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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Somalie : les troupes kényanes officiellement intégrées à l'Amisom Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Afrique

@rib News, 02/06/2012 – Source AFP

Les troupes kényanes qui interviennent en Somalie depuis octobre 2011 ont officiellement été intégrées samedi dans l'Amisom, force de l'Union africaine (UA) dans le pays, lors d'une cérémonie dans la capitale éthiopienne Addis Abeba, où siège l'UA.

Selon le ministre kényan de la Défense, Yusuf Haji, 4.631 Kényans viennent ainsi grossir les rangs des quelque 11.000 soldats de l'Amisom, jusqu'ici essentiellement des Burundais et des Ougandais.

« Nous concluons le processus établissant un cadre formel, légal, pour l'intégration des forces de défense kényanes à l'Amisom », a déclaré le ministre lors de la signature de l'accord finalisant l'intégration des soldats kényans à l'Amisom.

Le commissaire de l'UA en charge de la Paix et de la Sécurité, Ramtane Lamamra, a salué un développement qui, selon lui, permettra de défaire plus vite les rebelles islamistes somaliens shebab, que l'Amisom combat aux côtés des autorités de transition somaliennes.

L'armée kényane a pénétré dans le Sud somalien en octobre, pour, elle aussi, en chasser les insurgés islamistes, que Nairobi accusait d'attaques et enlèvements sur son territoire. L'intégration des Kényans dans l'Amisom avait été décidée en décembre, mais elle devait encore être formellement scellée.

La signature de l'accord intervient alors que les troupes kényanes ont pris cette semaine la ville d'Afmadow, verrou sur la route de Kismayo, dernier grand bastion shebab dans la région que les Kényans espèrent faire tomber d'ici à août, quand les autorités de transition somaliennes seront en théorie remplacées.

« Nous ne sommes plus loin de Kismayo, mais nous ne pouvons pas dire quand nous prendrons (le port) », a indiqué samedi le ministre kényan de la Défense.

Les shebab « sont diminués et leur structure de commandement a été détruite sur le terrain, mais on ne peut jamais exclure que certains shebab restent ici et là », a poursuivi le responsable. « Mais nous sommes très confiants dans le fait qu'au bout du compte, l'Amisom mettra un terme à la guerre en Somalie ».

Les shebab, récemment intégrés à Al-Qaïda, contrôlent encore de larges parties du centre et du sud somaliens. Mais ils subissent une pression militaire croissante, pris dans l'étau d'une offensive régionale, depuis que les armées kényane, puis éthiopienne, se sont lancées à leur poursuite fin 2011.

Les shebab, contraints à quitter la capitale Mogadiscio en août 2011 et encore un autre bastion, celui d'Afgoye, plus récemment, affirment, eux, ne pas faiblir, mais changer de tactique.

L'ambassadrice du Kenya en Somalie, Monica Juma, a de son côté demandé samedi le soutien de la communauté internationale.

« La question concerne la communauté internationale, pas seulement l'Amisom ou les pays voisins », a-t-elle estimé.

Vendredi s'est d'ailleurs achevée en Turquie une conférence internationale sur la Somalie. A cette occasion, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé à prévenir un « vide de pouvoir que pourraient exploiter les seigneurs de guerre » somaliens après la période de transition en août.

La Somalie est sans gouvernement effectif, en état de guerre civile depuis la chute du président Siad Barre en 1991. Clans, milices, seigneurs de guerre, groupes islamistes ou encore pirates luttent depuis pour le contrôle de plus ou moins grandes parties du territoire.

 
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