été inscrit sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

Certaines candidatures ont été rejetées, comme la culture des cafés de Buenos Aires.

'Concours de beauté'

D'autres pays ont choisi de présenter des candidatures communes, à l'instar du Kazakhstan et du Kirghizistan pour l'art traditionnel de la fabrication de la yourte, type d'habitat nomade qui constitue le symbole de la famille et de l'hospitalité traditionnelle.

De même, les Emirats arabes unis et le sultanat d'Oman ont présenté une candidature conjointe pour Al Ayyala, danse simulant la bataille.

"Nous n'allons pas attendre que cette tradition disparaisse pour l'inscrire au patrimoine mondial. Nous espérons au contraire que son inscription sur la liste encouragera son développement, surtout auprès des jeunes générations", dit Samira Al-Moussa, ambassadrice du sultanat d'Oman auprès de l'Unesco.

Car de l'aveu de Cécile Duvalle, "ce qui menace le plus, c'est la déconnexion du monde moderne avec ces traditions, notamment en ce qui concerne les jeunes générations". Et ceci pas seulement dans les pays en voie de développement, bien au contraire.

C'est pour cela que la Belgique a été sélectionnée cette année pour la "meilleure pratique de sauvegarde du patrimoine", pour sa préservation de l'art du carillon.

Si les pays se bousculent pour faire figurer leur patrimoine sur la liste prestigieuse (le "concours de beauté", comme l'appelle Cécile Duvalle), les traditions menacées de disparition sont inscrites sur une liste spéciale, qui leur permettra d'avoir accès à une assistance internationale.

Trois éléments ont été inscrits sur cette liste cette année: la tradition orale des Mapoyos au Venezuela, menacée de disparition en raison de l'émigration, de l'industrialisation et du déclin de cette petite communauté, une cérémonie de purification des garçons en Ouganda et des danses traditionnelles du Kenya.

 
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